Partie 4
*********** INTERDIT AUX MOINS DE 21 ANS !!! Âme sensible s’abstenir mieux vous passez il n’y a rien d’extraordinaire dans cette partie, vous ne manquerez rien de l’histoire ******************
- Je t’aime ma petite punu… Murmura Marc entre mes lèvres.
Nous étions dans sa chambre et j’étais allongée sur son lit, il glissait ses doigts le long de mon corps en me déposant de doux b****r dans le cou. Je passais mes mains sur mes seins pour les cachés à vrai dire je les détestais, je détestais la forme mangue de mes seins, je n’avais jamais allaité qu’elles avaient déjà cette forme tombé de femme allaitante, j’en venais parfois à envie toutes mes amies et mes sœurs qui avaient de jolies seins ‘’citron’’ comme on dit chez nous.
Marc s’en rendit compte, il esquissa un sourire en ayant un petit regard moqueur. Gênée par cela je détournais mon regard du sien en tournant mon visage sur le côté.
- Chérie, tu caches quoi là que je n’ai jamais vu. Dit-il moqueur. J’avais tellement honte qu’il parle ainsi, je le poussais et me levais d’un bond, Marc me rattrapa par le bras ce qui me fit tournoyer et atterrir sur son grand torse dur. J’enfuis mon visage contre son torse en me collant contre lui. Pourquoi me caches-tu cette splendeur…
Il se moque de moi hein ! Quand il verra la forme de mes seins, il me quittera c’est sûr ! Je ne dis mots en fuyant toujours son regard. Marc releva ma tête, se baissa, posa un genou au sol puis l’autre en passant ses mains autour de mes seins.
- Tes beaux seins debout… Dit-il en admiration. Je me retournais en croisant les bras sous mes seins les ramenant ainsi vers le haut.
- Tu te moque de moi arrête je n’aime pas ça. Répondis-je vexée.
Je sentis son corps contre le mien et son membre qui déjà tendu caressait mes fesses.
- Chérie tu as un très beau corps, tes formes sont parfaite pile comme je les aime, tu as de magnifique seins debout, c’est un genre de seins et je les adore ! Tu n’as pas à avoir honte de leurs formes car ils sont magnifiques…
Marc me retourna à nouveau, il s’assit sur le lit en m’attirant vers lui, je m’asseyais jambe écart sur lui, mes seins pointant vers son visage, il les regroupa et se mit à les s***r comme s’il avait la des mangues juteuses. Je finis par oublier mon complexe et à me sentir très bien dans ma peau en plus j’avais un très beau corps, le corps que Dieu m’avait donné pourquoi le détesterais-je ? J’avais un corps qui donnait envie et réveillait mainte fantasme chez les hommes quoi demander de plus on n’est pas parfait mais mieux vaut faire avec ce que Dieu nous donne que de juger mal sa création en la rectifiant (chirurgie et autre).
Très vite je me retrouvais sur le lit, jambe écart laissant toute accessibilité à Marc, il descendait au fur et à mesure en me déposant de petit bisou sur chacune des parties de mon corps mais quand il voulut s’attarder sur mon sexe je l’arrêtais net.
- Ne fais pas ça ! M’écriais-je. Il sursauta et me regarda l’air de ne rien comprendre avant de se redressé. Stp ne le fait pas je n’aime pas ça… Il plissa les yeux et eu une expression de mécontentement.
- Pardon ? Demanda-t-il.
- heuu je ne veux pas que tu me… heu… Lèche heu…
- non tu n’as pas dit cela ! Tu as dit : « Je n’aime pas ça » ne change pas tes propos.
- heu oui, je n’aime pas ça. Ajoutais-je.
- Tu n’aimes pas ça !!! S’exclama-t-il.
- oui. Répondis-je perdu par sa réaction.
- ah bon ! Donc on t’a déjà fait cela c’est ça, c’est ce que tu veux me faire comprendre !? Peut-être même que tu n’es plus vierge et que tu te fous de moi ! Ecoute Ophélie, je te considère comme une fille très sérieuse mais si par malheur ce n’est pas le cas ! Je deviendrais très méchant ! Hurla-t-il.
- oh, oh, oh, pardon bloque d’abord c’est quoi ce cinéma que tu me fais là ?!
- Quel cinéma ! Je dis ce qui est ! Non, je répète et interprète ce que tu me dis !
