Visite surprise

4518 Words
William avait écouté attentivement la jeune femme lui raconté l'entrevue avec le père d'Alice...il l'avait eu au téléphone et savait qu'il devait venir sur place. Il avait fait vite... ils devaient se rencontrer bientôt, il était curieux d'entendre ce qu'il avait à dire... Diana lui avait donné un peu de réconfort... trois verres avait suffit à lui donner un mal de crâne épouvantable et à le rendre déprimé... après lui avoir massé les épaules et forcé à prendre un cachet, il s'était sentit beaucoup mieux. Diana avait très bien compris les états d'âmes de son beau policier à l'esprit torturé... avec beaucoup de patience, de caresses et des paroles réconfortantes, elle avait sus trouver les mots justes. Il avait fini sous la douche et une fois les idées plus claires, William l'avait rejointe dans le lit et il s'était blottit comme un petit chaton dans ses bras. Fatiguée de sa journée, elle se laisse glisser dans les bras de Morphée... Elle se réveille, surprise de ne pas sentir le torse musclé de son compagnon... vu l'heure, il doit être parti depuis longtemps... elle voulait être debout à son reveil pour s'assurer qu'il allait bien... elle prend son téléphone et sourit au message de son chaton... : " Hello Darling, je sais que tu voulais que je te réveille, mais tu es si mignonne quand tu dors... rassures toi je suis en pleine forme. I love you... je vais être coincé au poste quelques jours, mais peut être que je pourrais m'arranger - je suis rassurée mon ange, ne t’inquiètes pas pour moi je suis une grande fille... je saurais me débrouiller sans un homme viril et sexy à mes côtés..." elle s'étire en se disant que son beau lieutenant était quand même bien utile pour lui faire du bien... mais de temps en temps... un petit plaisir solitaire ne faisait pas de mal... la réponse de son amoureux ne se fait pas attendre : " Ça je n'en doute pas... je sais ce que tu caches dans les tiroirs de ta table de nuit... mais si je peux me permettre moi tu n'as pas besoin de changer mes piles - Hum... mais tu ne vibres pas... - My god... juste le fait de t'imaginer en train de jouir sans moi... c'est à la fois frustrant et terriblement excitant... je suis à ça de lâcher mes dossiers... - je ne veux pas te déconcentrer... promit je ne te dirais rien quand le moment sera venu.... - tu me manques déjà Foxy... - toi aussi, mais je suis fière de toi... je sais que tu travailles pour une bonne raison - tu es un amour... travailles bien" Diana, prend son petit déjeuner et part travailler ... ça va être une bonne journée.... La semaine était presque terminée, nous étions à la veillle du week end t’en attendu par la jeune femme… malheureusement pour notre jeune héroine, un changement sur son planning boulverse ses plans… elle devait aller chez Madame Montpeissein hier mais l’intervention était décallée à aujourd’hui…elle était contente car elle n’avait pour une fois d’intervention de toute la journée…elle avait attendue ce long week end avec impatience pour faire du rangement dans sa maison… elle doit y aller en milieu d’apres midi…Diana rage un peu dans son lit…même sa grasse matinée à moins de saveur…elle se console en se disant que ce soir normalement elle retrouve son beau lieutenant…et en parlant du loup…un message s’affiche sur son portable : « Bonjour toi … - bonjour lieutenant… - tout va bien ? - moui…je me réveille… » Diana se sent…parcouru de frissons plutôt agréable en pensant à William surement habillé avec une chemise pres du corps et sa cravate…elle trouve ça si sexy quand il l’a remet en place…il finit souvent par l’enlever et ouvrir les premiers boutons de son col … : « Dis moi, tu as une chemise aujourd’hui ? - oui pourquoi ? - pour rien… je suis sur que tu mordilles ton crayon… - tu me connais bien… et toi…je suis sur que tu es train de te tortiller dans ton lit… - tu es si sexy…est ce que tu as encore ta cravate ? Ou est ce que tu l’as déjà