CHAPITRE XIV LA CABINE DE L’« ONDÉE VOLANTE ».Le lendemain, dès l’aube naissante, Nares, son second et moi, assistés de deux hommes, munis de fortes haches, nous nous rendîmes à bord de l’Ondée volante, pour en commencer la démolition. Nous étions déjà bien avancés dans notre travail quand sonna l’heure du déjeuner. Après déjeuner, Johnson et les matelots s’occupèrent du déchargement des marchandises, tandis que Nares et moi, nous nous mîmes à fouiller les cabines. Tout d’abord nous entassâmes pêle-mêle habits, effets personnels, tapis, vaisselle, boîtes de lait concentré, etc., etc., en un mot, tout ce qui pouvait être enlevé de la cabine principale ; puis nous passâmes dans celle du capitaine. Nous emballâmes dans des couvertures, en guise de paniers, les objets destinés à aller gross