La bonne et le flic : panique à la ferme

Sport intense

William arrive à 7 heures devant la maison de sa fouinarde…il a travaillé toute la nuit pour pouvoir être un peu tranquille ce week end…est ce qu’elle est encore en train de dormir ? Surement…il prend son jeux de clefs et entre dans la petite maison…le poele à granulé est allumé grâce à la programmation automatique qu’il lui avait reglé. Merlin est vautré dans un plaid, il lui caresse la tête et entend un « miaaa » plaintif, suivit d’un baillement …il n’entend aucuns bruits à part le poêle et les craquements de la vieille bâtisse.

il enleve sa veste et quitte ses chaussures… il dépose au frigo les patisseries qu’il a acheté pour le dessert du midi, pose sur un plateau les pains au chocolat et deux verres de smoothie à la fraise, William sort de son frigo deux oursons en guimauve… elle adore quand le chocolat de ses oursons est craquant. Il monte dans la chambre de la jeune femme et entrouve la porte…il ne voit qu’un tas sous une montagne de plaids et de couvertures…il dépose sur la coiffeuse le petit déjeuner et voyant que la belle endormit ne se réveille pas, il quitte sa chemise et son pantalon…apres tout il est tôt autant se reposer un peu … il se faufile sous les draps…sa foxy est en position foetal presque en boule comme un petit animal hibernant dans son terrier. Il soulève la couette recouvrant son visage, elle a ses bouchons d’oreilles comme à son habitude.

Il se love contre son dos…elle est en chemise de nuit tres legere…elle a horreur des pyjamas long mais n’aime pas non plus dormir nue…il ferme les yeux quelques instants…il se rappelle qu’il n’a quasiment pas dormit. Entre la piste de la jeune femme à creuser, des rapports à taper…les sous-entendus d’Alex à supporter…William savoure ce moment…une vie calme et paisible…ce moment sans stresse à profiter simplement de la chaleur rassurante de sa petite amie. Il allait presque s’endormir quand Diana sursaute :

« HUM!!! Will…Will…? William??

- oui…je suis bien là…

- j’ai entendu du bruit …y’a quelqu’un en bas …! Pourquoi tu rit ?

- c’etait moi Foxy…je préparais le petit déjeuner…

- ha…tu es là depuis longtemps ? Il est hyper tôt » encore endormit, elle s’emmitoufle à nouveau dans ses couvertures et se rendort…William sourit et embrasse Diana dans la nuque…il s’endort paisiblement…c’est la lueur du jour passant au travers les volets qui le tire de son heure de repos…il se sent plein d’énergie à nouveau…il s’étire et regarde sa jolie rousse toujours plongé dans ses rêves il glisse sa main sur les courbes de la jeune femme…qui ensommeillée se retourne pour se coller contre son torse :

« huuum…William…il est beaucoup trop tôt…

- tu es réveillée maintenant…

- tu n’es pas fatigué toi ?

- j’avoue que cette heure de sommeil supplémentaire m’a fait le plus grand bien…mais j’ai vraiment tres envie de profiter de toi…

- de moi ? Ou de mon corps splendide ?

- hum…des deux…

- bas les pattes … j’ai besoin de reprendre des forces, tu as bien parlé de petit déjeuner à un moment où j’ai révé ?

- tu ne perds pas le nord toi… » il l’embrasse sur le front et se leve pour attraper le plateau…Diana installe les coussins pour qu’ils puissent s’installer :

« tu es un amour Angel…

- je sais …je ferait n’importe quoi pour ma petite fouinarde » il sourit en coin à la vue de ses sourcils fronçés…:

« Vous ne perdez rien pour attendre lieutenant Blake …

- j’adore quand tu fronces tes sourcils… » il lui tend le pain au chocolat en gage de reconciliation :

« Tu m’achetes avec de la nourriture … ça ne marchera pas à chaque fois …tu as réussit à trouver le temps d’acheter tout ça malgres ton travail ?

- certaines boulangeries ouvrent trés tôt…et puis je voulais te faire plaisir j’ai bien sentit hier que cette histoire de suicide te tenait à coeur… je voulait te remonter un peu le moral

- ho… » Diana se sent soudain trés mal à l’aise…il est tellement prévenant et adorable alors qu’elle lui cache des choses…elle a soudainement tres envie de pleurer…les larmes lui monte aux yeux mais elle sourit :

« Tu es vraiment …tu es tellement prévenant…

- ce n’est pas grand chose Darling, tu t’inquietes toujours pour moi, tu m’écoutes pendant des heures parler boulot, tu me caresses les cheveux quand je suis inquiet, tu me prépares toujours des delicieux muffins …

- je t’aime … je t’aime vraiment tu sais …

- moi aussi…je t’aime et je ne veux que ton bonheur, alors si je peux te rendre heureuse même avec juste un pain au chocolat je t’en porterais tout les matins

- c’est vrai que je ne suis pas difficile à rendre heureuse mais c’est surtout de t’avoir prés de moi …je ne peux plus me passer de toi …prend moi dans tes bras

- attend je pose le plateau en sécurité » apres avoir mit le plateau sur la table de nuit, il reçoit un boulet de canon dans les bras…ça ne parait pas car elle est petite et assez menue depuis que l’affaire de Giou lui avait fait perdre du poids mais elle avait beaucoup de force qu’elle ne controlait pas toujours…heureusement qu’il est solide, il se laisse tomber sur elle :

« Alors ? Rassasiée ?

