Notre Amour

Épisode 10 NOTRE AMOUR - RAM

J'étais dans le salon et je regardais la télé quand Grâcia avait fini et vint me voir. Sans plus tarder nous nous étions rendus dans la salle à manger pour prendre le dîner.

Les deux femmes de ménages étaient dans leur chambre, car Grâcia n'aimait pas trop qu'on l'aide une fois qu'elle est venue.

Nous avions fini de prendre notre dîner et décidions de suivre un peu la télé avant d'aller nous coucher. Nous étions dans le salon quand Cynthia était venue nous voir pour nous dire que sa mère est souffrante et qu'elle doit rentrer chez elle pour aller voir cette dernière afin de savoir si elle doit l'accompagner à l'hôpital. Comme c'était de la santé d'une mère que nous étions en train de parler, je l'avais juste donné la permission d'y aller.

Je voulais même l'accompagner, mais comme la maison n'est pas loin et aussi, elle n'est plus une petite fille. Je l'avais dit que lorsqu'elle sera là-bas et si quelque chose ne va pas qu'elle peut me faire signe après l'avoir remis de l'argent parce qu'on ne sait jamais.

Cynthia s'était apprêté et elle nous a faussé compagnie pour se rendre chez ses parents.

Chez mes parents...

Ils avaient fini de prendre leurs dîners et chacun avaient déjà rejoint sa chambre. Ashley était toujours embrouillé dans ses pensées comme elle n'avait pas rencontré le fameux Nick que je suis. Elle se posait des questions et austre quand ma mère avait toqué à sa porte. Elle avait demandé de qui il s'agissait et comme ma mère l'avait dit que c'était elle, elle l'avait demandé d'entrer.

Ma mère avait fait son entrée dans la chambre et vit que cette dernière ne dormait pas.

Elle avait pris siège dans le sofa qui est dans la chambre après l'avoir dit qu'elle voulait lui parler de quelque chose me concernant.

Le truc était que ma mère, se sentait déranger par le comportement de Ashley et elle s'était dit qu'elle n'allait pas attendre, le lendemain avant de lui dire ç

tout. Alors la raison de sa présence dans la chambre de Ashley était de la mettre au parfum de tout pour se sentir à l'aise et si cette dernière ne sera pas dans la mesure de comprendre, mon père prendra le relais le lendemain pour lui fait bien comprendre.

Elle avait fait face Ashley et prise la parole, car elle se disait qu'elle ne veut plus encore semer autres problèmes dans sa famille. Elle avait commencé par expliquer tout à Ashley, et cette dernière avait commencé par se renfermer de mine. Elle avait pris le temps de bien mettre Ashley au courant de tout et cette dernière avec le visage qu'elle affichait, voulait dire tout simplement qu'elle n'avait pas du tout apprécié et que ce sera difficile pour elle, d'accepter ce que ma mère lui avait fait comprendre. Et là, elle avait prise la parole :

– Maman alors si je comprends bien, votre fils ne veut pas de moi, mais pourquoi vous m'avez pas informé depuis le jour qu'il s'est fiancé avec une autre ? Et même me dit ça depuis que j'ai mis mes pieds dans votre maison ? C'est vrai qu'on ne force pas l'amour et que nous avons aussi le droit de faire nos choix. Mais d'après ce que vous venez de faire c'est tout comme si vous avez joué avec moi et ça je ne pourrai jamais l'accepter. Alors c'est pour ça que vous vous comportez bizarrement et vous m'avez fait comprendre que votre fils n'est pas au pays ? Alors que je sais très bien que ce dernier est revenu de l'Ameriqie et c'est même pour ça que j'ai décidé de venir le voir, ce qui me permettra de mieux le connaître et si possible nous allons commencer par mettre en place notre mariage. Mais je vois que je me suis fais déplacer pour rien.

