XVI L’HOMME DE LA LOGERIECourtin, car c’était lui que Courtejoie avait désigné sous le nom de l’homme de la Logerie, Courtin était effectivement entré dans la première pièce du cabaret. Sauf le cri d’alarme, si bien imité qu’on eût pu le prendre pour le cri d’une perdrix privée, qui avait servi d’avertissement à son arrivée, sa présence ne semblait avoir fait aucune sensation dans la salle commune ; les buveurs continuaient de causer ; seulement, de sérieuse qu’elle était d’abord, leur conversation, depuis l’apparition de Courtin, était devenue très gaie et très bruyante. Il regarda autour de lui, sembla ne pas trouver dans la pièce d’entrée la figure qu’il cherchait, puis ouvrit résolûment le vitrage, et montra sa figure de fouine sur le seuil de la seconde pièce. Ici encore, personne n’