Chapitre 3

2441 Words
• • • • • • ~ ʚĭɞ ~ • • • • • • Je m'étais enfermé dans ma chambre après être rentré chez moi,je voulais être seul,et oublié cet journée de malheur, j'étais dans un désarroi sans non,et je comprenais pourquoi c'était sur moi que c'était tombé, j'aurai pu accepter cet situation et continuer à vivre ma vie, tout en faisant attention à ne pas couché avec un homme qui chercherai à être au dessus, mais non moi j'ai eu la totale, j'étais enceint ,et je comprenais maintenant tout c'est femmes qui ont eu des grosses indésirables, j'étais dans le même cas qu'eux mais moi je n'avais pas d'autres solutions qu',et rien d'autre. — Eden mon chéri tu ne vas pas resté toute ta vie enfermé,tu dois penser à ton enfant. Me dit-elle de l'autre côté de la porte. Je soupire longuement, je savais que ma mère inquiétait beaucoup pour moi, mais pour l'instant je ne voulais pas qu'on me parle de ce bébé,je n'avais pas demandé à l'avoir, c'était sûrement le karma qui me retomber dessus, j'avais mené durant toute c'est année une vie de déboucher,et voilà ce que je gagné, j'étais enceinte du grand frère de mon amie,je savais pas comment lui faire face,je voulais simplement disparaître. Je ne lui répond pas bien trop bouleversé par mon sort pour le faire,je pouvais simplement leur entendant sans pour tant réagir à leurs inquiétudes. — Laisse-le un peut seule, c'est ce qu'il à besoin pour accepter cet situation,je sais que tu t'inquiètes, mais moi aussi je suis inquiète et je me sens si impuissant,je ne peux pas aider mon garçon je peux simplement être là pour lui et l'épauler du mieux que je peux. Dis mon père. — Tu à raison,je ne peux pas lui forcé, toutes sa vie viens de changer en un claquement de doigts,et je m'attends encore à le voir débarquer dans la cuisine pour manger son repas comme de rien n'était, mais je suis une mère et voir mon garçon aussi mal me fait de la peine et je sais ce que je pourrais dire ou faire pour le rassurer. Dit-elle sûrement les larme au yeux comme à son habitude. Je le savais très bien que mes parents étaient toujours très inquiète lorsqu'il s'agissait de moi, j'arrivai facilement à faire pleurer ma mère lorsque j'étais malades,et je constatait qu'encore maintenant ça n'avait pas changé, du haut de mes vingt trois ans j'arrivai toujours à inquiéter autant mes parents. Malgré la douleur et la culpabilité qui me gagné petit à petit,je ne pouvais me résoudre à sortir de ma cachette je voulais simplement être seule avec moi-même, et ce n'était pas près d'arriver si ils restaient devant ma porte. — Mon amour , Eden ira bien, mais pour ça nous devons être fort pour lui,on va être grand parents et ils auront besoin de nous,je devrais sûrement pas être heureux en ce moment, mais je ne peux m'empêcher d'apprécier l'idée d'être grand-père, certains diront que je suis fou mais je ne peux m'empêcher de voilà m'imaginer à ressemblera ce bébé qui grandit dans le ventre de notre petit Eden. Dit-il et un soupire quitta mes lèvres. Je ne m'attendais à cet réaction de la part de mon père, j'ai toujours su que j'étais la prunelle de leur yeux, mais j'avais toujours eu peur de perdre leur amour et leur attention si j'osais leur décevoir ne serais-ce un peu, mais je me rends compte que je m'étais trompez durant toute ses année,mes parents m'aimer réellement,je me sentais moins oppressé,je comprenais maintenant le sens quoiqu'il arrive. Il m'avait donné naissance et ce n'était pas pour m'abandonner au moindres soucis,je voulais sortir de ma chambre les prendre dans mes bras. — Calme ta joie, nous devons d'abord l'étoffer d'amour avant de pensé à en couvrir à son enfant,tu la dis toi-même il à besoin de nous,et nous nous serons toujours là pour lui. Avait dit ma mère. Le silence, m'indiqua qu'ils n'étaient plus devant ma chambre,et je supposait que ma mère était allé couvrir mon repas, avant de faire le ménage dans mon appartement, malgré son statut social, elle aimait bien fait des tâches ménagères, elle m'a inculquer de bonnes valeurs,son éducation était la meilleure, m'avait appris à ne prendre personne de haute, malgré tout l'argent que nous avons. C'était pour ça que je choisissait bien mes amis,ne voulons pas m'entourer d’hippocrite et de vantard. Je s'assoupit quelques heures avant d'entendre un coup sur ma porte, j'étais près à dire à mes parents que je voulais être encore, mais la voix de mon meilleur me coupe. — Eden c'est moi, Tu peut m'ouvrir s'il-te-plaît ? Demande Léon de l'autre côté de la porte. Je ne savais pas quoi faire, mais