IIILaroutine visita ensuite une foule d’autres établissements, véritablement publics, comme les jardins, et notamment des bibliothèques aussi qui étaient toujours ouvertes, et des cours qui n’étaient jamais fermés. Il vit des Musées où l’on n’admettait que des chefs-d’œuvre ; des Prisons où l’on n’était retenu que pour de graves et réels motifs ; des Bourses où personne n’agiotait, et des Écoles de droit qui faisaient le plus grand tort aux estaminets et aux guinguettes d’alentour. Il vit des théâtres où l’on chantait parfaitement juste ; où l’on représentait des drames et des tragédies dans lesquels la nature était peinte avec délicatesse sans doute, mais avec vérité ; où l’on jouait des vaudevilles sensés ; où, par l’unique motif que ce sont des chefs-d’œuvre on ne jouait pas d’antique