Partie 15 :
- hummm… Bon je prends aussi celui-là, ça aussi, non, non pas celui-là…
- oh mais pourquoi ?
- Hee c’est comment ? Que je vais allez envahir le pauvre enfant en prenant tout, toi aussi, je prends juste le nécessaire et mes vieilles choses-là ne vont pas embellir sa maison, elle est déjà tellement belle, grande et spacieuse…
- ha c’est bon on sait, on a déjà vue oh non pardon.
- krkrkrkr jalouse heuuuuuuuu.
- pouaaa dans quoi ! Pardon hein.
Puis nous alliâmes toutes sur un fou rire, il s’agissait là d’une conversation entre Magalie, Anouchka et moi. Cette dernière était venue prendre le reste de ces affaires 3 semaines après avoir aménagé chez Darnel, d’après ses dires, ils sortent ensemble depuis 5 jours et Kevin y trouve son compte de plus la présence d’un autre homme lui fait du bien.
- Tu prends quoi d’autre ? Demandais-je lorsque je constatais que cette dernière était resté figé en fixant le petit camion rouge de Glenn, je posais ma main sur son épaule comme pour la faire revenir à elle.
- Heuu, bon allez on y va. Dit-elle simplement.
- tu ne désires pas emporter son jouet avec toi ? C’était son jouet préférer. Ajoutais-je.
- Je le sais et ce camion me rappellera trop mon fils… Je préfère qu’il reste ici, dans cette maison, avec tous ses souvenirs qui me ramène à Glenn. Répondit-elle.
- Oui je te comprends.
Elle fit mine d’esquisser un sourire et se dirigea vers la sortie, Magalie et moi fîmes de même puis Anouchka resta un long moment devant le seuil de sa maison comme pour lui dire au revoir et d’y enfermer tous ces souvenirs. Après avoir chargé les affaires Darnel vint la rejoindre en plaçant sa main sur elle.
- Tu es une femme forte. Avait-il dit. Cette dernière se contenta de sourire avant de se diriger à nouveau vers la porte, d’y pénétrer la clé dans la serrure et de la fermé à double tour. J’eus l’impression qu’elle murmura quelques paroles avant de porter la clé sur sa poitrine et de la serrer très fort.
Elle fit trois pas en arrière et se tourna vers nous en affichant un sourire des plus encourageants dans le nouveau départ qu’elle s’apprêtait là à prendre. Toute cette histoire m’avais fait grandir, j’avais une tout autre vision du monde, des circonstances qui pouvaient frapper à n’importe quel moment et dont nous devions faire face mais j’avais surtout appris une nouvelle leçon…
« Quoi qu’il arrive, il ne faut jamais baisser les bras, jamais. » ce fut là l’une des premières leçons de morale que j’eus acquis car au fil de mon existence j’en découvris d’autres…
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1 mois s’était écrouler depuis, maman avait un bilan de santé à faire en France et je devais la rejoindre plus tard, je passais donc la plupart de mon temps libre avec Marc, j’avais pu avoir mon passage en classe supérieure ainsi que Loveryan, Anouchka et Rahanne. Magalie venait d’obtenir son bac elle en était si heureuse mais ne souhaitait pas faire de long étude suite à son âge assez avancer, elle suivrait donc une formation en compta-gestion et comptait se limiter à l’obtention d’une licence.
Anouchka avait repris goût à la vie et cela grâce à Dada, on faisait tout le temps des sorties en couple, les filles et moi, il arrivait que je me retrouve assise sur la même table que Landry et que nous parlions mais uniquement en ami, il avait revu ses principes et m’avait avoué ne vouloir que s’amuser avec moi, je ne lui en voulais guerre même si cela m’avait un peu vexé je l’avoue. Il comptait également faire sa demande à Maggie mais il ne savait pas comment s’y prendre, je lui filais des fois quelques petits tuyaux sur cette dernière mais sans plus sans moins.
Je l’avais également présenté à Marc pendant une de nos sorties en couple, ce dernier voulu se jeter sur Landry mais je le rappelais à la raison, il ne l’aimait et ne le supportait toujours pas mais essayait de faire de gros effort.
Nous étions chez Landry, on avait décidé d’organiser une fête à Magalie pour sa réussite, la maison de ses parents était assez petite donc Landry s’était proposer pour qu’on le fasse chez lui, il devait y avoir du monde, des amis à Maggie, sa famille, des amis a Landry et bien plus.
Anouchka, Rahanne et moi nous étions chargées de préparer un bon festin de roi tandis qu’Amandine une des amis de Magalie s’était portée volontaire pour faire les pâtisseries. Tous avions cotisés pour elle, même Marc avait donné sa part, il avait fait louer les chaises et des cartoons de boisson tandis que Landry lui avait loué la tente fait venir un de ses potes DJ et bien plus encore.