- Ecoute je suis toujours vierge, d’ailleurs je ne vois pas ce que je gagne en te disant cela, franchement pose toi un peu la question ! Si je tiens à ce que tu le saches c’est parce que je considère que tu seras mon premier… Si on le fait bien sûr, il est important pour moi que tu le saches donc !
- Bref toi-même tu sais ce que tu fais.
- qu’insinues-tu ?
- Rien ! Dit-il en se levant.
Bravo monsieur boude maintenant on ne va plus b****r ? Hin, hin et puis quoi encore, là où il à réveiller mes esprits on va coucher ensemble ce soir-là que pion attend, s’il est vrai que je suis punu hein, il gouttera à mon coup de rein ce soir et puis quoi encore.
Marc s’était rendu dans la salle de bain, je me dirigeais vers lui en ondulant des reins puis je viens prendre appuie contre la porte. Il prenait appuie contre le lavabo et me regarda du coin de l’œil mais très vite il se reprit, humm l’homme cherche à résister. Je m’approchais tout doucement de lui puis je viens me coller à son dos en glissant ma main le long de son torse avant de la placer sur son sexe en le caressant…
- Hum tu me boude… Demandais-je séductrice.
Il prit une grande inspiration, se redressa avant de se retourné et de me lancer froidement « Non ! », il emprunte à nouveau le chemin qui menait à sa chambre, j’avais juste envie de le gifler, il joue même avec qui hein !
- Ok, puisque tu ne veux plus de moi, je rentre. Dis-je en m’habillant.
Marc se leva comme si de rien n’était en se dirigeant vers la porte qu’il verrouilla.
- A moins de passer par la fenêtre j’aime bien voir par où tu vas passer.
- regard ne joue pas avec moi ! Menaçais-je.
- Quoi tu me menace ? Demanda-t-il en plissant légèrement les yeux.
- non… Répondis-je docilement.
- chance car je ne permettrai JAMAIS que tu me menace est-ce que c’est claire ?!
Wouai ! Mais papa tu es que très bien arrivé hein ! Bref mieux évitant les problèmes.
- Hum. Fis-je avec désinvolture.
- Maintenant viens ici.
- hum tu vois un chien dans la chambre là ? Demandais-je.
Il éclata de rire avant de se diriger vers moi en ajoutant : « tu as trop la bouche toi là, je vais bien te b****r ce soir tu apprendras à me respecter »
- Woh Mr Bengone vous êtes d’une sauvagerie choquante.
- krkrkrkr mais la petite punu là tu es arrivé hein ! Krkrkrkr.
- pardon de me déposer.
- je ne t’ai même pas encore porté, je le ferai t’inquiète, je vais te coller contre tous les murs tu sauras.
- hehehehehe ! Ne me bousille pas dès la première fois hein ! M’écriais-je choquer par ses propos.
- lol, bien sûr que non… Dit-il en se frottant contre moi. Je te ferais l’amour de la façon la plus douce qu’il soit.
- humm… J’aime mieux que tu parles ainsi.
- kiakiakiakia qui t’a envoyé toi là !
Je me détachais de lui et je me rendis sur le lit en le tirant avec moi, il s’assied sur le rebord. Je plaçais ma main sur son torse en le poussant vers l’arrière l’obligeant ainsi à s’allonger.
- Personne… Murmurais-je dans le creux de son cou où je déposais de doux baisé. Je me redressais et je lui lançais un regard de s****e, Marc me regardait intriguer, il voulut dire quelque chose mais je posais mon index sur ses lèvres. Il est hors de question qu’il me gâche encore mon plaisir je suis déjà trop lancée dans mon jeu.
Je m’asseyais à califourchon sur lui, le redressais et l’embrassais en retirant peu à peu ces vêtements. Marc se laissait faire bien qu’il continuait d’avoir cet air intrigué. J’ondulais contre son bassin après avoir défait sa ceinture et en ayant ôté son pantalon. Très vite son expression disparut sous l’effet de mes ondulations, il affichait dorénavant une expression de désir, j’eus un petit sourire coquin en constatant l’effet que je lui produisais de plus son membre gonflé sous son caleçon le montrait.
Je me plaçais sous son entrejambe que je caressais et fis sortir par la suite de sa cachette. Son membre qui déjà avait doublé de volume pointait vers le haut, je fis un premier parcourt avec ma langue sur son sexe qui de plus en plus devenait raide avant de le prendre dans ma bouche pour pratiquer une f*******n.
- Humm… oh… hum bébé… Gémissait Marc de plus en plus excité.
