– Sans doute, baron ; de plus, monseigneur trouvera, j’en suis sûr, une ample moisson d’observations dans la maison dont on parle. Ce n’est pas tout encore : vous êtes-vous informé de ce qui concerne le marquis d’Harville ? – Oui ; et du moins quant à la question d’argent les craintes de S.A.R. ne sont pas fondées. M. Badinot affirme, et je le crois bien instruit, que la fortune du marquis n’a jamais été plus solide, plus sagement administrée. – Après avoir en vain cherché la cause du profond chagrin qui minait M. d’Harville, monseigneur s’était imaginé que peut-être le marquis éprouvait quelques embarras d’argent ; il serait alors venu à son aide avec la mystérieuse délicatesse que vous lui connaissez ;… mais puisqu’il s’est trompé dans ses conjectures, il lui faudra renoncer à trouver