" Ne regrette jamais rien car il fut un temps où c'est exactement ce que tu voulais. "
! AIDEN EN MEDIA!
PDV Serena Alvarèz
16 juillet 2016, 13h00, Maison de Rafael, Santa Clara, Cuba.
J'ouvrais difficilement les yeux, j'avais mal partout, surtout à la tête, j'avais dormir sur la pelouse et franchement ce n'est pas du tout confortable. Je me redressais et vis à coter de moi André il était entrain d'allumer sa cigarette.
- Enfin réveillé, j'ai bien faillis croire que sa n'arriverais jamais. Dit-il en rigolant.
- Pourquoi sa ? Il est quelle heure ? Dis-je ne me relevant paniqué.
Vous avez dû le remarquer, je dors énormément le matin, mais la c'est tout autre chose, je devais rentré à la maison assez tôt pour que personne ne remarque mon absence mais la c'est mal partis.
Il regarda donc sur son portable.
- 13h05 précisément.
- Oh mon Dieu, il faut que je trouve Rosa, je dois rentré à la maison !
- Sache que si tu ne la trouve pas, ma proposition pour te ramener chez toi tiens toujours. Dit-il en me souriant. Mais je ne l'es pas vue sortir alors je pense qu'elle doit encore être à l'intérieur, alors del hé too avant qu'il ne soit trop tard délinquante !
Je rigola.
- Sa a été un plaisir de faire t'as connaissance André. Dis-je en lui embrassant la joue. N'y voyez rien d'ambigu, je ne prendrai pas la peine de me mettre dans une relation alors que je savais que je finirai avec un autre
- De même pour moi, j'espère bientôt pouvoir te revoir Serena.
Je lui fit un au revoir de la main et partis en direction de la maison, je poussais la porte et entrais dans la maison il ne restait pratiquement personne, de trois personne étaient dans les vapes, des filles à moitié à poils sur le canapé et j'en passe... C'était désespérant.
Je demanda à certaine personne s'il n'avait pas vue Rosa en la décrivant.
On m'indiqua l'étage, je montais donc ouvrant les portes au hasard.
Toilette...salle de bain...chambre vide, pour finalement ouvrir la bonne porte et trouver Rosa allongée dans un lit, seul?
Je m'approchais d'elle et entrepris d'aller la réveiller.
- Rosa, lève toi ! Je lui secouais l'épaule Rosa allez debout !
Elle grognait de mécontentement
- Allez Rosa !
- Donne moi cinq minutes je te rejoins en bas. Dit-elle en nichant sa tête dans l'oreiller.
Elle a dû avoir une nuit mouvementé.
Je sortis de la pièce et descendis en bas, en l'attendant.
~~~ Ellipse du trajet ~~~
Rosa venait de me déposer à la maison, je n'avais qu'une envie c'était de prendre de l'aspirine, j'avais un mal de tête affreux. J'espérais ne pas m'être fait repérer mais vu l'heure sa me paraît impossible.
Par chance la fenêtre était encore ouverte, j'escaladais facilement le mur grâce au tuyau et me retrouva en quelques minutes à ma chambre.
Je fermais directement la fenêtre derrière moi, mais lorsque je me retourna je vis une personne, plus tôt un homme assis sur mon lit et ce n'était pas John. Je lâcha un crie de stupeur et l'homme tourna le visage vers moi.
Il se leva et s'approcha de moi, mais je n'eu pas le temps de faire le moindre geste qu'il prit la parole.
- Serena... Tu rentre enfin, j'ai appris que encore une fois tu désobéissais à mes ordres , tu n'as pas compris ce que je t'es dis l'autre jour ? Dit-il en me regardant fixement dans les yeux. Il avait un fort accent. Au lieu de m'inquiéter de la situation j'admirais son magnifique visage.
Mais je sortis rapidement de mes esprits lorsque l'homme soupira d'exaspération.
Je faisais rapidement le rapprochement, lui, Aiden Costello. Je ne comprenais pas qu'est ce qu'il faisait la, j'ai désobéis c'est une chose mais faire, le voyage jusqu'ici ne serais pas un peu tiré par les cheveux ?
