(Immédiatement, Ella était allée dans la cuisine pour me préparer.)
Quelques années plus tard.
**Blaise**
La relation entre Ella et moi était devenue très stable et douce comme le miel. Chaque jour, j'allais prendre mon petit déjeuner dans leur restaurant afin que je puisse lui rencontrer. Un jour, j'étais un peu souffrant et je comptais me reposer un peu à la maison. Sûrement, je savais que Ella aille m'appeler, juste pour avoir ma nouvelle, donc moi aussi j'étais toujours impatient pour recevoir un message ou appel venant d'elle. Elle ne m'avait pas fait signe jusqu'aux alentours de six heures du matin. Je me demandais si elle ne souvenait plus de moi ou comment. Puisque, elle-même m'envoyait des messages chaque matin avant six heures, mais le jour même où je ne m'étais pas bien réveillé, elle ne m'avait rien envoyé. Moi aussi, j'avais décidé de ne plus l'appeler jusqu'à un temps pour voir ce qu'il aille se passer.
**Ella**
J'aimais Blaise avec tout mon cœur et c'était lui seul qui était dans ma vie. Un jour, je m'étais réveillée un peu tard et directement j'étais allée prendre mon bain sans même faire le ménage. Après le bain, j'avais pris le chemin du travail sans laisser un petit message à mon amour comme d'habitude, car je savais que sûrement il allait venir prendre son petit déjeuner dans le restaurant. Quelques minutes après, j'étais arrivée et je m'étais mise au travail. Tous les clients qui venaient, je jetais un coup d'œil sur eux afin de vérifier si je pouvais voir Blaise. Aux alentours de huit heures, il n'était toujours pas venu dans le restaurant pour prendre son petit déjeuner comme d'habitude. Moi-même, j'avais décidé de lui appeler et c'était en ce moment que je m'étais rendue compte que j'avais laissé mon téléphone à la maison.
J'étais allée chez le patron pour solliciter une permission et lui aussi voulait savoir ce qu'il n'aille pas bien chez moi. Je lui avais juste menti en disant que j'étais un peu souffrante. Il m'avait donné une autorisation sans tarder.
J'étais quittée au travail et quelques minutes après, j'avais fait mon entrée dans la maison de mon amour Blaise. Heureusement, la porte d'entrée était ouverte et cela signifiait que Blaise soit dans la maison. Arrivée au salon, il n'y avait personne et j'étais allée dans sa chambre. Ce qui m'avait étonné, Blaise était toujours sur le lit en ce temps-là. J'avais pris mon siège à côté de lui. Quelques secondes après, il s'était réveillé et je m'étais demandé s'il dormait avant mon arrivée ou il faisait juste semblant.
Blaise : depuis quand tu es là ?
Moi : je viens d'arriver, ça n'a même pas encore fait une minute.
Blaise : waouh, là on dirait que c'est ton amour qui m'a réveillé.
Moi : est-ce que tu dormais avant ?
Blaise : bien-sûr mon amour ! Tu croyais que je fasse de la pagaille ?
Moi : si, parce que honnêtement, ça n'a pas encore fait une minute que tu t'es réveillé.
Blaise : waouh là, ça prouve que l'amour a une puissance et c'est cela qui m'a réveillé.
Moi : est-ce que je peux savoir pourquoi tu es toujours sur le lit ? En temps normal, tu devrais être au travail en ce moment non ?
Blaise : oui, tu n'as pas menti. Mais pourquoi tu ne m'as pas envoyé un message ce matin ?
Moi : c'est à cause de mon message que tu es toujours à la maison ?
Blaise : évidemment, car tes messages me donnent la force de bien débuter la journée.
Moi : on dirait que le téléphone de monsieur Blaise n'envoie pas des messages, n'est-ce pas ?
Blaise : hum, tu as raison, mais il faut savoir que je suis toujours à la maison à cause d'un but.
Moi : qu'est-ce qu'il ne va pas ? Ou bien on vous a férié la journée d'aujourd'hui ?
Blaise : non, ce n'est pas ça.
Moi : c'est quoi alors ?
Blaise : c'est parce que je ne me sens pas bien ce matin.
Moi : oh je suis désolé, qu'est-ce que tu as ? Vraiment, ça se voit dans tes yeux que tu n'es pas en bonne santé.
Blaise : depuis quand tu es devenue une infirmière ?
Moi : s'il te plaît chéri, ne pose pas trop de questions ! Il faut te lever pour qu'on aille à l'hôpital.
Blaise : merci infiniment pour ta gentillesse, mais il ne faut pas t'inquiéter pour l'hôpital.
Vraiment, certains hommes sont capables de faire tout à cause de nous les filles.
