Sharon avait vraiment peur de Stanley. Il la regardait avec une paire d'yeux sombres, cela ressemblait presque à un trou noir qui pourrait l'aspirer. Son regard était si direct et suggestif qu'elle se sentait nue sous son regard et lui donnait la chair de poule. Elle n'avait pas jusque là compris ce qui le mettait dans un tel état d'anxiété. Se léchant le coin de la bouche, elle bégaya de peur : « Qu'est-ce qui ne va pas ? Je ne sais vraiment pas. Peux-tu être plus précis ? » dit-elle. « Non ! » la réponse fut brutale pour elle. Dès que l'homme eut terminé sa phrase, il baissa la tête et l'embrassa passionnément. Il était si rapide et si redoutable que Sharon ouvrit grand les yeux et que son esprit se vida d'un trait, horrifié. Comment pouvait-il lui dire si lui-même ne comp