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« Cette rencontre ne m'a pas simplement écorché le coeur, mais elle m'avait également ouvert l'esprit. À l'instant où j'ai cru mourir à petit feu, j'ai compris que je n'étais qu'au début de ma vie... »
Je l'ai rencontré et tout mon monde c'est effondré.
J'ai abandonner tout ce que j'avais pour le suivre, mais en réalité est-ce que j'avais le choix ?
Mon père voulait assurer ma sécurité à l'aide de cet homme.
Quel paradoxe ! J'avais plutôt l'impression que depuis que je le connais j'ai été en proie à de multiple danger.
Mais il a toujours été là pour me secourir, lui et son caractère de merde.
A l'usure, il m'a eu l'usure.
L'homme que je croyais incapable d'aimer m'a aimé.
Il m'a aimé et je l'ai aimé, malheureusement la vie n'est pas facile et le bonheur a un prix.
chapitre 1
Serena
" L'esprit oublie toutes les souffrances quand le chagrin a des compagnons et que l'amitié le console."
- William Shakespeare
Serena Alvarèz
J'étais assise là à coté de sa tombe cherchant les mots. J'avais tant de choses à lui dire mais par où commencer ?
«– Où que tu sois j'espère que tout vas pour le mieux. Un avenir incertain pourtant j'étais heureuse. »
Je respirais un grand coup à fin de ne pas fondre en larme.
«– J'ai lu la lettre que tu m'avais laissé avant de partir ... Pa... Papa je laissais échapper quelques larmes Tu m'as promise à un homme dont j'ignore tout, tu avais sûrement tes raisons mais je ne veux pas les comprendre. C'est trop difficile papa. Tu n'est plus là et je suis seul, seul face à tout ça... dis-je en criant les yeux baigner de larmes.»
Je repris mes esprits quelques instants avant de reprendre mon récit.
«– J'ai 18 ans dans 1 mois dis-je plus calmement, alors si j'ai bien compris il ne me reste plus que 1 mois avant de tout quitter. Je me tu quelques instants. Papa tu es partis trop tôt, j'ai besoin de toi aujourd'hui et t'es pas là. dis-je les larmes aux yeux, Je n'ai peut-être pas eu la chance de connaître l'amour d'une mère mais tu as su me combler. Tu as réussi à compenser ce manque et je t'en serai éternellement reconnaissante, même si une partie de moi t'enveux de me laisser seul face à tout ça.
Je restai assise ici encore une dizaine de minutes, rester ici me permettais de réfléchir plus posément je me sentais bien j'avais l'impression de sentir mon père auprès de moi, je sais c'est fou mais j'ai besoin de sentir cette présence.
Après une trentaine de minutes assise je me décidais rentrer. Je me levais difficilementdu sol, essuyant au passage mon jean qui était recouvert de terre, et pris la direction de la maison. Le cimetière n'était pas très loin de chez nous, et comme c'était l'une des rares sortie « autorisé » cela me permettais de prendre l'air.
Sur le chemin du retour je réfléchissais à cette lettre que je ne pouvais refuser, enfin je n'avais pas vraiment le choix...
Un pincement au cœur me vint à cette pensée, mon destin était scellé.
Une fois arrivé devant la maison un des garde me laissa entra, à peine j'eu ouvert la porte que John se rua sur moi.
- Serena où étiez-vous ?! On s'est fait un sang d'encre pour vous ! Dit-il.
- Du calme John j'étais juste au cimetière. Affirmais-je calmement.
On pouvait dire que j'étais victime de « surprotection »
- Vous savez très bien que lorsque vous sortez vous devrez prévenir au moins une personne me reprochât-il vous n'avez même pas pris votre téléphone portable !
- Je sais mais ... Je fus coupée par Maria
- Laissez-la voyons, vous voyez bien qu'elle ne va pas bien. Dit-elle en me fessant un clin d'oeil et me fit signe que je pouvais y aller.
AIDEN COSTELLO
Vrrr...vrrr...vrrr
Je fus coupé dans mes calcules par mon téléphone, je soufflais bruyamment, irrité d'avoir été dérangé lors des mes occupations.