Pendant que les filles et moi nous activions en cuisine, les garçons installaient les chaises et montaient la tente. En effet c’était une surprise les parents de Magalie ainsi que ces frères étaient charger de la retenir le plus de temps possible avant d’arrivé. Anouchka et moi étions les superviseuses et toutes les 5 minutes on s’assurait que tout était en place.
- Non, non les garçons de l’autre côté, ok là c’est… Un peu plus sur la droite enfaite, non l’autre droite… Disais-je aux garçons afin de mieux cadrer la tente.
- p****n Ophélie t’as qu’à le faire toi-même ! S’écria Marc qui visiblement n’en pouvait plus du poids de la tente, il suffisait de les regarder pour voir que tous n’en pouvaient plus, ils transpiraient à grosse gout, d’un autre coté j’avoue que je faisais cela pour les embêtés un peu lol.
- vas-y chéri t’es le plus fort supporte.
Il me lança un regard noir l’air de dire tu me le payeras.
- C’est bon c’est parfait ! Ajoutais-je. C’est du bon boulot les garçons bravo.
Ils me piaffèrent tous avant de se disperser chacun de leur côté. Marc se dirigea vers moi pleins de sueurs, je ne pouvais m’empêcher de le trouver sexy dans son débardeur mouillé laissant libre vision à son corps musclé de rêve.
- Tu aimes trop jouer toi… Dit-il sensuellement au creux de mon oreille. Humm l’homme-là !
- ahh pardon, tu sens mauvais vas là-bas. Répondis-je.
- L’odeur du mal Femme ! Dit-il.
- Poua ! En tout cas tu chlingue (pu). Lançais-je en tournant les talons. Il me retient par le bras en m’attirant voilement vers lui j’atterrie dans ses grands bras musclé qu’il referma sur moi.
- Tu es folle ! Dit-il moqueur. Tu es ma femme que je me lave ou pas, que je sente ou pas, que je devienne repoussant ou pas tu dois m’accepter tel quel !
- Kiiééé papa tu es arrivé hein ! Où est la bague là pardon la bouche, la bouche cadeau on veut les actes.
- krkrkr je dis hein qui te mange même ! C’est toi qui avais refusé la bague en question.
- C’est toi, plus qu’on te grignote tu viens me manger.
- ah mouf ! Sorcière va, on vous connait, les filles bapunu là !
- wooohhh un g****o comme toi que je vais perdre mon temps à te féticher que tu as quoi même hein ! Hein !
- Je suis une STAR bébé, krkrkr !
- Star dans zéro.
- tu as trop la bouche toi là. !
- Tu m’aimes pour tout ça non. Pff
- hum là tu marques un point ahahaha. Puis il se pencha vers moi et m’embrassa. Allez va me faire de bon petit plat.
- Mwane (l’enfant) tu penses que tu vas manger seul hein !
- tchuip c’est même vrai, en tout cas tu mets pour moi à côté.
- Non je te ferai à manger chez toi. Je dormirai là-bas ce soir.
- Sérieuxxx !!!!! Dit-il enjoué.
- non toi pardon, oui oh !
Il me serra encore contre lui en me déposant un doux baissé sur le front.
- Humm je sens que je vais bien *** Ce soir.
- Woohh Pourquoi toi tu es toujours sauvage comme ça oh non, tu aimes trop ça !
- hahahahaha ah bon hein ! Hum et toi donc ?
- Pardon je vais préparer tu me perturbe là.
- oui c’est ça part. Dit-il en me tirant la langue.
Je ne pus m’empêcher de sourire devant de tel gaminerie, nos hommes sont extraordinaires, ils peuvent se montrer fort, voilent, orgueil mais ils ont toujours ce petit côté enfantin et se conduisent parfois comme de gros bébé, j’avoue bien aimer cela.
J’allais rejoindre les filles en cuisine. On avait bientôt fini de préparer ; il fallait donc aller se laver et se changer car une femme digne de ce nom doit toujours prendre un bain après avoir préparé de plus les odeurs de cuisine collent et elle ne doit pas indisposer ces invités avec. J’étais allé tirer Marc qui était en train d’aider les autres hommes à placer les chaises et tout. Je lui murmurais que j’allais prendre mon bain. Ce dernier n’eut pas besoin que je développe d’avantage pour me tirer avec lui afin que nous le prenions ensemble.
Nous étions sous la douche, le jet d’eau coulait sur nous pendant que Marc me recouvrait de savon, il le passait sous mes seins en les caressants tendrement pendant que je penchais mes fesses sur son membre en m’y frottant…
- Hum bébé, j’ai envie de te prendre… Murmura-t-il.