enlever… - je l’ai toujours… mais je peux l’enlever si tu veux… » elle glisse sa main entre ses jambes pour s’exciter davantage… tout en répondant au lieutenant qui devine les intentions de la jeune femme…heureusement qu’on ne voit rien sous le bureau car l’idée qu’elle se fasse du bien en fantasmant sur lui ne lui déplait pas …: « J’adore quand tu dégrafes ton col… tu as toujours un petit air concentré - c’est sur le lieutenant Blake que tu fantasmes ? - hum… c’est vrai que quand tu fait ton lieutenant tu as un truc…t’es si sérieux quand tu travailles… - je viendrais bien t’interroger… il y a deux ou trois trucs sur ta voiture qui ne sont surement pas trés en règles… - ho…lieutenant Blake… - soyez sage Miss… ou je viens vous passez les menottes… » William sourit…il se doute que sa compagne ne doit plus pouvoir lui répondre… il va devoir rester assis un moment … Alex le voyant envoyer des sms le taquine : « Ça va lieutenant ? Vous semblez content … bonne nouvelle ? - je vais tres bien brigadier-chef … mais se sont des messages privés - ho…y’a une fille la dessous… » Alex et le jeune brigadier se lancent des regards complices… Jordan Ferrand est un peu un mini Alex…au grand désespoire de Blake : « Vous avez serrer la jolie rousse ? - allez vous pouvez nous le dire à nous…hein Jordan on gardera le secret … ou c’est une fille du bar ? Apres tout je vous ai pas vu partir moi …. » l’agent Delmas, la seule fille du groupe se demande bien ce que leur chef peut trouver à la fille de la derniere fois… les trois hommes semblent trouver la rouquine à leur goût…Elle ne comprend pas pourquoi Alex veut que son chef se leve …: « Vous pouvez venir voir Chef ? J’ai un truc à vous montrer… - je suis occupé Brigadier…vous n’avez pas du travail ? - justement venez voir… à moins que… vous n’ayez un truc à cacher… » Julie Delmas voit un crayon voler et atteindre le beau brun en pleine tête…le lieutenant pousse un juron et ses deux collegues rient… la journée va être longue… De son côté, Diana avait été ravit de son réveil… ce petit moment en solitaire lui a donné de l’énergie. Elle s’attelle à charger dans sa voiture des vieilleries et des choses inutiles pour les porter à la déchetterie. William laisse souvent des affaires chez elle, il faut qu’elle lui fasse un peu de place… même si il n’habitent pas encore ensemble. ravie d’avoir plus de place, elle étudie ses cours une heure et file se changer pour aller au travail… qu’est ce que cette journée à la ferme va bien lui apporter comme ennuis…? Elle arrive pile à l’heure…tout semble calme, elle fait signe de la main aux fils de sa bénéficiaire occupés à retaper une cloture du poullailler … et entre dans la maison… La dame termine de debarasser la table sous l’oeil sévère de son mari, qui l’acceuille à sa façon : « Tient… voila la bonne… - bonjour monsieur… - polie et jolie à regarder que demander de plus … », elle baisse les yeux et rejoint sa bénèficiaire pour commencer la vaisselle, elle a l’air fatiguée mais sourit comme à son habitude : « Désolée d’avoir changé le planning à la derniere minute, mais bon on a eu un petit soucis hier… - rien de grave j’espere ? ça ne m’embete pas ne vous en faites pas - holala…c’est pas grave en sois mais ça aurait pu et c’est effrayant… - ho… j’en suis désolée… un rapport avec le poullailler ? J’ai vu que vos fils reparer la cloture » avant qu’elle puisse réponde à la jeune femme, l’homme l’interrompt : « allons ! N’embête pas la p’tite avec nos histoires…si tu allais te reposer un peu pendant qu’elle fait son travail ? - c’est vrai que ça m’a fatigué tout ça… bon de toute façon c’est comme d’habitude, il y a juste les escaliers à cirer un peu avec le produit sous l’évier… - pas de problemes…je me débrouille… » elle sourit, l’homme d’une voix mielleuse, pousse son épouse à aller finir son thé : « Ton thé va être froid…monte dans la chambre je te l’apporte dans ton petit salon, ça t’aidera à te