Le nom de John s'affichait sur l'écran. Il m'appelait sûrement pour la gamine qui avait fuit sans prévenir.
Avoir affaire a se genre d'enfantillage m'usait, et que John se sente obligé de me tenir au courant me rendait fou.
- Qu'est-ce qu'il y a encore John ?
- Je vous appelais afin de vous prévenir que Serena est rentrée elle était simplement au cimetière dit-il il ne sera d'autant plus facile de s'occuper d'elle maintenant qu'elle est au courant.
Je soupirais d'agacement.
- Faite en sorte que ça ne se reproduise plus. Crachais-je Qu'elle ne quitte pas chez elle de préférence.
- Bien.
Je raccrochais suite à ça, un problème de moins.
Serena Alvarèz
Elle venait de me sauver des ennuyeux sermons de John, Maria n'était pas simplement ma gouvernante, elle comptait tellement plus pour moi c'était comme la mère que je n'ai jamais eu, elle atoujours été là pour moi.
Malgré que Maria n'était plus toute jeune elle avait maintenant 65 ans malgré son âge j'ai toujours trouvé que Maria était une belle femme et qui avait bien vieilli.
Elle avait quitté sa famille pour venir travailler ici, je sais que lorsqu'elle avait des jours de congé elle en profitait pour aller les voir, ce qui ne me dérangeais pas bien au contraire, je me suis longtemps sentis coupable de la priver de sa famille, malgré que travailler ici était son choix.
Me dire que d'ici 20 jours je serais sans doute séparé d'elle me fendait le coeur.
Je montais donc dans ma chambre, j'avais besoin d'une bonne douche.
Malheureusement en entrant dans ma chambre j'aperçus la lettre que mon père m'avait laissé posé et je fus prise de l'envie de la relire.
" Chère Serena;
Si tu lis ça c'est que je ne suis plus de ce monde aujourd'hui, tu as aujourd'hui 17 ans ma fille tu as du bien grandir, et tu es sans doute devenue une magnifique jeune femme. Mais si je t'écris cette lettre c'est avant tout pour t'annoncer quelque chose d'important, j'avais les larmes aux yeux mais je continuais ma lecture, Il y a quelques années j'ai passé un accord avec un couple qui dirigeait mafia Italienne la Angelo et Martina Costello je leur avais promis que tu épouserais leurs fils le lendemain de tu'es 18 ans, en échange je lui léguerai se que je possédais ici . Tu dois sans doute te demander les raisons de mes agissements. Eh bien j'ai fait tout ça dans l'unique but d'assurer ta sécurité. Je pense que les Costello rentreront bientôt en contact avec toi.
Je ne souhaite qu'une chose, c'est ta sécurité ma chérie, alors s'il te plaît ne m'en veux pas j'agis dans ton intérêt.
Je t'aime Serena
Papa ."
De nouveau mes yeux étaient inondés de larmes, cette lettre est la dernière chose qui me reliait mon père, et la lire me peinais énormément.
Soudain la porte de ma chambre s'ouvrit et Maria fit son apparition.
- J'espère que je ne te dérange pas ? Me demanda-t-elle
- Non, bien sûre que non.
- Écoute ma belle, je suis venue te voir au sujet de la lettre que ton père t'a laissé. Elle marqua une pause. Maintenant que tu es au courant il faut que tu saches quelque chose. Depuis la mort de ton père ce n'est plus lui qui assure tout ce qui sa passe autour de toi, en particulier t'a sécurité. Dit-elle. Je la regarda incrédule. Tu comprends ce que j'essaye de te dire ma chérie?
Bien sûre que je comprenais se qu'elle voulait me dire, c'était évident pourtant je préférais nier en bloc refusant d'entendre la vérité.
- Depuis le décès de ton père, c'est lui Aiden Costello, qui assure t'a sécurité, il te fait surveiller nuit et jours, comme l'a été convenus. Elle s'arrêta quelques instants. Et à ce sujet, John lui a parlé tout à l'heure, maintenant que tu es au courant il préférait que tu restes ici jusqu'à que ce sois le moment pour toi de partir d'ici.
- Mais Co...comment sa ce peut Maria? Pourquoi je suis au courant que maintenant ?! Personne ne m'a prévenue ! Je marqua une pause. Et puis il n'a pas à me donner d'ordre Maria ! Il ne va pas contrôler ma vie ! M'énervais-je.
