Chapitre3

1509 Words
Louise... Sans comprendre, je sautais de mon lit, avant de me précipitais en directions des cris que je venais d'entendre plutôt, j'étais tellement inquiète pour ma louve, que je ne me préoccupais pas de ma tenue, et encore moins de mes mouvements. Lorsque je parviens enfin à escaliers, je ne perdis pas une minute pour le descendre, rapidement, je me retrouvais au sol. C'était lorsque j'entendis ses sanglots qu'une panique m'envahis. Soudain, je me redressai, avant de reprendre ma course, j'accourus dans la cuisine, où je découvris Louise en larme, recroquevillé sur elle-même. - Que ce passe-t-il ici bordel, grognais-je sévèrement en me rapprochant de ma louve. Tristan essayant tant bien que mal de ne pas rire, tendis que son âme-sœur avait l'air terrifié, qu'avait-il encore fait cet idiot ? - Alpha pardonnez-moi ! Je suis désolée, je ne voulais pas ! JE... s'excusa Louise avant de baissé la tête. - On m'explique ? Les questionnais-je confuse. - Elle a été prise par surprise par une araignée, puis lorsqu'elle t'a entendu tomber des escaliers, elle s'est effondrée en larmes, m'expliqua Tristan continuant de se moquait de son âme sœur. Quel crétin celui-là. Doucement, je me baissais au niveau de ma louve, qui se braqua un peu plus, une fois à son niveau, je lui tendis mes bras, attendant que par elle-même, elle vienne s'y réfugier. Ce n'était qu'après quelques minutes d’hésitation, qu'elle se jeta dans mes bras, sous les moqueries de son chéri. En colère contre lui, je lui jetais un regard noir, c'était à ce moment qu'une idée me vint. - On ne se moque jamais des frayeurs de son âme sœur. Crachais-je. - Desoler Alma ! S'excusa à nouveau ma louve, pendant que mon bêta continué de se moquer. - Puisque tu te moques si bien, comme punition, je la réquisitionne pendant quelques jours, déclarais-je d'un sourire sadique. - Non! Tu n'y compte pas ? Ce révolta-t-il cessant ainsi toute moquerie. - C'est vrai ? Me questionna-t-elle joyeusement. - C'est hors de question ! S'interposa mon Beta. - Bon, Tristan ! Pour te faire pardonner, tu pourrais accepter. Le taquinais-je. - Je refuse, elle reste à mes côtés ! S'opposa-t-il respectueusement. Je ne pouvais pas le forcer à se séparer d'elle, surtout pour quelques jours. Une fois que l'on rencontre son âme soeur, on ne parvient plus à s'en séparer, mais encore moi, lorsqu'elle porte la vie. - Je te propose ça, parce que j'ai vraiment besoin de Louise. Nous reviendrons très vite. En plus j'imagine que depuis le temps, vous avez déjà étaient séparés quelques jours! M'exclamais-je le sourire aux lèvres. - Absolument pas ! Encore moi maintenant, elle doit rester ici, En sécurité, répondit-il sérieusement. - Tristan, tu me connais, elle ne me quittera pas d'une semelle, aucun autre mâle ne s'en approchera, sans que je lui arrache la tête, déclarais-je sérieusement avant de demander l'avis de la concernée. - Tu te moque de moi ? C'est mon premier Bal à tes côtés, répondit-elle avant de se tourner vers son homme : Bébé, s'il te plait, demanda-t-elle en s'avançant près de lui pour lui susurrer à l'oreille : Tu ne le regretteras pas. Promis. Ce n'était qu'à la vue du sourire qu'il affichait que je compris, qu'elle l'avait eu et que les négociations été terminées. Il savait certainement de quoi elle voulait parler, heureux, il lui déposa un chaste b****r sur ses lèvres. - D'accord, prépare vite tes affaires, avant que je ne change d'avis, pas de bêtises, ordonna-t-il joyeusement. Sans se faire prier, elle déposa un chaste b****r sur sa joue, avant de s'en allait, tandis que j'observais mon bêta d'un œil interrogateur, ce dont il se rendit compte assez rapidement. - Tu comprendras lorsque tu rencontreras ton âme-sœur, se moqua-t-il en m'aidant à me relever. - Tu sais très bien que ça ne risque pas d'arriver ! Je ne veux pas d'âme sœur et je ne compte pas le rechercher. Tu en connais d'ailleurs les raisons, lui rappelais-je me remémorant notre discussion. **** Flash back .