détendre.. » Diana fronce les sourcils…il est bien gentil… elle écoute la femme monter à pas de souris à l’étage et encaisse sans s’offusquer une énorme claque sur les fesses suivit d’une caresse sur sa joue… l’homme marmone : « gentille fille…. » et part chercher la tasse de porcelaine…elle entend le pas lourd monter les escaliers…elle se frotte les fesses pour chasser la sensation de brulure… elle ne sait pas ce qui c’est passé hier mais elle a bien comprit qu’elle ne doit pas chercher à en savoir davantage… elle enchaine ses taches, elle passe le balais, lave le sol mais n’ose pas redescendre à la cave…elle y va rapidement en retenant son souffle et sent son coeur battre comme jamais en remontant…elle commence à éplucher ses légumes avec le petit couteau…quand ses sens se mettent d’un coup en alerte…la porte grince, des pas approchent…et la masse de l’homme cache la lumiere : « et bien… tu es curieuse aujourd’hui… - je … je voulais juste être gentille…faire la discussion… - vous les femmes vous ne savez pas vous taire… - elle me parle je doit bien lui répondre… » il s’approche d’elle…assez proche pour qu’elle sente son haleine chargée d’alcool…: « j’espere que j’aurais pas une visite surprise des flics dans les prochains jours… - je ne vois pas pourquoi… je… ce qu’il se passe ne me regarde pas… - tu as retenue la leçon c’est bien… au fait… tu as parlé de quoi avec la pédale ? - je… de qui parlez vous ? - du b****d qui me servais de fils avant qu’il aime se faire b****r par des hommes … - je… je ne savais pas que votre fils était homosexuel … - t’as pas l’habitude de voir de vrais hommes toi… » par surprise, il l’enlace par derriere… une de ses main se glisse sous sa blouse et passe dans son jean…elle lache le petit couteau et essais de retirer la main de l’homme qui cherche à passer la fine barriere de sa culotte en dentelle… elle lui griffe sa main, il la retire mais il l’a retourne contre lui pour lui murmurer : « Ta culotte serait pas difficile à arracher… tu cherches vraiment à me chauffer… dis moi ce que vous vous êtes racontés si tu veux pas qu’on aille faire un tour dans la cave » Diana a du mal à ne pas trembler de peur … les larmes commencent à mouiller ses yeux…: « On a juste discuter comme ça… de sa fille… je lui ai dit que j’était désolée… des banalités c’est tout ! - t’es sur ? - oui… je vous jure ! On a pas parlé longtemps ! » il relache son étreinte, elle s’appuie contre l’évier… et tente de reprendre ses esprits en reprenant l’épluchage de ses légumes… il se met derriere elle et se retient d’hurler quand il lui saisit la main tenant le couteau pour l’approcher de sa deuxieme paume qu’il maintient également … elle essais de se débattre mais regarde sans pouvoir se défendre la lame s’approcher de sa paume … morte de peur elle n’arrive pas à crier… les larmes coulent… elle le supplit d’une voie à peine audible d’arrêter … elle essais de lui donner des coups de pieds mais l’homme froidement, d’un geste rapide lui entaille la paume… il lui sussure d’une voix mielleuse : « si j’apprend que tu m’as mentit…ou si les flics m’en parle… je le ferait à ma femme… alors ? Si on te demande comment tu t’ai fait ça tu vas dire quoi ? - je… je… que… - que tu es …. ? - maladroite… je me suis coupée en épluchant… - petite étourdie… » il lui tapote les fesses et s’installe devant la cheminée dans son fauteuil… Diana tente de soigner sa plaie… il n’y a que du liquide vaisselle et de la javel à proximité… elle se contente de passer la blessure sous l’eau… l’entaille fait la moitié de sa paume, presque d’un bout à l’autre, mais ne semble pas tres profonde… elle prend de l’essuis tout et se fait un bandage de fortune… elle n’a plus de gants dans ses poches… heureusement c’est à la main gauche ça ne la genera pas trop pour cirer les escaliers… elle termine temps bien que mal d’eplucher les légumes… et hésite à appeler William… il ne lui reste que trois quart d’heure à tenir… elle