XXXII On dansera M. Lecoq, lui, n’avait rien perdu de sa victorieuse bonhomie. Il clignait de l’œil en regardant M. Schwartz et adressait des signes d’amitié à Julie. Ce fut celle-ci qui rompit le silence. « Je n’ai pas compris tout ce qui vient d’être dit, murmura-t-elle d’une voix altérée. Dois-je croire que M. Schwartz a trempé dans cette horrible affaire Bancelle ? – Heu ! heu ! fit M. Lecoq, chèvre et chou, chair et poisson… ça et ça ! » Et comme le banquier protestait d’un geste énergique : « Sans doute, sans doute, reprit-il, chère madame, M. le baron est innocent comme l’enfant qui vient de naître. Je lui dois ce témoignage : il n’a trempé dans rien du tout. Seulement, vous savez, on naît homme d’affaires. M. le baron était usurier avant d’avoir un sou vaillant. J’ai eu le p