J'avais peut-être eu une enfance sous la surprotection de mon père et maintenant de John mais je gardais une part de liberté. Me la voir retirer me mettais hors de moi.
- Ma chérie n'en veux pas à ton père il ne souhaitait que ton bien et te savoir en sécurité même lorsqu'il ne sera plus là. Je pense tout de même que tu as besoin d'être seul. Si tu as besoin pour discuter je suis la ma chérie. Dit-elle en sortant et en me faisant un bisou sur le front. Bonne nuit Serena.
Je ne pris pas la peine de répondre trop chambouler par ce que je venais d'apprendre, et cela faisais beaucoup pour moi en une journée.
Vrrr vrrr
Je récupérais mon téléphone et découvrais un message de ma meilleur amie : Rosa.
Rosa :
" Holà Serena, comment sa va ?"
Moi :
" Ça va très bien et toi ?"
Mensonge je ne vais pas bien, mais c'est ma meilleur amie et si je lui en parle par message je sais qu'elle s'inquiètera.
Je ne préférais pas la tracasser avec mes histoires durant ses vacances.
Vrr vrr
Rosa :
" Oui je vais bien, je rentre ce soire de la Havane, j'esperais que l'on puisse se voire ?"
Sa tombe bien qu'elle me propose ça, j'avais réelement besoin de me changer les idées.
Moi :
" Oui bien sûre, j'ai besoin de sortir un peux d'ici sa te dirais d'aller à la plage ?"
Rosa :
"Avec grand plaisir, je passe te chercher dans l'après-midi. Bisou."
Je vérouillais mon portable, bien j'espère que la journer de demain me permettra de ne plus trop à toutes ses choses.
Mais pour l'instant je n'avais qu'une envie : prendre ma douche et aller me coucher.
Je me dirigeais donc en direction de la douche après avoir pris au passage des sous-vêtements de rechange ainsi qu'un pyjama.
J'entrais dans la salle de bain, je me déshabilla avant de glisser sous la douche, j'activais l'eau chaude, je laissais l'eau chaude couler sur mon corps, pendant que je réfléchissais encore et encore à ses événements.
Je me retrouvais face à une situation ou je n'avais pas le choix, et ça me mettais hors de moi. J'ai toujours eu l'habitude de faire ce qui me donne envie mais cette fois c'est différent j'ai l'impression d'être piégée de ne pas avoir le choix, mais j'ai aussi l'impression d'avoir été trahis que depuis le début tout était tracée pour moi, mais j'étais la seule à ne pas être au courant.
Ce sentiment était horrible.
Je souffla d'exaspération mais je n'arrivais pas à penser à autre chose.
Je finis rapidement de me doucher et sortis de la cabine de douche en enroulant une serviette autour de mon corps ainsi qu'une seconde autour de mes cheveux. Je les séchais rapidement et enfilais mes sous-vêtements puis mis mon short ainsi que mon débardeur.
Une fois finis je sortais de la salle de bain et partais en direction de mon lit qui me tendait les bras, puis pris place sous les couvertures.
Je me mis à regarder le plafond réfléchissant à ces évènements, je voyais les choses légèrement différemment différemment, mais maintenant une question me trottait dans la tête : De quoi vas être fait demain ?
Je me tournais dans tout les sens, mais le sommeil ne vennais pas, j'étais trop pensive.
Je me décidais donc de récupérer mon MacBook et faire quelques petites recherche sur cette famille Costello. Vous trouverez sa surement stupide mais j'avais déjà des informations sur mon propre père alors pourquoi pas eux ?
Plusieurs pages se présentaient, tant mieux sa me fera de la lecture avant de dormir.
Je cliquais sur la première qui se proposait à moi. Une page Wikipedia sérieusement ? Leurs famille avaient leurs propres page Wikipedia ? Je meurt.
Cosa nostra (« ce qui est à nous » ou « notre chose » en italien) est le nom de la mafia sicilienne, fondé suite à la deuxième guerre mondiale et patati et patata rien de intéressant.
Je descendais plus bas à la recherche des principaux membres de cette mafia.
