– Sachez que mon orgueil de rester moi-même égale au moins ma miraculeuse beauté ! Bien que je sache, parfois, être enfant… – Ô Syrinx ! Voyez et comprenez la Terre et la merveille de cette matinée et la circulation de la vie. Oh, vous là ! Et moi, ici ! Oh, vous ! oh, moi ! Tout est dans Tout ! – Tout est dans Tout ! Vraiment ? Ah, ces gens à formules ! Eh bien, chantez-moi d’abord ma beauté. – Oh, oui ! C’est cela ! Elle attend de là-haut, campée, l’air indéfiniment dispos. Pan grimpe à un arbre qui est là et, vis-à-vis d’elle mais nullement à portée d’une poignée de mains, il s’assied entre deux branches, les jambes pendantes. Il commence, la regardant dans les yeux pour tout recueillement : – Conception bien immaculée !… Non, non ! voyez-vous, je ne trouverai pas autre chose. –