Je ne m’arrêtais pas là, j’allais de plus en plus profond en léchant de temps en temps ses bijoux de famille, j’eus l’impression que Marc allait exploser il n’en pouvait plus et gémissait de plus belle qu’il en devenait grossier.
- Oh bébé p****n ! Ohh hum, hummm, arrête déjà humm sinon je vais hummm c’est bon…
Arrêter nzian ?! Qui t’as même mentis j’en allais de plus en plus vite quand je le sentis au bord de l’épanouissement je sortais son sexe de ma bouche en continuant mes mouvements avec ma main, il libéra sa semence quelques secondes plus tard, je pris une serviette et j’essuyais son torse et autre partie du lit touchée par son explosion de désir. Marc se redressa me regarda longuement avant de se rendre dans la salle de bain où il lava son mini lui qui soit dit en passant avait un nom : « Obame 1er » ne me demandez pas d’où sa sort c’est une soi-disant histoire avec son cousin qui donnait des petits noms à tous leurs pénis (ses frères et lui). Il revient dans la chambre en s’essuyant le membre.
- Ophélie… Il employait un ton sérieux et franchement je n’aimais pas ça.
- oui. Répondis-je
- tu es sûr de n’avoir jamais touché un homme ?
- Tchuiipx tu es sourd ? Répondis-je lassé par ses doutes.
- bon ok, aucune homme ne t’a pénétré ok, mais ce n’est pas la première que tu pratique la f*******n n’est-ce pas ?
- franchement tu me fatigues Marc, tu me fatigues !
- non, chérie, c’est juste que je cherche des réponses, ce que tu fais ne coïncide pas avec ce que tu dis, tu me dis ne pas aimer la lèche c’est qu’on te l’a déjà fait. Tu me dis n’avoir jamais pratiqué de f*******n au paravent mais tu s***s comme une PRO (professionnel) ! C’est… Je ne sais même pas comment le qualifier.
- hum. Inspirais-je. Ecoute Marc je n’ai jamais rien fait à aucun homme, je sais juste comment m’y prendre c’est tout, à longuement écouter les conversations de sparties de jambes en l’air de mes sœurs, cousines et parfois copines, j’ai fini par me forger une idée de comment m’y prendre.
- oui, je vois, je vois, excuse-moi chérie, c’est juste que tu me surprends de plus en plus c’était juste hummm… Tu ne veux pas me le refaire ? Dit-il avec un sourire hébété
- krkrkr non, c’est bon pour ce soir, krkrkr.
- non bébé, tu fais le fais vraiment trop bien quoi. Tu sais exactement comment et où toucher ça mérite un 50/10 quoi.
- kiééé c’est bon ohhh roh loll.
Au fond j’étais trop contente qu’il ait apprécié car j’avais peur au début qu’il n’apprécie pas ou ne réagisse pas mais bon au moins s’il n’aime pas ma façon de f***********r, il pourra toujours dire que je s**e bien loll.
- Viens un peu ici toi là. Dit-il en m’attirant vers lui, il m’allongea sur le lit et me parsema à nouveau de b****r. Hum c’est ton tour. Ajouta-t-il.
- Je ne demande que ça. Répondis-je.
Marc manqua l’étouffement tellement il en riait : « tu as trop la bouche tchuO ! » avait-il dit, j’avais juste sourit et s’en suivit par une délectation de nos lèvres, nos corps commençant leur douce danse de balaie. Marc se mit sur le côté et glissa sa main le long de mes cuisses en la remontant vers mon jardin secret et y planta un doigt en effectuant de vas et viens puis un deuxième répétant ainsi l’action mais en allant de plus en plus vite cette fois ci, j’en gémissais, je fermais les yeux en me laissant emporter par le doux plaisir qu’il me procurait lorsque je sentis son membre tendu et dur entre mes cuisses se créant un chemin dans mon jardin et s’y planta, d’abord doucement ne constatant aucune réaction de ma part il allait de plus en plus vite.
J’en étais étonnée, c’était ma première fois et je n’avais pas mal, son membre se glissait sans difficulté dans mon vagin. J’avais cru comme me l’avait dit nombreuses de mes connaissances que j’aurai mal mais le constat était que cela ne s’appliquait pas à moi.
- Tu as mal ? Me demanda-t-il
- non, non, même pas un peu. Répondis-je normalement.
Il était toujours en moi et me donnais de bon coup de reins.
