CHAPITRE XII Placement de fonds et jeux innocents – Le punch et le lampion De retour à Paris, Auguste trouve chez lui M. Destival qui l’attendait, et qui court presser la main de son cher ami. – Ce cher Dalville, que diable devenez-vous donc ? dit l’homme d’affaires en jetant de temps à autre un coup d’œil vers la fenêtre et regardant dans la rue. – Vous m’attendiez, je suis désolé… – Oh ! il n’y a pas de mal. À la vérité, j’ai mille courses à faire dans Paris ; mais mon nouveau cheval est délicieux… Peste ! c’est un animal précieux. L’avez-vous remarqué, à la porte ? – Non ; je n’ai pas pris garde… – J’ai fait repeindre mon cabriolet, et j’ai pris un n***e pour jockey ; il faut bien monter sa maison quand les affaires augmentent. J’ai donné une cuisinière à ma femme… un cordon bleu