CHAPITRE VConversationsMarie de Merckheim entra chez Mme Perdrigon tenant à la main une lettre ? – Chère Madame, voulez-vous lire et me dire ce que je dois répondre ? – Volontiers, mon enfant, donnez. « Ma chère Marie, j’ai été très attristé, hier, par la froideur de ton accueil, mais je comprends tes sentiments et ils m’expliquent ton attitude. Nous ne pouvons pas oublier, cependant, l’affection qui nous lie depuis notre enfance et briser des liens qui me sont si chers sans essayer quelque chose pour éviter ce que je considère comme un grand malheur. Permets-moi de le voir et de causer un peu avec toi. Les amis chez qui tu es ne s’émouvront pas, je pense, de ma présence, ils comprendront le motif qui m’anime et m’accorderont la permission que je te prie de solliciter d’eux pour moi.