- Tu es sur hum… Dit-il en moi.
- et certaine, tu es en moi là ? Demandais-je car je ne ressentais rien d’extraordinaire comme on avait bien pu me l’expliquer.
Il s’arrêta et me lança un : « Pardon ? »
- heuu je demande si t’es en moi ?
- oui, tu crois que je fais quoi !
- oh mais ne crie pas je dis juste que je ne te sentais pas.
Il parut vexé, j’aurais surement du me taire.
- Comme je me disais que c’était ta première fois, je voulais y aller doucement mais bon. Tourne toi.
- non, non j’ai un principe jamais par l’arrière !
- mais chérie, tu veux me sentir non ?
- non même à l’ancienne je peux te sentir !
- oui mais là tu me sentiras mieux.
- tu es sourd j’ai dit non ! Ton pénis-là ne touchera pas mon t*********l !
- ah on s’est mal compris, je ne te pénètrerais pas par le t*********l t’inquiète, tourne toi tu verras.
Je me retournais et Marc me mit en position quatre patte : « casse le dos » avait-il ajouté, ce que je fis, mes fesses rondes pointées vers le haut, je prenais appui sur mes coudes lorsque Marc glissa son sexe dans mon vagin, j’eus l’impression qu’un manche à balai y faisait son entrée. Il y allait petit à petit, changeant au fur et à mesure de vitesse, très vite je le sentis profond, trop même je dirais, une douleur se créa au niveau de mon ventre, j’avais l’impression que son parent Obame là arrivait jusqu’au ventre.
- Chéri, arch, chéri… J’appelais Marc mais ce dernier ne m’entendait plus, il allait encore de plus en plus profond et vite, tellement la douleur était grande j’en pleurais. Marc sniiif, Marc ohh tu me fais mal Marc sniiiif. Il était pris dans ses gémissements, je tournais la tête afin de le voir. Il était comme transporter, la tête porter vers le haut, les yeux fermés je lisais par l’expression qu’il affichait que le plaisir qu’il ressentait était indescriptible.
- Marc sniiiif Marc ohhhhhhh sniiiif arrête j’ai mal, Marc sniiiif. Il gémissait de plus belle. MARC OHHHHHHHHHH !!!! M’écriais-je, il eut un mouvement ralenti comme s’il revenait à lui et plongea son regard dans le mien qui était rouge et noyer de larmes. Il se retira au plus vite je m’allongeais passant la main sur mon ventre.
- Je t’ai fait mal, je t’ai fait mal ? Excuse-moi chérie, excuse-moi. Dit-il inquiété, il se plaça devant moi son membre bien tendu mon Dieu j’en avais même peur j’aurais dû me taire la première fois, c’est sûr qu’avec un niveau pareil je l’ai bien senti hein !
- depuis que je te demande d’arrêter, si tu m’as bousillé là-bas oh sniif, Marc ohh toi-même parce que j’avais déjà mal au ventre sniiif.
- Excuse-moi chérie, excuse-moi mais tu es tellement chaude en plus ta chatte est bien serrée c’est juste, c’est juste ohh tellement bon, je ne voulais plus sortir, je me sentais ailleurs bébé, tu es tellement bonne.
- non, non, non ton gros truc-là ne rentre plus chez moi !
- krkrkrkrkr mon gros quoi krkrkr mais tu disais que tu ne le sentais pas non ?
- il a triplé de volume ce n’est plus pareille ! J’ai eu tellement mal.
- krkrkr. Désolé chérie, vraiment désolé, ta chatte est juste…
- hum j’ai compris.
- on arrête ok.
- Je t’ai dit ça !?
- hein !
- On continue mais on ne fait plus la position là pardon elle facilite trop la pénétration et toi ton truc là je le sentais déjà au ventre pardon.
- kiakiakiakia non tu es grave toi, trop kiakiakiakiakia ok chérie, ok.
Il me donna de doux b****r en me suçant les seins, réveillant ainsi mon désir puis nous fîmes l’amour à l’ancienne accompagnés par la douce symphonie de nos gémissements, Marc jouit quelques minutes plus tard et se retira. Il alla rapidement rincer Obame puis me prit dans ses bras en m’embrassant, Morphée finit par nous prendre dans ses bras (le sommeil), après une telle soirée mouvementé j’avais juste besoin d’un doux moment de sommeil……
============ N’allez pas dire là-bas que c’est Betty qui vous apprends comment faire les choses des impolis (lolll) ============