Angelo Costello père de Aiden Costello, marié à Martina Costello.
Nous n'avons pas assez d'information pour compléter cette rubrique.
Je soupirais avant de refermer mon ordinateur, c'était évident que toute leur vie n'allait pas être étalé sur internet.
Je continuais de tourner dans tout les est dans mon lit pour trouver le sommeil mais c'est seulement aux alentours de deux heures du matin qu'il pointa le bout de son nez.
6 juillet 2016, 13h30, Maison Alvarèz, Santa Clara, Cuba .
J'ouvrais difficilement les yeux, je sentais un poid sur mon corps, et c'est lorsque j'entendis la voix de Rosa que je compris.
- Serena ! Debout il est 13h30 franchement sa m'étone pas de toi toujours la à dormir. Je grognais suite à ses mots.
- C'est bon c'est bon je me lève, mais par pitié arrête de parler. Dis-je agacée.
Je ne suis jamais de bonne humeur le matin, et le pire c'est quand c'est Rosa qui me réveille, elle ne fait que parler et elle est impossible à arrêter.
À vrais dire, n'importe qui ne prendrais pas bien le fais de se faire réveiller par une folle hystérique.
Je me levais me dirigeant vers ma salle de bain, et j'entendis Rosa crier.
- EH DÉPECHE TOI NANA !
Qu'est-ce que je détestais lorsqu'elle m'appelais de la sorte, elle le savait et pourtant continuais de le faire.
J'entrais donc dans la salle de bain, je fit rapidement ma toilette et pris ma trousse de maquillage, j'avais mal dormis et j'avais donc une tête de morte vivante.
Que la magie opère alors !
Je me maquillais le teint histoire de garder bonne mine mais ne me maquillais pas plus, de toute manière nous allions à la plage aujourd'hui.
Je sortis en suite de la salle de bain et partie en direction de mon dressing, et récupérais un maillot de bain deux pièce couleur rouge, ainsi qu'un short en jean et un haut ample, j'enfilais le tout rapidement avant de récupéré une serviette de plage. Je rejoins Rosa dans la chambre.
- Enfin prête ! Allez on n'y va ! Dit-elle toute contente.
Je recupérais mon téléphone sur ma table de nuit, et suivis Rosa jusqu'à la sortis de ma chambre.
- Enfin prête ! Allez on n'y va ! Dit-elle toute contente.
Je recupérais mon téléphone sur ma table de nuit, et suivis Rosa jusqu'à la sortis de ma chambre.
On deçendit les escaliers, mais arrivées en bas John nous intercepta.
- Ou avez vous l'intention d'allez Serena ? Monsieur Costello a été clair à ce sujet.
- Qu'il aille ce faire foutre lui dis-je.
J'attrapais la main de Rosa et sortis de la maison d'un pat rapide espérant que John ne nous suive pas, Dieu sait à quel point il peut être collant quand il le veux.
On arriva devant la voiture de Rosa et on monta dedans, lorsque l'on fut installées Rosa ce tourna vers moi.
- Je te laisse 1minutes pour m'expliquer sa Serena, c'est quoi cette histoire de machint Constello?
- Écoute Rosa c'est long et j'ai pas trop envis d'en parler, la maintenant j'ai juste envis de passer une bonne journée.
Elle ne parut pas très convaincu par mes arguments.
- Mouais. Me répondît-elle peut convaincue.
Je lui répondais d'un sourire.
- Bon alors c'est partit pour la plage ! Dit-elle toute contente.
Allongée sur ma serviette je bronzai tranquillement sur cette belle plage de Santa Clara essayant de passer un bon moment en compagnie de Rosa.
Je récupérais l'huile bronzante et en rajoutais une couche, j'enviais le bronzage de Rosa, moi à côté d'elle j'étais très claire de peau. Assez bisarre pour une Cubaine ? C'est simplement en raison des origines de ma mère, elle était américaine et pas spécialement foncé de peau on va dire.
- Serena, si tu continues comme ça tu vas finir par te choper des coups de soleils. Dit-elle en rigolant.