- T'as perdu ta langue ? Je t'es pausé une question, répond moi. Ordonnât-il.
Son regard m'hypnotisait il était si intense qu'il m'empêchait de sortir le moindre song de ma bouche. Je continuais d'admirer son visage p****n. Il était vraiment beau. C'est peut-être les traces d'alcool et de drogue qui me faisait encore déliré.
Il m'attrapa le poignet et exerça une forte pression dessus, ce qui m'aida à reprendre mes esprits
- Aïe, p****n lâche moi lui. M'énervais-je.
- Baisse d'un ton quand tu me parles. Il marqua une pause. Il me semble t'avoir demander quelque chose.
Il n'avait absolument pas prit en compte ce que je venais de lui dire. Et je sentais dans le ton de sa voix qu'il ce contenait mais je n'en n'avais rien à faire.
- Quoi? Qu'est ce que tu veux que je te dise, je suis sortis malgré ton interdiction? Ba voilà je t'ai dis ce que tu voulais entendre.
Je regretta rapidement mes paroles lorsque je sentis la pression sur mon poignet de plus en plus forte, il allait me le briser si il continuait, j'essayais de me défaire de son emprise mais c'était peine perdu.
- Tu ne te rend pas compte à qui tu as à faire, mais vu ton comportement tu ne vas pas tarder à le découvrir. Il s'arrêta quelques seconde et s'approcha un peux plus de moi, et me regarda avec un regard de dégoût. T'étais où hier ? Tu sens l'herbe c'est degueulasse. Dit-il énervé.
- J'étais simplement chez mon amie..
- Ne me mens pas p****n. Dit-il en continuant d'émettre une pressions sur mon poignet. Je répète t'étais où ?
- À une fête. Répondais-je finalement.
- J'espère que t'as bien profité, par ce que je ne suis pas ici pour rien. Je le regarda incrédule. Le ton de sa voix était beaucoup plus calme. Il relâcha enfin mon poignet endolori,je vais avoir un magnifique bleu super. Tu vas repartir avec moi aujourd'hui.
- Quoi? Mais c'était prévu que je parte quelques jours seulement avant le mariage !
-nC'était aussi prévue que tu suives ce que je te dis. Tu as préféré me désobéir alors tu assumes la conséquence de tes actes. Répondît-il. Aiden 1; Serena 0. Ta gouvernante a déjà ranger la plus part de tes affaires, prend les dernières choses dont tu as besoin et rejoint moi en bas, ne te fais pas trop attendre. Menaçait-il.
Il ne me laissa pas le temps de partir qu'il sortit. J'étais à bout, je ne pourrais pas dire au revoir à Rosa ni personne, et je ne pouvais en vouloir qu'à moi même.
Je rassemblait mes dernières affaires, dans un sac à dos, je pris une douche rapide sa réflexion sur mon odeur était assez blessante, et me changea rapidement, mon dressing était pratiquement vide il ne restait que quelque vêtements, je pris donc un jean noire, ainsi qu'un top de la même couleur, et me changea rapidement. Je gardais ma bombers ainsi que mes superstars.
Avant de sortir de ma chambre, je me dirigea vers la table de nuit ou ce trouvait une photo de mon père et moi, j'étais sur ses épaules, je me souvient encore de ce jours comme si c'était hier, nous étions au zoo. J'observais encore quelques secondes la photo avec nostalgie, et la rangeais dans mon sac.
Je sortis de ma chambre et rejoins Aiden en bas, il était au téléphone, j'écoutais discrètement la conversation mais je ne comprenais pas grand chose, j'avais déjà pris des cours d'italien mais ce n'était pas mon fort.
- Un po' ribelle , ma mi accontento suo.
???:
- Andiamo a casa.
???:
- sì mamma.
Il tourna la tête en ma direction, je m'échappais donc en vitesse de son champs de vision en espérant ne pas mettre fait voire.
La seule chose que je réussi à conclure de ce que j'ai entendus c'est qu'il parlait à sa mère.
Quelqu'un me sortis de mes pensées, je m retournais pour voire qui c'était et j'eu l'agréable surprise de voir Maria, je ne l'avais pas beaucoup vue c'est temps si, je la pris donc instinctivement dans mes bras.