je pouvais pas non plus laisse mon ami à l'extérieur, j'avais plus que tout besoin de lui parler,je voulais savoir si il était capable de m'abandonner si il apprenait que j'étais en ce moment enceinte. Je souffre avant de délaissé la chaleur ma couette, pour aller ouvrir et ainsi le laisser entrer dans ma chambre,son sourire sincères et rassurant ne laissait pas de doute à ses pensé,il n'allait m'abandonner pour si peu, j'en étais sûre et certain. — Tes parents m'ont dit pour le bébé,je sais que je ne pouvais pas trouvé de bonnes mots qui te fera accepter ta condition, mais ce que je peux dire c'est que je suis là et tes aussi son là pour toi,tu ne sais pas la chance que Tu d'avoir de tel, ils sont prêts à tout pour simplement voir un sourire sur visage, ils sont triste lorsque Tu l'est,tu influence leurs humeur,et je t'ai toujours envié, j'aurais aimé avoir des parents comme le tien mes en ne choisit pas ses parents. Dit-il tout en prenant place sur mon lit. — Si j'accepte de l'avoir comment vais-je faire face à mon entourage,je ne pourrais supporté leur regard sur moi,je veux juste que tout ça soit un simple cauchemar,et que je me réveillerait très bientôt. — Tu crois que c'est si simple que ça, Tu sais très que tout comme toi ce bébé dans ton ventre n'a rien demandé,il n'a pas eu le choix d'être là et pourtant il l'est et ce qu'il à besoin c'est d'être accueilli avec joie, tout comme tu fais le bonheur de tes parents chaque jour de ta vie,ce bébé te rendras un jour heureux, c'est le tiens,et non de quelqu'un d'autre,je sais tu vas me dire que tu est un homme et ce n'est pas normal ce qui était en train de t'arriver,et tu dois savoir que tu n'est pas le seule dans situation,tu est peut-être le seule enceinte mais ils y a plein d'autres dans ta situation qui aimerait bien tout autant que s'échapper de ce cauchemar. — Tu à raison,mais c'est si difficile de l'accepter,je sais que je suis pas le seule mais je sais pas comment les autres vont réagir,je veux pas faire partie de potins du jour. — Tant que tu à moi et tes parents derrière toi alors pourquoi avoir peur, nous sommes là pour toi,et tu à des parents formidable comme modèle, je sais que réussira à élevé ton enfant comme la fait tes parents. Dit-il tout en posant sur la mienne,me faisant un magnifique sourire,le plus des sourire. Savoir que Léon me soutenait de toutes ses forces, m'avait rassurer,je me sentais fort en ce moment, j'étais près à tous supports parce-que j'étais si bien entourée par ma famille,je souris timidement avant de levé les yeux sur lui, mais le visage de mon ami me brisa le cœur,je m'étais tellement focaliser sur mon sort que je n'avais pas vu que quelques choses n'allait pas avec lui. — Léon qu'est-ce qui ne va pas, dis-le-moi,je suis là aussi pour toi. Dis-je tout en posant sa main sur son épaule. je voulais être là pour lui et pour le rassurer, comme il l'avait fait avec moi, j'étais reconnaissant pour tout ce qu'il à fait pour moi jusqu'ici. — Je te le dis souvent tu de classe d'avoir des parents aussi formidable,mes parents n'ont pas supporter d'apprendre que j'étais devenu en quelques sortes une femme, tout comme toi, ils m'ont mis à la porte et je ne savais pas où aller à part chez toi,mes lorsque je suis arrivé tes parents m'ont tout de suite parler de ce que tu vivait en ce moment,et je n'est pas voulu t'ajouter mes problème. — Tu ne m'ajoute rien du tout, nous sommes amis et c'est normal qu'on ce dis tout, je t'es confié mes soucis,et toi tu à fais de même,tu peux vivre ici aussi longtemps que tu le veux,mon appart est très grand. Dis-je tout en l'offrant un sourire rassurant. Je voulais être aussi un ami sur qui il pouvait compter,et malgré ce qui m'arrivait,je voulais toujours donner de l'importance à notre amitié. — Merci, je sais que je t'embête avec mes problème, mais je te promets de d'aider avec le loyer. — qu'est-ce que tu racontes,tu n'a pas besoin de payer le loyer,et c'est mes parents qui me pays tout,et je sais qu'ils ne voudront pas te ton argent. — T'es parents son si gentils avec moi, je ne le mérite pas. Dit-il tout en ce triturant les doigts. Un silence retomba dans la pièce, et plus personne ne parlé, notre relation était différent avec les autres, ont pouvait passer notre journée dans la même pièce sans ce parler, mais on ce comprenais si bien, mon estomac me rappelle à l'ordre en grognon,je mourait maintenant de fin. — Tu à faim,parce moi si. Dis-je en me levant du lit,je lui tend la main. Je sourit lorsqu'il attrape ma main,et nous