IIILe gendre de M. Richomme était aussi d’une famille dont s’honorait le commerce de la droguerie. Son père avait été le fondateur d’une maison en grande renommée, non seulement à Paris où était son comptoir principal, son centre commercial d’action, mais encore à l’étranger. Esprit vaste, il ne confondait pas le petit négoce avec l’industrie. Plusieurs voyages aux Indes et en Amérique, des études en chimie, des connaissances variées en botanique lui avaient donné des avantages extraordinaires sur ses concurrents, gens de boutique, façons d’épiciers et de pharmaciens de village. Quoique savant, il avait réussi dans presque toutes ses opérations pendant plus de quarante ans d’exercice. Sa mort légua à son fils, Alexandre Fleuriot, le gendre de M. Richomme, près de trente mille livres de rev