– Ma fille pourquoi tu vas dire une pareille chose ? Nick n'est pas au pays, c'est vrai qu'il est du retour de l'Amerique. Mais il a décidé de travailler dans l'entreprise de son oncle qui siège au Nigeria. C'est pas que je te mens sur le fait qu'il n'est pas à la maison. Je suis sérieuse et je te dis la vérité, quand je te dis qu'il n'est pas au pays. Tu sais je sais que je t'ai fait du mal, mais c'est pas aussi de ma faute. Sinon je veux bien que mon fils t'épouse car tu es une bonne fille et pleines de bonne qualités. Je me comportais bizarrement, c'est vrai, mais tout juste parce que je ne savais pas comment te dire tout ça. Parce que je n'attendais pas ton arrivée. Alors je te demande pardon, s'il te plaît, pardonne moi ma fille.

– Juste comme ça ? Alors que à cause de cette affaire, j'ai refusé d'épouser l'homme que j'aime ? Je ne pourrai jamais vous pardonner pour ça et une fois que vous avez décidé, toi et ma mère que je vais pas vivre ma vie amoureuse comme je le désire, c'est comme ça que moi aussi je vais pas permettre à votre fils de vivre sa vie amoureuse comme il le veut.

– Tu veux dire quoi par là ? Est-ce que tu sais au moins que mon fils n'a rien à avoir dans cette affaire de mariage ? C'est à moi tu vas t'apprendre et non mon garçon. Car il n'a rien à avoir dans tout ça.

– C'est ce que nous verrons, maintenant est-ce que vous pouvez me laisser seule ? Demanda Ashley.

Ma mère s'était levé et Ashley avait commencé par mettre ses affaires dans sa valise. On dirait qu'elle voulait prendre la route pour rentrer chez elle. Ce que ma mère avait refusé, et lui demanda d'attendre, pour qu'il fasse jour avant qu'elle fera ce qu'elle veut. Mais elle voulait pas écouter ma mère et ma mère était dans l'obligation de mettre mon père au courant.

Avant que mon père fit sa sortie pour voir ce qui n'allait pas, Ashley était déjà dans les escaliers avec ses affaires. Mon père l'avait demandé de garder son sang froid et une fois dans le salon, il lui avait demandé de prendre siège. Ce qu'elle avait fait, et mon père décida de discuter avec elle.

De l'autre côté...

Grâcia et moi étions déjà dans notre chambre, nous sommes allongés et je jetais quelques regards dans mon ordinateur. Comme j'avais fini ce que je faisais, j'avais déposé l'ordinateur pour sentir un peu la chaleur de ma reine.

Chez mes parents...

Mon père avait arrivé, à faire changer d'avis à Ashley et cette dernière passera la nuit là avec eux et prendra la route de sa maison le lendemain. Elle était vraiment remplie de la colère et c'était pas du tout la joie.

Le lendemain, très tôt le matin, Ashley s'était déjà réveillé et elle s'était apprêté pour prendre la route. Une fois au salon avec ses affaires, elle avait vu mon père qui était assis et qui attendait sa descente sûrement. Elle avait salué mon père et ce dernier lui avait demandé de venir le voir.

Sans dire un mot, elle était venu auprès de mon père et mon père lui avait dit, que c'est elle, il attendait pour prendre son petit déjeuner. Mais Ashley lui avait répondue qu'elle ne voulait pas prendre de petit déjeuner et qu'elle doit vite se rendre chez lui. Mon père lui avait demandé la raison et elle lui avait fait comprendre qu'elle n'avait plus une raison de rester encore dans la maison de mes parents et là, mon père avait pris la parole.

– Ma fille, tu peux prendre siège ? Je veux te dire quelque chose.

– Papa, on m'a déjà tout dit, je ne sais pas ce que vous, voulez encore me dit de plus. Sinon je suis déjà au courant de tout ce que je dois savoir. Si c'est que vous pensez que je ferai quelque chose à votre fils à cause de ce que j'ai dit à votre femme, j'avais dit ça sous l'effet de la colère et rien de plus. Il ne m'a rien fait, donc j'ai rien contre lui. Alors soyez sans crainte, j'ai déjà mise cette affaire dans le passé et c'est déjà bon.

