Chapitre 2

1680 Words
• • • • • • ~ ʚĭɞ ~ • • • • • • Je crois que si un jour on m'avait dit que tout ceci allait m'arriver alors le l'aurais cracher au visage,je n'arrive toujours pas à croire que tout ceci m'était arrivé,mes parents étaient tous comme moi sous le choc,suite au informations qui passé à la télé,ma mère avait les yeux rivés sur le verre d'eau que je venais de remplir avec l'eau du robinet. Cet eau dans mon verre, c'était avec cet même eau que c'est foutu scientifique en versé leurs produits,et j'avais soudainement Envie de vomir, c'était la première fois que de l'eau me dégoûte à ce point, vous devez me prendre pour un fou, mais mon corps avait commencé à réagir tout seuls et je ne pouvait plus l'arrêté. — Tout va bien mon chéri ? Demande ma mère de l'autre côté de la porte. Je soupire tout en m'asseoir sur le carrelage de la salle de bain, j'étais épuisée et je ne savais pas comment pensée, c'était bien trop pour moi, depuis tout ce temps,je buvais de l'eau du robinet, sans savoir quel était contaminé,et j'avais peur,de découvrir que j'étais atteint d'une maladie incurable, j'avais la devant moi, j'avais encore beaucoup de choses à vivre,et à découvrir,je voulais tombé amoureux et ressentir ce sentiment qui était si puissant, mais tout ça serait derrière moi. Un coup plus fort ce fit sur la porte et je sursaut de surprise. — Fiston dis quelque chose,tu nous inquiète,tu n'a pas à t'enfermer seule dans cet pièce, sors nous irons à l'hôpital et quoiqu'il arrive nous serons toujours là pour toi, maman et moi t'aimons quoiqu'il arrive. La voix de mon père était si rassurant,il allait toujours eu des mots pour me rassurer,et je savais qu'il ne mentait pas, avec eu dans ma vie rien be pouvez m'arriver dans la vie. Je décide enfin de me lever, j'observe un moment mon reflet dans le miroir, avant de rejoindre les autres à l'extérieur. Le visage inquiète de mes parents et mes amis me frappa,et j'avais encore plus peur. — Eden ne t'en fais pas, nous sommes aussi là pour toi, pas vrai les gars. Dis Léon tout en faisant un sourire rassurant. — Oui, Quoi qu'il arrive ! S'exlamèrent-ils avant de me prendre dans leur bras. J'avais de la chance d'avoir des amis aussi fidèle,des amis qui m'aime et me supporte tel que je suis, ils n'ont jamais souhaité que je change, malgré ma personnalité un peu pourri,je ne savais pas ce qui m'attendais là-bas mais j'étais près. ... L'hôpital où mes parents m'en emmener était plein à craquer, plusieurs personnes apeurée attendait comme moi de pouvoir savais ce qui leur était arrivé. Mon père avait du remplir mes informations sur une liste et j'étais au fond de cette dernière,je soupire tout en collants ma tête aux murs,mes écouteurs enfoncer dans les oreilles,je voulais simplement que mon tour arrive au plus vite. J'étais dans ma petite bulle loin de brouhaha incessantes,un petit tape sur ma cuisse me fit sortir de mes pensées,ma mère me fait signe de retirer mes écouteurs,et c'est là que j'ai compris que c'était mon tour. — Ne t'inquiètes pas mon chéri je suis arrêt toi, nous serons là à ton retour. Dit-elle me souriant de tous ses dents. — Maman,je ne suis plus un bébé je suis grand maintenant. Marmonnais-je avant de suivre l'infirmière. L'infirmière qui était venu me chercher m'avait demandé me changer pour les examens que je devais faire. J'étais passée par le scanner,les examens du sang et des urines, ils avaient fait la totale, j'étais même passé par un échographie et je n'avais pas compris pourquoi. C'était donc épuisée, lessivé que j'avais rejoint mes parents,ma mère était tout de suite venue me serré fort dans ses bras,ce qui m'avait fait sourire,je me fondit dans ses bras et je la laisse m'embrasser. — Tu à l'air épuisée,tu veux que je t'apporte quelques choses à boire ? Demande mon père tout en ébouriffant mes cheveux. — C'est Bon je n'est besoin de rien d'autre,je veux juste savoir ce que j'ai.... Je connaissais l'inquiétude légendaire de mes parents,il ne pouvait rester là sans s'inquiéter une seconde pour, et moi j'ai toujours eu besoin d'eux a chaque moment de ma