ouvre le placard et prend la cire ainsi qu’un chiffon et traverse la piece pour commencer à cirer les marches. Elle sait que l’homme prend un malin plaisir à la regarder du bas de l’escalier pour observer ses fesses au fur et à mesure qu’elle redescent … elle termine rapidement ses dernieres marches et tête baissé s’attaque aux poussieres pour finir sa demi heure… l’homme l’observe et profite qu’elle soit encore sous le choc de tout à l’heure pour essayer de l’embrasser… il y serait arrivé si une voix ne l’avait pas arrêter… ne voulant pas être pris en flagrant délit, il laisse la jeune femme qui a bien du mal à rester calme … : « Maman ? Tu es là ? » Paul Montpeissein s’arrête net en voyant son pere… l’homme ne semble pas aussi étonner que lui… ils s’observent un long moment dans un silence glaciale… les deux ont le même air de dégouts sur leurs visages… Le fils finit par parler : « tu n’es pas partit ? Tu devais aller à ta foire de bouseux … - mes fils y sont allés à ma place … » Paul regarde la jeune fille qui assiste à la scene… il la voit baissé les yeux… il sait tres bien que son pervers de père devait être en train d’essayer de la toucher… il sourit d’un air navré à Diana… elle semble guere plus vieille que sa défunte fille, elle était beaucoup moins stréssée la derniere fois qu’il l’a vu : « tout va bien mademoiselle ? Il ne vous fait pas de mal ? - non … non tout va bien… je… je vais vous laisser entre vous … - non … restez … je vais partir … mais avant je veux voir ma mere où est elle ? » Diana n’a pas le temps de lui répondre, l’homme lui coupe la parole : « Laisse ta mere où elle est… elle se repose… avoir un fils pd ça lui donne la gerbe …. - bien sur … c’est toi qui lui a dit de pas descendre ? - oui ... j'ai apprit hier qu’elle te voyait dans mon dos … tu n'es pas le bienvenu ici… - tu peux me chasser de la maison parcequ’elle t’appartient mais tu ne peux pas m’interdire de voir ma mere… - ta mere est d’abord ma femme ! - ÇA NE TE DONNE PAS TOUT LES DROITS ! - TA MERE A HONTE DE TOI ! Et y’a pas qu’elle … même ta gosse avait honte… - ne parle pas d’Alice ! - pourquoi tu crois qu’elle s’est buttée ta gamine !! - TA GUEULE ! - TU L’AS TUÉ ! ET TU TUERAS TA MERE ! » les deux hommes serrent les poings… Ils sont rouge de rage … Diana se demande si ils se battraient… elle n’a pas le temps de se poser la question qu’une voix familliere se fait entendre : « On dérange ? » La jeune femme se sent soulager… Blake et ses hommes dont la brigadière Delmas sont dans l’entrée… elle ne les as ni vu ni entendus … l’homme marmonne : « manquait plus que les flics … », Paul se calme… et serre la main du lieutenant : « Paul Montpeissein je suppose ? Lieutenant Blake police, - enchanté lieutenant…c’est vous que j’ai eu au télèphone … - oui… voici mes hommes… qui seront sur l’affaire avec moi … nous venions justement vous prévenir que nous commençons officiellement l’enquête… je voulais poser quelques questions… mais nous tombons peut être mal… Ho Miss Diana… je ne vous avez pas vu toutes mes escuses… » il se tourne vers ses collegues : « he bien ? Personne salue la demoiselle ? » les trois policiers obéissent en même temps, observateur, William remarque le bandage de fortune et au lieu de lui tendre la main droite pour la saluer lui tend la gauche pour la forcer à montrer sa main … : « Et bien … qu’est il arrivé à votre main ? - ho… je… je me suis coupée en épluchant des légumes… rien de bien méchant… je n’ai pas l’habitude d’éplucher au couteau… - les risques du métier… vous n’avez pas de pansements ? - non… mais j’ai terminé ma journée je me soignerais en rentrant chez moi… - Brigadier- chef ? - oui lieutenant ? - nous avons bien une trousse de premier secours dans la voiture ? - affirmatif chef - soyez gentil de soigner la demoiselle avant qu’elle reparte… il ne faudrait pas que ça s’infecte… - ho ne vous embêtez pas… c’est pas grave… » Alex joue la carte du beau