XM. Bergeret s’inquiétait de l’état de ses affaires et craignait de tomber en disgrâce, quand il reçut l’avis qu’il était nommé professeur titulaire. Cette nomination lui vint un jour, dans son nouveau logis de la place Saint-Exupère, au moment où il s’y attendait le moins. Il en éprouva une joie plus grande que n’eussent semblé le permettre ses progrès en ataraxie. Il en conçut de vagues et flatteuses espérances et il était tout souriant quand, le soir, M. Goubin, son élève préféré depuis la trahison de M. Roux, vint le chercher en son logis, pour l’accompagner, selon la coutume, au café de la Comédie. La nuit était brillante d’étoiles. M. Bergeret, en battant du pied le pavé pointu des rues, regardait le ciel. Et, comme il était curieux d’astronomie amusante, il montra du bout de sa ca