Blaise était vraiment souffrant, mais à cause de ma présence, il s'était complètement guéri. Je lui avais forcé pour qu'on aille à l'hôpital, mais il avait carrément refusé. Malgré tout, mes efforts étaient en vain. On était allé s'asseoir au salon et comme il n'avait pas encore mangé, j'avais décidé de lui faire un thé.
Moi : le thé est déjà prêt.
Blaise : tu es trop pressée hein.
Moi : ce n'est pas bon pour toi ? En tout cas, moi je ne veux pas que tu meurs de faim.
Blaise : chérie, j'ai aussi une bonne nouvelle pour toi.
Lorsque Blaise m'avait dit cela, mon idée était directement allée sur le mariage.
Moi : il s'agit de quelle nouvelle alors ?
Blaise : dans deux mois, nous allons faire le mariage.
Je m'étais jetée dans ses bras avec les larmes de joie. Je profitais en même temps pour bien inhaler l'odeur de son agréable parfum.
Quelques jours plus tard.
**Anicet**
Un samedi soir, j'avais invité Élise dans ma maison pour lui faire une surprise. C'était une surprise que bon nombre de filles rêvaient d'avoir chez leurs partenaires. Moi-même, j'imaginais comment elle serait contente si je lui avais annoncé la nouvelle.
Comme elle n'était pas encore arrivée, j'étais allé dans la cuisine pour préparer quelque chose moi-même pour elle. Ce qui voulait dire que j'avais deux surprises à annoncer à Élise, parce qu'elle n'avait jamais goûté ma nourriture depuis qu'on s'était rencontré. Quelques minutes après, elle avait fait son entrée sans même frapper à la porte. Comme elle aussi voulait me faire une surprise, c'était la raison pour laquelle elle n'avait pas frappé à ma porte.
**Élise**
Une soirée, mon amour m'avait demandé de venir lui rendre visite. Après avoir pris mon bain, j'avais pris mon temps pour faire une petite prière avant d'aller chez lui.
Quelques minutes après, j'étais arrivée dans sa maison et j'avais décidé de lui faire une surprise pour mon arrivée. J'avais fait mon entrée au salon sans même frapper à la porte et heureusement il était surpris en me voyant. Vraiment, j'étais très contente, car c'était ce que je voulais voir chez lui.
Moi : pourquoi tu es surpris à cause de mon arrivée ? Ce n'est pas toi-même qui m'as dit de venir ici ?
Anicet : pourquoi tu n'as pas frappé à la porte avant de rentrer ?
Moi : juste pour voir si tu es avec une autre fille ou non.
Anicet : donc, tu penses que je vais amener une autre personne dans cette maison au même jour que je t'ai invité ?
Moi : si je comprends bien, tu fais ça aussi ?
Anicet : pourquoi tu parles comme si je suis un coureur de jupons ?
Moi : je suis désolée si mes mots te blessent.
Anicet : ne t'inquiètes pas, c'est juste que je n'ai pas aimé la manière dont tu m'as adressé.
Moi : d'accord mon bébé !
Anicet : ton bébé a deux surprises pour toi.
Anicet me parlait de deux surprises et je me demandais de quelles surprises il faisait allusion au juste, du coup j'avais pensé au mariage.
Quelques minutes après, il m'avait amené dans la cuisine. La première surprise était qu'il m'avait préparé le riz. On s'était retourné au salon pour déguster le riz.
Moi : hum...
Anicet : qu'est-ce qu'il ne va pas ?
Moi : depuis quand tu as commencé à préparer ?
Anicet : as-tu oublié que je vive seul dans cette maison ?
Moi : oh je comprends, mais comme vous les garçons d'aujourd'hui, vous ne préférez que la nourriture du restaurant, c'est pourquoi je t'ai posé cette question.
Anicet : maintenant il reste la dernière surprise, n'est-ce pas ?
Moi : bien-sûr, je suis à l'écoute !
Anicet : il faut deviner toi-même.
Moi : je ne peux pas.
Anicet : non chérie, tu peux. Si tu sais que tu m'aimes sincèrement, alors il faut deviner la seconde surprise toi-même.
Quand il avait parlé de l'amour, j'avais vite compris que la dernière surprise serait le mariage. J'avais prié à Dieu qu'il en soit ainsi cette idée que j'avais faite et j'ai dit :
Moi : la dernière surprise c'est hummm...
Anicet : chérie, vas-y !
Moi : c'est le mariage.
Il n'avait pas refusé, ni confirmé. Du coup, je m'étais mise à jaillir mes larmes qui ressemblaient l'eau de pluie.
Anicet : chérie, il y a un problème ?
Moi : c'est plutôt moi qui devrais te poser cette question. Pourquoi tu ne réagis pas à ce que j'ai deviné ?
Anicet : c'est parce que je m'étais étonné par ta réponse.