- Maria, je suis ravie de te voire, comment vas-tu ?
- Très bien et toi ma belle ?Répondît-elle.
- Sa pourrais allée mieux...
- Serena, j'ai essayé de te couvrir mais John à remarquer que tu n'étais pas là, et je n'ai rien pu faire désolé ma chérie.
- Tu n'as pas à t'excuser Maria, c'est entièrement ma faute, mais ce n'est pas l'important, tu vas énormément me manquer Maria. Je marqua une pause. J'aimerais te remercier pour tout ce que tu as fait pour moi, tu as toujours été comme une mère et je te promet que ce n'est qu'un au revoir et non un adieu.
- Ma chérie, bien sûr que ce n'est pas un adieu, et même si l'on ne se reverrait pas sache que tu seras toujours présente dans mon cœur.
Je la pris dans mes bras et la serra fort, je mis fin à ce étreinte lorsque j'entendis un raclement de gorge. Je me retourna et vis sans surprise Aiden les bras croisés, adossé contre la porte. Sexy.
- C'est l'heure d'y aller, finis de faire t'es adieux et rejoint moi dans la voiture.
Je ne pris pas la peine de lui répondre et me retourna vers Maria. Connard va.
- Allez ma chérie c'est l'heure pour toi d'y aller, ne sois pas triste, il n'est peut être pas si méchant que sa, à toi de faire la part des choses, n'oublie pas que tu seras amener à vivre avec lui.
Et puis quoi encore, un homme qui est maniaque du contrôle et souhaite que tout ce passe comme il le veux, n'es pas gentille j'appelle sa un malade mental. Je n'aime pas jugé au apparence mais de ce que j'ai vue il ne m'inspire rien de bon.
Je lui souris, et la pris une dernière fois dans mes bras avant de sortir de la maison. Je la regardais de loin encore quelque instant et me dirigea vers la voiture toute ma vie était ici j'avais grandis dans cette maison, et aujourd'hui je la quittais.
~~~~ Ellipse du trajet ~~~~
On venait de monter dans son jet, c'était magnifique a l'intérieur, j'étais émerveillée, mon père en possédait un aussi mais pas aussi beau et luxueux.
Aiden prit place sur ce grand canapé lorsqu'il vit que je ne bougeais pas il prit la parole
- Tu peux venir t'asseoir tu sais je ne vais pas te manger, à moins que tu veuilles passer le voyage debout ? Haha très drôle, l'humour est au rendez-vous à ce que je vois.
Je secouais négativement la place et m'asseyais sur un fauteuil qui était placer à sa gauche.
Peux de temps après une hôtesse vint nous voire, elle était belle, du genre vraiment belle elle avait de long cheveux blond et de magnifique yeux bleu.
Celle là il n'a pas dû la choisir pour ses compétences, me souffla ma conscience.
- Buon giron Signore Costello desiderate qualcosa ? Bonjours Monsieur Costello vous désirez quelques chose ?
- Un bicchiere di whisky. Un verre de whisky.
- Bene e tu ?dit-elle en me regardant. Bien et toi ?
Ok il faut vraiment que j'apprenne l'Italien, sa en devient limite gênant.
- Elle te demande si tu veux quelque chose ?
Merci à mon traducteur Espagno/Italien préféré.
- Juste un verre d'eau s'il te plaît.
- Un bicchiere d'acqua. Transmit-il.
- Beh io ti porta indietro il suo subito. Je vous apporte sa tout de suite.
Toujours pas compris, mais bon tant pis.
- Il serrait bien que tu apprennes à parler italien, tout le monde ne maitrise pas parfaitement l'espagnol là-bas.
- Justement j'y avais pensé, mais bon c'est pas comme si on était venue me chercher plus tôt que prévu. Répondais-je insolemment.
- Je ne vais pas jouer longtemps avec toi, Serena je te le répète ne me parles pas comme ça, je te jure que tu risques de le regretter amèrement. Dit-il assez énervé.
