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Les peuples et les individus courent à l’association, parce qu’elle offre des avantages visibles ; mais la grande préoccupation de chaque associé est d’écorner à son profit la part des autres. Demandez à cent Européens ce qu’ils entendent par une bonne affaire ? Quatre-vingt-dix-neuf vous répondront franchement ou à mots couverts : « C’est celle où l’on gagne plus que les autres associés avec moins de travail. » Quel était le principal souci du peuple français à l’époque du célèbre traité de commerce ? Enfoncer les Anglais. L’immense majorité du peuple anglais nourrissait de son côté une aussi douce espérance. Et l’on a murmuré dans les deux camps, lorsqu’on a vu par l’expérience que personne n’était enfoncé. Le même principe, je suis fâché de le dire, préside à toutes les associations, sa