- non.
- oh chéri, c’est une torture. Ajouta-t-il suppliant.
Je me retournais en tenant son membre dur dans ma main et je le caressais puis je le collais contre mon sexe en soufflant un « non » sensuelle qui le fit se tendre d’avantage.
- Bébé, juste cette fois…
- J’ai dit plus jamais sans préso (préservatif) alors c’est non. Je le vis se raidir en plissant sourcil puis il me porta sur ses épaules sans oublier d’arrêter l’eau, il me jeta sur le lit alla vite fouiller dans les poches de son jean où il en sortie son portefeuille, prit le préservatif qui y était en fermant la porte à double tour.
- Tu es folle si tu penses que tu vas m’exciter comme ça et me laissant sans reste par la suite.
- krkrkrkr. Toi là vraiment.
Sans plus tarder il enfila son préservatif et se glissa en moi sans même passer par des préliminaires.
- ohhh p****n ! S’écria-t-il prit de plaisir. Oh bébé, hum… Tu fais la bouche là or tu en avais envie.
- N’importe quoi. Mentais-je j’en avais autant envie que lui.
- oh… Ta température intérieure te trahie, tu es tellement chaude hum… oh…
Je fermais délicatement les yeux en me laissant emporter dans les délices plaisir que fournissait notre corps à corps. Très vite cela deviens intense Marc et moi n’arrivions plus à retenir nos gémissements, j’avais beau mettre ma main sur sa bouche et lui la sienne sur la mienne, malgré cela quelques gémissements parvenaient à s’y échapper.
- Chutt bébéé ohh moins fort oh, hum… Me dit-il.
- OHHHH CHUT TOI-MEME ! Ohhh ouiiiiiiiiii ouiiiii !!!!!! Répondis-je entre des gémissements.
Marc me tourna et me mit en position quatre pate là il allait de plus en plus vite et profondément lorsqu’il se sentit au bord de l’épanouissement il passa sa main sur mon clito qu’il se mit à caresser rapidement en me pénétrant de plus belle, je me sentis moi aussi au bord de la jouissance, quelques minutes s’en suivit avant que Marc ne soit traverser de v*****t spasme en relâchant sa semence libératrice je le rejoins les secondes suivantes, je faiblis en me laissant tombé sur le lit, Marc et moi récupérions notre énergie avant de nous retourner l’un vers l’autre en éclatant de rire.
- Chut moi-même hein ! krkrkrkrkr dit-il.
- ah pardon, tu me dis chut, toi-même tu gémissais de dingue. Répondis-je.
- ahahaha c’est vrai, c’est vrai, ahahaha. On va nous griller hein, on a fait trop de bruit.
- C’est sûr, mais je m’en fou qui ne fait pas ça ici, pardon hein.
- Ahahahaha tu es grave toi, trop même. Il me prit à nouveau dans ses bras en me déposant un doux b****r sur le front puis il se leva alla retirer son préservatif et se nettoyer par la suite.
Je pris encore un autre bain avant de me préparer. Aux sorties de la Marc et moi nous rendîmes dans la cours où nous constations que la fête avait commencé et que Magalie et sa famille y était déjà. Lorsqu’elle me vit elle se dirigea vers moi pendant que Marc lui se rendait auprès des garçons après avoir salué cette dernière.
- C’était puissant hein toi là ! Me dit-elle après le départ de Marc.
- De quoi parles-tu ? Fis-je semblant de ne pas comprendre.
- Ah laisse ça, je t’ai entendu crier là-bas, ah oui, oui ohh oui. Dit-elle en m’imitant
- krkrkr Many t’es malade krkrkr.
- Avoue c’est tout.
- On m’entendait bien ? Tout le monde ma entendu ?
- non t’inquiète juste Landry, Anouchka et quelques autres personnes krkrkr.
- wooo je suis mouillée (avoir honte).
- Laisse man à cause de ton bruit la Landry aussi veut que je lui donne sa part ce soir.
- krkrkrkrkrkr bien fait !
Anouchka vint nous rejoindre par la suite et toutes les trois nous sommes allez retrouver nos trois petits copains qui étaient debout en formant un trio et qui sirotant leurs canette de bière sauf monsieur Marc qui s’était contenté d’un Djino ananas. Nous leurs fîmes la bise en restant dans leurs bras, Anouchka rayonnait de milles feu, Magalie et moi ne pouvions nous empêcher d’être heureuse pour elle.
Je profitais pleinement de ces instants de joies car dans la vie les amis, on ne sait jamais ce qui nous attend devant….