Je ne lui répondis pas, trouillarde. Je sais que si je continue à jouer avec le feu je finirais par me brûler, autant m'arrêter, même ma décision risquerai d'être simplement temporaire.
Notre altercation avait laissé un silence assez gênant même si lui avait l'aire de complètement s'en foutre. Il pianotais sur son portable. Ce qui me fis pensée qu'il fallait que j'envoie un message à Rosa pour lui annoncer mon départ "prématurer" avant de quitter le pays. Je chercha donc le portable dans mes poches mais je ne trouva rien.
- C'est sa que tu cherche dit-il en sortant mon portable d'une de ses poches.
Mais comment il a eu mon portable il était dans mes poches, je comprend pas.
- Quand est-ce que tu me l'a pris ? Rend le moi !
- Pendant que tu dormais dans la voiture dit-il en haussant les épaules.
Comme tout à l'heure il ignorais encore ma demande, il commençait vraiment à m'agacer.
- Bien, tu peux me le rendre maintenant?
- Non.
- Et je peux savoir pourquoi tu ne veux pas me le rendre ?
- Je n'en n'ai simplement pas envie.
Oh juste sa, j'ai faillis croire qu'il avait une raison valable.
- S'il te plaît j'ai juste besoin d'envoyer un message à ma meilleur amie.
- Supplie moi j'adore ça. Dit-il avec un sourire en coins.
Alerte ! Je suis compagnie d'un p****n de lunatique pervers !
On fut coupés dans notre conversation par l'hôtesse qui revient avec nos verres. Elle les déposa sur la table basse qui était en face d'Aiden.
- Grazie. Merci.
- Bisogno di qualche qualcosa mi fece segno dit-elle en lui fessant un clin d'œil. Faites moi signe si vous désirer quelques chose d'autre.
Pas besoin d'être bilingue pour comprendre où elle voulait en venir avec son sourire aguicheur et son clin d'œil. Elle partit direction son compartiment et nous laissa seul.
Quelques instants plus tard une voix ce fit entendre sortant de je ne sais où me faisant sursauter, ce qui a bien sure amusé l'autre connard.
- Il apprette aereo a decollare , si prega di allacciare le cinture di sicurezza momento del decollo. L'avion va bientôt décoller, attachez votre ceinture pour le décollage.
Je regarda Aiden attendant une traduction
- L'avion va décoller, attache t'a ceinture.
J'attacha donc ma ceinture. Quelques secondes plus tard Aiden vint prendre place à coter de moi.
J'avais déjà pris l'avion donc je n'appréhendais pas vraiment le décollage. Par contre j'avais réellement envie de dormir, je ne m'étais pas remise de ma nuit sur la pelouse. Oui ma vie se résume à dormir et manger.
PDV AIDEN COSTELLO :
17 juillet 2016, 15h30, Jet privé de Aiden Costello, Quelque part dans les aires.
L'avion avait décollé depuis une bonne vingtaine de minute et Serena venait de s'endormir. Elle m'avait vraiment énervé, mais je ne regrette pas d'être venu ici, au moins elle a dû comprendre de quoi je suis capable. Je l'observais quelques instants, cette fille n'était pas moche, je la trouvais même attirante, elle avait de magnifique yeux et des lèvres pulpeuses qui donnait envi de beaucoup de chose. Elle dégageait une certaine innocence qui la rendais encore plus attirante. Au moins elle ne servira par à rien, sa promet d'être amusant.
PDV SERENA ALVARÈZ
17 juillet 2016, 08h00, Jet privé de Aiden Costello, Trapani, Sicile, Italie.
Quelqu'un me secouais l'épaule, lorsque j'ouvris les yeux je vis le visage d'Aiden à quelques centimètres du miens, je sursauta.
- Enfin réveillé, tu ne fais que dormir ma parole. Rigolât-il. Ok je bave littéralement devant son sourire. Lève toi, on est arrivé la voiture nous attend. Dit-il en partant.
Je repris mes esprits et détacha ma ceinture pour le rejoindre. Je sortis du jet, me voila en Italie, afin d'affronter mon destin.
À aucun moment dans mes pensées je ne m'imaginais le quart de ce qui m'attendais.