– Alors si je comprends bien, tu as dit quelque chose concernant mon garçon ? Sais-tu au moins qu'il n'est même pas au courant de tout ça et que sa mère était venue demander ta main, sans son consentement ? Il ne sait même pas que sa mère a fait une telle chose. Alors si tu décide de lui faire du mal, juste à cause de ça, parce qu'il travaille dans ton pays. Sache que tu vas regretter, parce qu'on ne s'amuse pas avec mes enfants. Je sais bien de quoi vous les jeunes d'aujourd'hui vous êtes capable et Nick est mon fils aîné. Donc sache bien prendre tes décisions, on ne force pas l'amour, et tu es mieux placé pour savoir cela. Je sais que tu as été déçu, mais ce sera pas à cause de ça que tu vas te mettre des idées bizarre dans la tête pour nuire aux autres. J'espère que tu m'as bien compris? Dans tout les cas, nous irons avec toi au Nigeria pour avoir de discussion avec tes parents. Parce que je ne veux pas être condamné avec le temps.

Ashley ne disait rien et faisait que regarder mon père. Une fois que mon père avait fini de parler, il s'était levé parce que ma mère descendait des escaliers et sans plus entendre ils avaient fait leurs sorties en compagnie de Ashley.

Après que le gardien de Ashley avait mis les affaires de cette dernière dans la voiture. Ils étaient montés dans leurs voitures et prirent la route pour Nigeria (Lagos).

Grâcia était déjà prête pour se rendre au boulot comme c'est un samedi, elle ira faire demi-journée. Nous étions à table pour prendre notre petit déjeuner et tout passait bien lorsque Denise était venue nous voir pour dire qu'elle veut aller payer quelque chose au supermarché.

Elle était partie et Grâcia avait pris la parole. Je ne savais pas que cette dernière, aussi faisait des remarques concernant le comportement de Denise. Denise qui prétendait être amoureuse de moi. Elle m'avait fait comprendre qu'elle n'arrivait plus à comprendre ce qui ne va pas avec Denise, parce que pour elle, Denise avait changé de comportement envers elle. Alors pour ne pas lui mettre des idées dans la tête pour qu'elle change aussi de vision concernant Denise, je l'avais rien dit concernant ce que Denise m'avait dit et je l'avais juste dit que cette dernière, a peut être un souci. Mais pour finir, elle m'avait dit que c'était comme si , Denise n'aimait pas la voir dans la maison. Mais je lui ai juste dit d'arrêter de se faire des idées.

Nous avions fini de discuter et elle voulait se lever pour aller prendre son sac pour que je la dépose au boulot quand mon portable avait sonné. Elle était parti prendre son sac et comme le portable était en charge, elle avait profité pour me ramener ça. Je lui avais demandé le nom de l'appelant et elle m'avait dit que c'est sa belle mère.

En même temps je m'étais demandé ce qui n'allait pas, j'avais décroché l'appel et d'après ce que ma mère m'avait dit, elle est en route avec mon père pour venir à Lagos. Je lui avais demandé la raison, mais on dirait qu'elle ne voulait pas me dire ça et elle m'avait juste dit qu'ils passeront nous voir une fois là-bas. J'avais répondu « D'accord » et elle avait raccroché l'appel.

J'avais mis Grâcia au courant et cette dernière avait dit, qu'elle rentrera vite à la maison pour pouvoir faire quelque chose avant leurs arrivées.

Après avoir emprisonnées ses lèvres entre les miennes pendant quelques minutes, je ne voulais pas me détacher et elle m'avait arrêté en disant : « Mon amour, s'il te plaît, je serai en retard » Et là, j'étais obligé d'enlever mes idées de là pour rattraper le soir.

Nous avions fait notre sortie et une fois dans la voiture, nous avions pris la route pour le supermarché dans lequel Grâcia travaille.