- oui…j’ai pris des forces… » elle passe ses bras autour de son coup et l’embrasse passionement …voila un réveil comme elle les aiment même si c’est un peu tôt …elle sent le corps de son amant sur le siens … ses muscles, ses baisers, ses mains qui la caressent avec douceurs…sans brutalitées…Diana se sent tellement bien…elle encourage son amant avec des caresses, il a toujours son caleçon …comprenant la demande silencieuse de la jeune femme, il se lêve du lit et se met nu…sans aucunes gêne il ouvre les volets pour laisser entrer la lumiere malgres les protestations de la jeune femme :

« Will ! Tu sais que j’aime pas trop quand c’est pas dans le noir …

- et moi j’aime te voir …tu es magnifique… » il se replace à côté d’elle…et lui embrasse le bout du nez …:

« ce matin je veux te voir sourire, je veux voir chaques parties de ton corps frémir sous mes caresses et surtout je veux te voir jouir …

- c’est pas le fait que tu me regardes qui me gene c’est que moi je me voit…

- regarde toi comme moi je te vois …tu es sublimes…

- hum…toi tu es canon …

- shuuuut… » William enleve d’un geste toutes les couvertures pour mieux admirer le corps parfait de sa jolie rousse…ses seins et ses hanches, ses cuisses fines et ses longues jambes … il embrasse avec de plus en plus de désir la peau douce …sa barbe un peu rêche la chatouille mais elle se retient de rire…qu’est ce qu’elle est belle…il descend embrasser son ventre … et encourager par ses gémissements descend de plus en plus bas…il l’a fait jouir une premiere fois…il remonte jusqu’à son oreille pour lui dire qu’il peut fermer les volets à nouveau si elle le souhaite… pour toute réponse elle se met en amazone sur lui… William sourit…il adore quand elle est sur d’elle…il veut qu’elle prenne confiance et qu’elle ose faire ce qui lui plait … au début de leur relation de « sexe friends » elle avait eté surprise qu’il s’occupe de son plaisirs…quand il lui demandait qu’elle position elle préférait elle n’avait pas su répondre…et finalement aujourd’hui Diana appréciait de plus en plus les positions ou elle était au dessus…ses exs preferaient les classiques et surtout ils lui avaient dit de nombreuses fois qu’une femme ne jouissait pas à chaque fois comme eux … le jeune homme lui avait montré que c’était faux…il ne tarde d’ailleurs pas à accompagner sa compagne dans l’o*****e…la vue de son corps sur le sien l’excite beaucoup trop…

Apres leur séances de sport …William motive sa compagne à sortir…c’est un temps idéal pour des photos ! Il fait frais mais le soleil commence à sortir. Diana soupire … il n’y a pas que le cerveau de son amant qui va trop vite parfois…:

« Tu es en forme ce matin…

- je suis toujours en forme quand j’ai le cerveau qui a chauffé… et c’est grâce à toi car cette fourgonnette a été vu sur Saint flour quand les attaques ont eu lieu … tu m’as offert une sacrée piste Foxy

- et pour me remercier tu m’offres un footing ?

- en souvenir de notre premier footing…d’ailleurs tu me draguais déjà ?

- NON !!! J’aurais jamais osé ! Mais toi tu me matais ?

- j’aurais jamais osé…j’ai regardé un peu…on reverra peut être le chevreuil…

- peut être…bon…tu as raison il faut que je me bouge un peu …

- ça libere l’esprit…en tout cas depuis que tu m’as initié au footing dans la campagne je revit » elle se demande si elle ne devrait pas en profiter pour lui parler des incidents des derniers jours…elle sent bien que ça la tracasse et William doit le sentir…elle angoisse déjà à l’idée d’y retourner aprés demain…occupée à penser, elle ne voit pas que son compagnon s’approche derriere elle pour l’enlacer, surprise et se rappelant soudain la scene dans la buanderie, elle hurle et se débat oubliant que c’est son lieutenant…surprit, il la lache sans comprendre sa réaction…elle est froussarde c’est vrai mais…elle a un regard effrayé :

« Tu …tu m’as fait peur…

- je voit ça…sorry…je voulais t’enlacer…c’est juste moi qui t’ai fait peur ?

- tu m’as surprise…c’est rien…je…je suis un peu tendue » il fronce ses sourcils…ho non il ne la croit pas…elle change de sujet :

« On y va ? » elle enfile ses baskets et embrasse son amoureux… il l’a suis bien décider à en savoir plus …