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CHAPITRE V Une chasse à l’obusierIci l’auditoire du docteur l’interrompit par un murmure d’approbation. Le docteur se sentait en verve. Il continua : Telle était, Messieurs, la résidence où j’avais été invité ; et je vis du premier coup d’œil que je pouvais passer là quelques jours assez agréables, même sans l’appoint de la chasse aux pigeons. À mon arrivée, je trouvai tout le monde réuni, une trentaine de ladies et de gentlemen, tous jeunes et de belle humeur. Les pigeons n’avaient pas encore fait leur apparition, maison les attendait d’un moment à l’autre. Les bois avaient revêtu leurs fastueuses teintes de l’automne, la plus belle saison de l’année dans le lointain Ouest. Déjà les noix mûres et les baies jonchaient le sol, offrant leur annuel banquet aux animaux sauvages. Les faînes,