Nous étions arrivés au supermarché et Grâcia m'avait faussé compagnie après m'avoir donné un b****r. J'avais décidé d'appeler Cynthia pour voir si tout va bien , car depuis qu'elle nous avait appelé pour nous informer qu'elle était bien partie chez ses parents, j'avais plus les nouvelles de cette dernière. Alors j'avais même dit à Grâcia que si possible si l'état de la mère de Cynthia se complique, que j'irai voir cette dernière.

J'avais lancé le numéro de Cynthia et quelques secondes après, elle avait décroché l'appel. Je lui avais demandé si tout va bien et elle me faisait comprendre qu'elle a amené sa mère à l'hôpital parce que la santé de cette dernière avait commencé par s'aggraver.

Alors sans plus réfléchir et comme je ne savais pas ce que j'irai faire à la maison parce que j'ai rien comme programme, j'avais décidé de me rendre dans l'hôpital où elle se trouvait avec sa mère.

Une fois dans l'hôpital, j'avais appelé Cynthia et elle était venue me voir. Lorsque cette dernière avait posé les yeux sur moi, elle avait commencé par pleurer et je lui avais consolé en lui demandant ce qui ne va pas avec sa mère.

Elle m'avait fait comprendre que c'est la tension, alors je l'avais demandé de m'accompagner voir le docteur. Nous étions partis voir le docteur et moi avec le docteur avions eu de discussion. D'après ce que le docteur avait dit sa mère s'en sortira. J'avais demandé au docteur, ceux dont ils auront besoins et le docteur m'avait fait comprendre que Cynthia avait déjà réglé tout ce qu'il faut pour le moment.

Sur ce, le docteur nous avait laissé pour se rendre utile aux autres qui avaient besoin de lui. J'étais là avec Cynthia et consolais cette dernière qui se lamentait quand elle avait commencé par se coller de plus en plus à moi.

Comme le docteur avait dit que sa mère va s'en sortir et qu'elle n'est plus en danger j'avais décidé de prendre congé d'elle. Lorsque cette dernière qui avait sa tête sur mon épaule avait commencé par rapprocher ses lèvres des miennes.

Je n'arrivais plus à comprendre quelque chose et comme je n'étais pas venu à l'hôpital à cause de ça, j'avais bien gardé mon contrôle et j'avais décidé de prendre la route en lui disant que je pense bien la fausser compagnie. Mais elle avait commencé par me dire qu'elle se sentira seule si je la laisse.

– Cynthia mais tu m'as dit que ta soeur est avec toi , si je me trompe pas.

– Oui monsieur Nick, mais elle est partie à la maison pour préparer ce que nous allons manger. Je veux bien que vous restez ici avec moi, jusqu'à son arrivée, s'il vous plaît.

– D'accord j'ai compris, mais si elle tarde, je serai dans l'obligation de te laisser seule, parce que j'ai au programme, sans oublier que tu sais que j'irai prendre ma fiancée à 13h30.

– Je sais bien ça monsieur. Il est 10h30 et je sais que ma sœur sera ici avant midi.

– D'accord ça mâche, j'espère que tu as au moins pris quelque chose ce matin ?

– Non j'ai pas d'appétit.

– C'est pas un bon signe ça, tu as bien entendue le docteur, ta mère n'a rien de grave. Alors tu dois être à l'aise, faudrait pas que tu te laisses aussi avoir par des malaises ou je ne sais quoi. Parce que la santé est vraiment primordiale.

– Ne vous inquiètez pas monsieur Nick. Mais monsieur je veux bien vous dire quelque chose, je sais que ça va vous sembler bizarre, mais je pense que je suis amoureuse de vous. Je sais que vous avez déjà une fiancée, mais sans vous mentir c'est seulement vous qui hante mes pensées. Je veux vraiment de vous dans ma vie.

