Après un énième passage dans chaque recoin de la villa, on se met d'accord sur le fait qu'elle n'est pas habitée et nous nous posons enfin pour nous reposer. La plupart se sont déjà endormi où sont avachi sur les canapés, occupés à ronfler. - Hum, cette odeur de bois, ça fait du bien, me dit Douze. Je ne sens absolument rien. - Ça fait du bien d'être enfin libre, me dit Quatorze. Oui, ça, je l'avoue. - Je prends tout de même le premier tour de garde, dis-je en partant vers la fenêtre. On ne sait jamais. Ils me font signe et vont s'asseoir dans de gros fauteuils. Je grimpe sur la fenêtre et après avoir regardé de partout, je prends appuie sur les rebords et me projette sur le toit de la villa. Je m'accroupis et inspecte la forêt devant nous. À par le bruit du vent entre les branches d