CHAPITRE NEUVIÈME Convalescence et guérisonLe lendemain, il y eut joie au logis, car Marie put quitter sa chaise longue, monter avec sa mère chez le docteur, pour le remercier et lui demander de venir prendre part au dîner qui devait réunir toute la famille et moi, en réjouissance de cet heureux commencement de guérison. Le docteur accepta l’invitation avec plaisir. Il se sentait chaque jour s’attacher davantage à l’excellente famille dans laquelle l’avait introduit le hasard. Marie, fière de son succès, ajouta que maître Flock se trouvait convié également au dîner ; et, tandis qu’elle s’exprimait ainsi, elle cherchait du regard le maki dont, elle avait entendu tant parler. Tout à coup elle sentit quelque chose effleurer légèrement son épaule ; elle tourna la tête et se trouva face à f