V En vue du littoral de la Nouvelle-Angleterre À l’époque où ces faits furent rapportés par les journaux d’Amérique, j’étais depuis un mois de retour à Washington. Dès mon arrivée, j’avais eu soin de me présenter chez mon chef. Je ne pus le voir. Pour des raisons de famille, une absence allait le tenir éloigné quelques semaines. Mais, à n’en pas douter, M. Ward connaissait l’insuccès de ma mission. Les diverses feuilles de la Caroline du Nord avaient rapporté fort exactement les détails de cette ascension au Great-Eyry, en compagnie du maire de Morganton. On comprendra le v*****t dépit que je ressentais de cette tentative inutile, sans parler de ma curiosité non satisfaite. Et, au vrai, je ne pouvais me faire à cette idée qu’elle ne le serait pas dans l’avenir... Quoi ! ne pas surprend