sortons enfin de cette chambre beaucoup trop étouffante pour moi, mes parents étaient là assises sur le canapé de mon salon, le visage de ma mère s'illumine en me voyant dans l'entrée du salon. — Mon bébé, tu sors enfin, je sais que tu meurs de faim, aller viens je vais te servir ton repas,et toi aussi Léon. Dit-elle tout en prenant ma main dans la sienne suivis par mon ami. {•••} Le lendemain matin, c'était une forte nausées qui m'avait réveiller,et c'était très désagréable,de sentir que quelqu'un était en train de grandir en moi. Après avoir terminé je m'enferme dans la salle de bain, j'avais besoin de prendre une bonne douche, j'étais encore perdue dans mes pensées, encore un peu bouleversé par tout ce changement chez moi, après avoir fini ma douche j'enfile un simple jogging, fatiguée de m'habiller convenablement,et puis c'était le weekend et j'avais pas besoin de prendre la peine de le faire. J'entre dans la cuisine,ma mère y était elle rangé les courses dans le frigo, j'avais cru qu'ils étaient rentrée chez eux, j'étais trop fatiguée pour le vérifier. — Bonjour maman, qu'est-ce que tu ici de si bon matin ? Demandai-je tout prenant place sur le plan de travail. — Qu'est-ce que tu racontes mon chéri, nous ne sommes jamais parti,ton père et moi avons décide,de vivre ici avec toi, jusqu'à ce que tu accouche. Dit-elle tout en reprenant ce qu'elle faisait. — Mais Maman vous n'avez pas besoin de vous inquiéter comme ça,et puis je ne suis plus seule, Léon est avec moi il prendra bien de soins de moi. — Je sais que Léon est là avec toi, mais tu oublies que vous devez tout les jours vous rendre à la fac et les examens arriveras bien et ton n'est dois aussi penser à ses études, moi je suis ta mère et je veux m'assurer que rien ne t'arrive à toi et au bébé. Dit-elle et je soupire, elle avait toujours le bon mots pour me convaincre. J'ai une question à te poser et j'aimerais que me répond. — qu'est-ce que tu veux savoir ?je demande tout en soupirant de lassitude. — Connais-tu au moins le père de ton bébé ? Demande ma tout lâchant la bombe. Je me sentais à présent Mal, j'étais mal car j'avais l'impression de ressembler à toutes c'est arriviste que détestait Tant Alice, elle n'avait pas vue un problème au faîte que j'ai couché avec son frère, parce-que en ce moment là je n'étais qu'un homme ordinaire pas du tout capable de tomber enceinte. Et tout avait changé et je ne savais pas si j'arriverai un jour à lui faire face,ma conscience me hurler de lui dire la vérité,je préférais ça, que te vivre le reste de ma dans le mensonge. — bien-sûr que je sais qui il est, mais pour le moment je ne pas lui parler de ça,je dois d'abord accepter mon état. Dis-je avant de me lever et de quitter la cuisine. Il fallait que je l'appelle, que je lui parle elle était mon amie et tout comme Léon elle allait m'accepter. Je pris enfin ma décision et je compose son numéro avant de porté l'appareil à mon oreille, elle paru inquiète et voulais savoir ce qui m'était arrivé, alors je lui raconta tout l'histoire et je n'avais pas oublié l'information importante, elle c'était tu,ce qui m'avait d'abord inquiéter. «oh Eden ne t'inquiètes pas ce n'est pas comme si tu avais voulu être comme ça, mais je suis ton amie je serais là pour toi.» dit-elle avant de mettre fin à l'appel sans plus de cérémonie,ne laissant perplexe, devais-je vraiment croire en ses mots,je ne le savais pas. — Qu'est-ce qui ce passe ? Demanda Léon qui venait de sortir de ma chambre. — C'est juste que j'ai parlé à Alice et je lui est parlé du bébé et tout, mais ses mots ne reflétait du tout ses réactions et je ne sais pas si c'était une bonne idée ou non. Dis-je tout en me collants au mur. — Je vais te dire une chose en tant qu'ami, tu as fait le mauvais choix en lui parlons du bébé, c'était seulement au père que tu devais en parler et non à sa sœur qui te sert d'amie, tout le monde n'est pas moi, ne t'attends pas à ce qu'il t'accepte sans branché,le monde est parfois méchant. Dit-il tout en tapotant mon épaule. J'étais bouche bée, Léon était le seule de mes amis à m'ouvrir les yeux sur les gens qui m'entourent,et maintenant je ne savais pas ce qui m'attendais,ce qu'elle pourrait bien faire de ce que je lui avais dit,je ne savais pas si elle allait le dire à son frère ou le gardé pour elle, mais je la considérer encore comment mon amie jusqu'à preuves de contraire, mais je ne pouvais pas empêcher l'appréhension gagné mon corps, je savais pas ce qui m'attendais demain.
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