parleur : « je suis toujours partant pour soigner une aussi jolie femme… je peux même vous ausculter » il appuie sa phrase d’un clin d’oeil, faisant lever les yeux au ciel au lieutenant… Diana prend congé des hommes et fremit en croisant le regard de l’homme … un regard noir chargé d’avertissements… elle s’empresse de suivre Alex jusqu’à la voiture de police où il l’a fait assoire pendant qu’il défait son bandage, la jeune femme sursaute malgres la delicatesse de son ami : « pardon ma jolie… tu t’es fait ça quand ? - aujourd’hui … enfin cette apres midi… - c’est une sacrée entaille… il parait que le monsieur t’embête… ? - tu … es au courant … - t’inquietes y’a que moi qui le suis… Will m’a expliqué… il voulait que tu puisses m’appeler aussi, en cas de soucis deux flics valent mieux qu’un » il lui sourit … Diana lui avoue ce qu’il c’est passé : « c’est lui… aïe… - désolé faut désinfecter, c’est lui qui t’as coupé ? Mais c’est un malade ! - il a sus que j’avais discuté avec son fils… il m’a dit que si j’en parlais ou si j’avais mentit il ferait pareil à sa femme… - p****n … tu veux que j’aille recuperer le couteau ? Si ses empreintes sont dessus … - il me l’a fait faire en fait … donc il n’y a que les miennes… il c’est mis derriere moi et m’a fait me couper » il enroule un bandage propre autour de sa main … et voyant les larmes monter dans les yeux de la jolie rousse lui redresse la tête : « je te le jure … il va regretter de t’avoir touché … tu vas pouvoir conduire ? » elle essais de plier sa main : « AÏe ! Je ne sais pas … mais si je reste ici il va croire qu’on se connait … » Alex enlace la jeune femme qui pleure sur son épaule : « il t’as fait autre chose… ? - oui… j’ai tellement honte… je me sens tellement … sale… - c’est finit… on est là maintenant… je sais ce que tu vas faire… tu vas conduire jusqu’à la briquetterie…Et tu nous attendras … Will montera avec toi et conduira d’accord ? Bon tu mettras les warnings et tout pour que les collegues pensent que tu n’es pas bien… On sera assez loin de la ferme personne pourra capter… - oui… ça devrait aller… » en entendant les policiers et les hommes sortirent de la maison, Diana panique : « Merde ! Il va croire que je te parle ! Et il va le faire payer à sa femme ! Et à moi quand je reviendrais!! » Alex reflechit… il ne voit qu’une solution … : « va falloir me gifler fort ma jolie parceque je vais te rouler une grosse pelle - quoi ? » elle n’as pas le temps d’avoir une réponse, Alex l’embrasse et met une main sur ses fesses, juste à temps… le groupe s’arrête net… la jeune femme se fait tripoter et embrasser à pleine bouche …Jordan porte la main à sa joue en entendant la gifle s’abattre sur celle du brigadier- chef … Blake fait mine d’être furieux : « Brigadier ! My godness Que faites vous ! », la jeune femme n’a pas mis longtemps à comprendre l’idée de son ami : « Comment osez vous ! Espece de …. Pervers !! - c’était pour faire passer la douleur… vous êtes du genre sauvage ma jolie… ça me plait bien » William en rajoute : « vous aggravez votre cas ! Comment osez vous ! En uniforme en plus ! Je suis desolée Miss… j’aurais du vous faire soigner par ma collegue… - je suis choquée lieutenant ! Votre homme m’a sauté dessus … - je voulais tenter ma chance… j’aime bien les rousses c’est plus fort que moi… - faites vous soigner ! » Furieuse, elle fusille le jeune homme du regard : « je ne vous salut pas ! » elle monte dans sa voiture et demarre … pendant ce temps Blake continue de jouer la comédie : « On en parlera avec le commandant ! Montez dans la voiture ! » il s’excuse aupres des deux hommes de l’incident et Paul en profite pour partir également… William s’installe dans la voiture et donne une tape derriere la nuque à son ami pour jouer le jeu jusqu’au bout… la voiture démarre et une fois assez loin … : « tu l’as prévenu avant de lui prendre la bouche au moins ? - bien sur… elle m’a dit qu’elle avait tres peur de l’homme et