CHAPITRE VIII Chien et chat Le pauvre monsieur ! Il était dans sa rotonde, le seul point du globe terrestre qui lui parût encore favorable à ses chères et patientes études géologiques. Mais déjà cette rotonde ne répondait plus à ses ardents désirs. Bien que les murs de la tourelle dont elle faisait partie fussent d’une épaisseur raisonnable, les sons, et quels sons ! arrivaient de toute part. Le bruyant Ildefonse ne désespérait jamais de rien. Optimiste par nature, il poursuivait sa pointe, coûte que coûte, et voyait toujours la réussite à l’horizon. Une de ses idées les plus chères, c’était de parvenir, en dépit des préliminaires fâcheux, à organiser des chasses, dont l’éclat retentirait d’un bout à l’autre de la vieille Bretagne. Il est vrai que le temps consacré par la loi était pas