– Mais Cynthia tu sais très bien que c'est impossible et que tu ne dois même pas laisser tes sentiments prennent le dessus sur toi. Car je suis déjà un homme occupé, j'aime ma fiancée et elle est tout pour moi. C'est vrai vous êtes toute des belles femmes, je parle de Denise et toi. Et je sais qu'il a beaucoup d'homme qui rêvent de vous voir dans leur demeure. Alors s'il vous plaît, oubliez juste ces sentiments que vous avez commencé par développer pour moi. Car je ne mérite pas et je ne pense pas faire souffrir quelqu'un que j'aime. J'aime ma fiancée et je vous aime aussi. Alors faire vous souffrir, sera vraiment un lourd poids pour moi que je n'arriverai pas à garder alors s'il te plaît...

Je n'avais pas fini ce que je disais avant que Cynthia avait emprisonnée mes lèvres et avec force je m'étais débarrassé d'elle.

Je n'avais plus rien dit avant de me lever et elle avait commencé par s'excuser auprès de moi.

Seul Dieu savait ce que ces deux filles avaient derrière la tête, c'était Denise et maintenant Cynthia.

Elle avait commencé par s'excuser et je lui avais juste dit que j'ai bien compris, mais de ne plus oser une autre fois à faire une telle et que je vais devoir prendre congé d'elle.

J'aime trop Grâcia pour la tromper avec une autre femme, sans oublier qu'elle avait vraiment souffert à cause de moi et qu'elle ne mérite plus de souffrir à nouveau.

Je voulais prendre la route quand la sœur de Cynthia avait fait son apparition et après avoir échangé quelques mots avec cette dernière j'avais pris la route.

J'étais retourné chez moi sans savoir que Denise que j'avais remis à l'ordre en pensant qu'elle m'avait compris m'attendait avec ses désordres.

Une fois à l'intérieur de la maison, j'avais garé ma voiture et fit mon entrée dans ma chambre. J'étais dans ma chambre quand Denise était venue frapper à ma porte, j'étais allongé dans mon lit, alors je m'étais levé pour aller voir ce qui ne va pas avec cette dernière et je n'arrivais pas à y croire à ce que j'avais vu.

Denise était à moitié nue et on pouvait voir tout son corps, je n'arrivais plus à comprendre ce qui n'allait pas avec ces filles et je lui avais demandé ce que toutes ces choses voulaient dire et elle avait commencé par me raconter de n'importe quoi. Pour moi, c'était du n'importe quoi parce qu'elle savait très bien que j'ai une fiancée et pour me mettre dans la place que je dois me mettre, je suis son boss et elle ma femme de ménage.

– Denise qu'est-ce qui ne va pas avec toi ?

– Monsieur je veux juste que vous sachez que je vous disais la vérité lorsque je vous ai dit que je suis follement amoureuse de vous. Je sais que vous ne pouvez pas faire de nos rêves des réalités mais, je veux juste que vous me permettez de sentir votre chaleur, j'ai vraiment envie de vous.

– Denise tu peux arrêter avec ça ? ou bien tu perds la tête ? Tu veux...

Je n'avais pas fini ma phrase avant que Denise s'était jeté sur moi et commençait par m'embrasser, je ne savais même pas ce qui m'avait pris et c'était comme si j'avais perdu le contrôle. Mais j'avais fait de mon possible pour me libérer d'elle et lui demanda de quitter devant moi en haussant le ton sur elle. Elle ne voulait pas quitter et une fois que je lui ai demandé de commencer par arranger ses affaires pour quitter la maison. Elle était descendue des nuages et commençait par me supplier. Mais je l'avais plus rien dire avant d'entrer dans ma chambre et fermer ma porte.

Je n'arrivais plus à comprendre quelque chose, c'était comme si le diable voulait me tenter par tous les moyens. Mais je me disais qu'il pourra pas m'avoir.

J'étais rempli de la colère et j'étais là dans ma chambre lorsque j'avais reçu l'appel de Grâcia qui me faisait comprendre que je pourrai venir la prendre, qu'elle a presque terminé.

Je m'étais apprêté en déposant la colère qui m'animait quelque part pour aller la prendre.

À suivre ....