**** J'étais assise sur ses marches d'escalier froid, observant la nature qui ce qui se trouvait face à moi, perdu... J'attendais... J'attendais le retour de l'homme que j'aimais, il devait me sauver, il allait venir, j'avais confiance en lui. Je n'étais que la fille ordinaire, celle que sa mère voulait marier à tout prix. Un Alpha venait tout juste de rentrer chez mes parents, il devait avoir une dizaine d'années de plus que moi, alors pourquoi ? Il était beau et m'avait l'air gentil, il avait sa propre meute, qui semblait le respecté. Enfin, c'était ce que je pensais... - Que fais-tu ici seul ? Me questionna un jeune homme de quelques années de plus que moi. - J'attend son retour ! Vous ne pouvez pas m'emmener. Répondis-je détruite. - Qu'est-ce que tu veux dire ? Me questionna le jeune homme. - Je sais que ton Alpha vient pour moi, répondis-je détacher. - Impossible, quel âge as-tu ? - 14. Soudain, il se redressa, avant d'entrer dans la maison, les points fermés, mais lorsqu'il en ressortie, je compris qu'il ne pouvait rien pour moi. Il n'était pas plus âgé que moi, il ne pouvait pas se mesurer à un alpha, alors trois. - J'accepte mon sort ! Ne fais rien. Ce jour-là, il resta à mes côtés, parlant un peu de tous et de rien, jusqu'au moment où la porte se rouvrit, on m'entraina à l’intérieur de force, sous les protestations de Tristan qui tenta de les retenir. - N'oublie pas qui est ton Alpha ! Grogna cet homme que je pensais gentils. Ne voulant pas perdre mon nouvel ami, je suivis cet homme sans un mot, mes parents refermèrent la porte de ma maison sur Tristan, avant de m'entrainer dans une pièce. Ils m'y enfermèrent en compagnie de cet homme. À peine la porte s'était-elle refermée, qu'il me sauta dessus, arrachant mes vêtements de force, je tentais de me débattre, le suppliant de me lâché, en vain, il me mit plusieurs gifles, tentant lui aussi de me soumettre, puis il planta ses griffes contre mes cuisses me forçant ainsi à les écartés, et au moment où il s'enfonça en moi, il dit : - N'oublie pas que tes parents son derrières la porte, tu es mon jouet. Se moqua-t-il. Prise au piège, je tournais la tête vers la fenêtre déconnectée, je n'étais qu'une marchandise qu'on venait de vendre à bas prix. Une fois qu'il eut fini, mes parents entrèrent dans la chambre, félicitant l'homme, pour m'avoir rendu docile, ils rigolèrent ensemble, sortant de la chambre, tandis que j'étais encore nue, couverte de sang... Quelques minutes plus tard, Tristan franchisa la porte, savant de couvrir mon corps d'une couverture, il m'aida à me redresser m’emmener dans la douche. Il s'occupa de me rincer, tendis que j'étais déconnecté. - Je suis tellement désolé ! Je... - Il vaut mieux pas le défié ! Ne t'en approche pas ! Je t'en supplie ! **** Fin du flash back .**** C'était depuis ce jour qu'il était devenu secrètement mon beta, il prenait soin de moi. Il m'avait vue au plus bas, ce jour-là, il s'était promis de me protéger et de trouver une solution pour les écarter de moi. Malheureusement, à cette époque, j'étais encore trop faible et jeune. - Oui, je me souviens ! Mais... - Il n'y a pas de maids possible, je vous ai vous ! Conclusion ! Jamais je ne chercherai mon âme sœur et j'espère ne jamais le rencontrer. Dis-je sérieusement. D'un mouvement de main, je mis fin à la discutions, ce n'est que lorsque j'entamais ma marche, que je me rendis compte de ma blessure. Ce n'était pas bien grave, j'allais très vite m'en remettre. Sans attendre, je me dépechais de finaliser mes valises. .... Éclipse de quelques heures… Après un long chemin, nous y voilà enfin, la route fut longue, je n'avais arrêté de repenser au mot de Tristan... Une âme sœur... Pfff Pourquoi faire… Mais qui me disait qu'il ne me recherchait pas lui ? Après tout ce temps ? Non... Chassant de mes pensées cette idée, je descendis du véhicule en même temps que Paul, qui avait conduit, tendis que Louise et Sébastien, c'était endormi. Paul s'occupa de réveillé délicatement, tandis que je m'occupais de mon beta. Délicatement, je déposais mes lèvres contre les siennes, sentant ma présence, il ouvrit d'un coup les yeux, m***e, il m'a eu, ce s****d en profita pour m'embrasser. Ne me blâmez pas, c'était son idée ! - Alors là, tu as assuré, s'exclame-t-il en sortant de la voiture. - Et oui, j'ai un des meilleurs professeurs au monde, répondis-je tout en lui faisant un clin d'œil. - Bon, les tourtereaux, on peut y aller maintenant ? Parce que moi, je suis vraiment crevée, S'exclama Louise épuisé, calmement installé, sur une marche d'escalier, la tête posé sur sa main. Amusé, je m'approchais de ma louve, savant de me pencher et lui tendre mon dos. - Monte ! Au même moment, la porte du domaine s’ouvrit sur ....
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