Moi : pourquoi tu t'es étonné ?
Anicet : c'est parce que tu as bien deviné.
J'étais très joyeuse cette soirée, car dans peu de temps, j'allais devenir la femme de mon amour Anicet.
Anicet : pourquoi tu es contente ? Donc, tu pensais que je ne vais pas te marier ?
Moi : hum chéri, j'ai hâte d'être une mère.
Anicet : ne t'inquiètes pas chérie ! Deux mois après, on va faire notre mariage.
Deux mois plus tard.
**Anicet**
Par la grâce de Dieu, les choses avaient bien passé jusqu'à ce que Élise soit ma femme. Désormais, je ne vivais plus seul dans la maison à cause de la compagnie de ma femme. Chaque jour, on se réveillait dans la joie et s'endormait dans la paix. On était devenu le meilleur couple du monde grâce aux médailles que les gens nous offraient en nous appréciant.
**Ella**
Après notre mariage, mon mari m'avait ouvert une boutique dans laquelle je vendais quelques marchandises. Grâce à cela, je ne travaillais plus dans le restaurant comme une servante.
Un jour, on s'était réveillé et après avoir pris la douche ensemble, moi j'étais directement allée dans la cuisine. Quelques secondes après, mon mari m'avait rejoint.
Blaise : qu'est-ce que tu prépares ?
Moi : je vais juste te faire un café.
Blaise : d'accord, mais j'ai envie de manger le couscous aussi.
Moi : il n'y a pas de soucis, je vais te préparer ça dans quelques minutes. Mais, tu as fait une erreur hein.
Blaise : moi-même je le sais. Normalement, je devais t'informer depuis hier nuit.
Moi : merci de m'avoir vite compris ! Je t'aime...
Blaise : moi je ne t'aime pas.
Moi : Merci !
On se mettait à rire et il s'était retourné dans la chambre. Vraiment, j'aimais Blaise plus que moi-même.
Quelques années plus tard.
**Blaise**
J'avais bien joué mon rôle comme un vrai homme et quelques mois après, ma femme était enceinte. Je commençais à m'occuper d'elle comme un enfant, car je ne voulais pas que quelque chose de grave arrive sur elle. Je lui avais interdit de ne plus faire le ménage dans la maison et c'était moi-même qui faisais tout.
Une soirée, j'avais préparé et après avoir dégusté le repas ensemble, on était allé dans la chambre pour se coucher. Aux alentours de vingt heures comme ça, ma femme pleurait à côté de moi, mais je n'étais pas au courant, car j'étais dans un profond sommeil. Lorsqu'elle avait crié très forte, c'était en ce moment que je m'étais réveillé et elle m'avait dit qu'elle ait mal au bas ventre. Moi-même, je savais qu'elle aille mettre au monde ce jour. Je lui avais vite transporté dans ma voiture et lui avais amené à l'hôpital.
**Anicet**
J'étais de retour une soirée très fatigant et après avoir mangé, j'étais directement allé me coucher dans la chambre. Quelques minutes après, Élise m'avait réveillé en disant qu'elle avait mal au ventre. Comme moi-même, j'étais dans le domaine de santé, je savais en même temps qu'elle aille accoucher. Je lui avais conduit dans notre hôpital et les sages-femmes s'occupaient d'elle rapidement.
Quelques minutes après, une sage-femme m'avait informé que ma femme ait mis au monde un joli garçon et j'étais très merveilleux cette nuit. J'étais allé rejoindre ma femme et elle s'endormait, donc je ne lui avais pas dérangé. Les sages-femmes aussi faisaient leur dernier travail sur mon fils et du coup, un monsieur aussi avait amené sa femme. Je me demandais si c'était une coïncidence ou quoi. J'étais toujours là et quelques heures après, la femme aussi avait donné la naissance d'une belle fille. Waouh, cette nuit, nous étions tous contents.
Ma femme et celle de Monsieur aussi s'endormaient. Le monsieur était venu chez moi et nous discutions.
Moi : moi c'est Anicet et vous ?
Blaise : enchanté monsieur Anicet, moi c'est Blaise !
Moi : je suis très content de faire votre connaissance.
Blaise : s'il te plaît, on peut se tutoyer sans problème.
Moi : d'accord ! J'espère que tu vas donner ta fille à mon garçon sans problème non.
Blaise : hahaha, moi je ne peux rien dire ici hein. Toi-même, tu connais les enfants d'aujourd'hui.
Moi : oui mon frère, tu as parfaitement raison.
Blaise : je peux accepter ou refuser ici, mais demain ce sont eux-mêmes qui vont faire leur choix.
Moi : tu n'as pas menti, mais moi-même je sais que mon roi aille marier ta reine.
On se mettait à rire et nous avions continué la discussion.
À suivre....