- J'aurai au moins pris quelques couleur. Dis-je en continuant d'étaler l'huile bronzante sur mon corps. Sinon comment se passe les amours de Mademoiselle Carvallo ? Dis-je en changeant de sujet.
- Sa tombe bien que tu m'en parle, j'ai rencontré un mec super canon l'autre jour, quand j'étais à la Havane. Dit-elle toute contente.
Je connaissais très bien les aventures de Rosa, souvent très rapide, alors une relation à distance je doute.
Mais qui suis-je pour juger ses relations ?
- Ne me regarde pas comme ça Serena ! Plaisantât-elle. Cette fois c'est différent, je te jure ! Il m'a dit qu'il avait l'intention de venir ici, à Santa Clara.
- Tant mieux alors ! Fais quand même attention à toi, et par pitié essaye de ne pas trop t'emballer.
- Ne t'inquiète pas pour moi. Souriait-elle.
C'est normale que je m'inquiétais pour elle, je ne souhaitais pas que mon amie sois prise pour se qu'elle n'est pas. On peu dire que je m'inquiète pour elle car Rosa est une grande romantique si on peux dire sa comme ça, elle rêve du parfait amour et certaine fois elle ce précipité un peux trop chose qui a tendance de faire fuir les hommes.
Il était à peine seize heures, Rosa venait de me déposer chez moi j'avais passer une superbe après-midi nous avions continué à parler de tout et de rien. Cela m'avais permise de penser à autre choses, mais si je n'avais pas réussi à lui parler de cette histoire de mariage, de toute manière je finirai par le faire, mais il me fallait du temps.
J'étais en se moment même devant la porte d'entré, j'appréhendais un peux les remarques qui allaient me tombé dessus.
J'étais comme qui dirait dans la mierda.
Je pris finalement mon courage à deux mains, et sortis les clés de ma poches et ouvris la porte d'entré.
Je fus assez surprise de ne voire personne, ils étaient peut-être occupé ou je ne sais quoi, tant mieux j'ai envie de dire.
Je me dirigeais donc en direction de ma chambre j'avais besoin d'une bonne douche, j'avais l'impression de sentir l'eau de mer et j'avais plein de sable sur moi.
Pas la grande classe quoi.
Je vous passe le moment de la douche, je m'étais mise en pyjama, je me décidais finalement à descendre en bas, lorsque j'entendis des voix, je me rapprochais de celle-ci et reconnu celle de John.
- Vado a cercala e glilea passo.
Je me rapprochais de plus en plus : Qu'est-ce qu'il racontait ? C'est pas de l'espagnol ça.
Soudain John me remarqua et s'approcha de moi.
- C'est pour toi. dit-il en me tendant le téléphone.
Quoi ?
PDV Aiden Costello :
6 juillet 2016, 22h30(+6heures), Maison Aiden Costello, Sicile, Italie.
J'étais au téléphone avec John il me tenait au courant comme je lui avais demandé des actions de Serena.
- Elle est sortis au alentour de quatorze il me semble avec amie sans préciser ou elle allait.
- Pourtant tu l'avais prévenue de ne plus sortir n'est-ce pas ?
- Oui, justement à ce sujet il marqua une pause elle ne l'a pas prit de là meilleur des manières bégaya-t-il.
-C'est à dire ?
- Je ne me permettrai pas.
- Parle ou je te fais faire couper la langue pour de vrais.
- D'aller vous faire foutre
Cette fille est une effrontée, et je pense qu'elle n'a pas comprise qui j'étais et je me tarde de lui faire comprendre à qui elle a à faire.
- Passe là moi lui ordonnais-je
- Je vais la chercher et je vous l'a passe.
PDV SERENA ALVARÈZ
John me passa donc le téléphone.
- Allo ?
- C'est Aiden, je présume que tu sais déjà qui je suis ?
(NDLA : Il parlait en Espagnol à Serena)
Je ne répondais pas, troublée par mon interlocuteur.
- Je pense qu'il y a certaines choses que tu n'as pas comprise, c'est moi qui décide, et ce que tu as fais la ne me plaît pas du tout, tu ne me connais pas encore mais je te conseil de faire en sorte que sa n'arrive plus.
Sur ces mots il raccrocha, et pour tout vous dire ces mots m'avaient fait froid dans le dos.