qu’en nous voyant ensemble il s’imiginerait qu’elle me disait du mal de lui… comme je voulais pas qu’elle est de soucis… - tu avais remarqué qu’elle était terrorisée toi ? - j’ai l’oeil pour ce genre de chose chef … il lui fou la trouille… je ne sais pas ce qu’il lui dit ou fait… mais elle ne veut pas avoir de soucis avec lui… » Jordan et Julie demandent des explications … : « je ne comprend pas lieutenant Blake … c’était pour de faux ? - oui… même si je suis sur que le brigadier- chef y a prit du plaisir … j’avais remarqué que la demoiselle semblait mal à l’aise… sa coupure tombait à pique pour la faire sortir de la maison… comme elle avait peur de l’homme qui me semble bien v*****t… et qu’on est sorties avec… elle a eu peur qu’il s’imagine qu’elle racontait à un policier des choses compremettantes … ce qui aurait pu l’a mettre en danger… - ho… elle me semblait normal pourtant… j’ai rien remarqué… - ça viendra avec l’expérience… d’ailleurs j’aimerais l’interroger à l’occasion … elle sait peut etre des choses… - pourquoi elle vient si elle est si terrorisée ? - parcequ’elle n’a pas le choix… il n’y a pas de preuves qu’il soit dangereux donc elle ne peut pas dire à ses employeurs qu’elle ve veut plus y aller… » Alex repere la voiture de Diana garé sur le côté au bout de la route … : « ho chef … c’est pas sa voiture d’ailleurs là bas .,, - si… elle a un soucis on dirait… met toi derriere elle … » Julie soupire d’agacement discretement… encore à l’aider… le lieutenant descend et toque â sa vitre… : « hey… mais… tu pleures ? Bon sang… tu as mal ? - c’est ma main… Alex m’a dit de vous attendre … je ne peux pas conduire William j’ai trop mal… - descend… met toi de l’autre côté j’arrive… » il prévient ses collegues : « retournez au poste… faites ce que vous avez à faire … je vais conduire la jeune femme aux urgences sa main saigne beaucoup trop » Julie questionne son chef : « pourquoi ne pas appeler les pompiers ? - parcequ’ils mettraient du temps à venir… pour une blessure qui n’est pas une urgence vitale …je n’aime pas déranger les secours pour rien et que ça me permettra d’interroger en douceur une potentielle témoin dans l’affaire… » Julie ne sait pas quoi répondre… William leur dit de ne pas l’attendre car il prendra sa soirée et monte dans la voiture de sa belle… : « Alex embrasse mieux que moi ? » il sourit à sa compagne qui seche ses larmes difficilement : « Il a mit la langue … mais au moins je sais que c’ètait sans arrieres pensées - ho l’enfoiré… je vais le défoncer… il aurait pu faire semblant… - Will… c’est lui qui m’a couper … et… » Diana se remet à pleurer… elle lui raconte en détail ce qu’il c’est passé, sa main dans son jean, ses menaces, comment il l’a forcé à s’entailler… jusqu’au moment ou il a voulu l’embrasser et l’arrivé du fils aîné… Le jeune homme, furieux la pousse à ne plus aller là bas … mais épuisée et endolorie par sa main, la jeune femme s’endort pendant le trajet laissant son policier fulminé… il la réveille une fois chez elle et resoigne sa blessure… il a bien fait de laisser un pot d’onguent cicatrisant de Granny chez elle… : « bon … c’est pas tres profond mais ça va te gener un moment … quel taré… - ne lui en parle pas je t’en prit … je ne veux pas qu’il lui fasse du mal … - je ne dirait rien pour l’instant mais la c’est grave… jusqu’ou il irat ? Je ne veux pas qu’il te v***e ou qu’il te blesse encore… » elle se blottit dans ses bras… ou plutôt dans un seul de ses bras car de l’autre Blake répond à un message à son ami : « elle va bien ? Elle t’as raconté ? - oui… tu lui as bien soigné sa blessure merci … on va le coincer… si j’était pas flic je crois que je l’aurais … - tu peux compter sur moi ! - je sais … Alex ? - oui ? - la prochaine fois que tu met ta langue dans la bouche de ma copine je t’en colle une espèce d’enfoiré… - l’occasion était trop belle… je t’aime aussi mon pote »

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