vie. J'observe ma mère qui offris un sourire à une femme assise près d'elle. — Vous semblait inquiète...dis cet dernière et ma mère hocha simplement la tête. — C'est le seul enfant que j'ai et si quelque chose lui arrive, j'en mourait. Dit-elle et je baisse simplement la tête. Je savais déjà que mes parents vivait pour moi,et je détestait encore plus l'idée d'être malade,je ne veux voir des larme sur ses beau yeux. le docteur fit enfin son apparition et mon stress grimpa., attendant de connaître le verdict. — Ce que je vais vous dire, va sûrement vous choqué, et je vous demande pas de l'accepter, mais simplement de vivre avec, la toxine trouvé dans l'eau que vous avez bu,ne vous à pas donné une quelconque maladie vous êtes tous en excellent santé, mais... dit-il tout en prenant une pose, j'étais heureux de savoir que j'avais encore une longue vie devant moi, mais je savais que ce n'était pas encore fini, qu'il y avait quelques choses d'autres, quelques choses de plus gros qui allait bouleversé nos vies. L'entreprise pharmaceutique avait pour but de trouver un moyen d'augmenter les naissances dans le pays, nous avons crû qu'il avait pour but d'augmenter les hormones des femmes, mais son but était de permettre au homme de contribuer à l'augmentation des naissances, ce que je veux dire c'est que les femmes ce nom pas affecter mais les hommes eux le son, vous avez maintenant une utérus. Dit-il la tête baissée. J'étais l'a comme un con, j'avais l'impression que tout ceci était simplement un cauchemar et que j'allais me réveiller bien,les concerné hurlèrent leurs mécontentement et moi j'étais simplement neutres,la seule chose que je venais de comprendre c'était que j'étais devenu presque une femme,je lève mes yeux vers mon père,et il m'offrit un sourire rassurant,un sourire qui voulait dire quoiqu'il arrive il était là et ça n'allait pas changé. — Monsieur Muller le docteur Lee aimerais s'entretenir avec vous. Nous informe l'infirmière. Ma mère me sourire avant de me tendre la main, que je saisi avant de suivre l'infirmière jusqu'au bureau du médecin laissant le brouhaha incessante derrière moi. Il y avait trois chaise dans le bureau, je m'installe entre mes parents tout deux avait une main dans la mienne. — Alors docteur de quoi voulez-vous nous parler ? demande mon père tout en serrant ma main, c'était comme si il avait peur que je disparaissent. — J'aurais aimé vous donner de bonnes nouvelles,ou attendre que vous digérer la nouvelle que vous venez d'après, mais en tant que médecin il est de mon devoir de vous informer sur l'état de votre fils, beaucoup espère voir leur fils être brillant et exceptionnel. Dit-il et je sentis ma mère ce tendre,de peur elle avait peur que je disparaissent de leur vie,mon père était dans le même état. — Votre collègue à dis tout à heure qu'il était en bonne santé, dites-nous où est la vérité dans tous ça. — Madame Muller calmez-vous, votre fils est en bonne santé,il n'a aucune maladie incurable, mais il attend un bébé... dit-il tout en fixant mes parents. J'étais...sous... le... choque. Je ne savais comment réagir entre rire ou pleurer,mon corps avait fait les deux, j'étais en train de rire et pleurer,ma mère ne savais pas comment me calmer, j'étais effrayé, déjà que j'apprenais que je possédais le même organes qu'une femme,et maintenant j'étais même enceint,je ne savais pas comment je pourrais faire face aux autres,le pire c'était de dégouté mes parents, ils étaient tout pour moi,au lieu de faire leur fierté, j'étais devenu une honte. — mon bébé ne pleure pas, nous t'aimons quoiqu'il arrive nous serons toujours là pour toi. Dit-elle tout en caressant tendrement mes cheveux. — Maman à raison, quoiqu'il arrive tu seras toujours notre enfant,ce n'est pas de fautes,si aujourd'hui tu va avoir un bébé, alors ne te sens pas mal pour ça. — C'est ça le problème,je ne veux pas de ce bébé,je veux m'en débarrasser,je ne sais pas comment vous allez faire mais je veux faire un avortement. — Désolé monsieur Muller, mais c'est impossible, nous pouvons pas le faire. — pourquoi, toutes les femmes en le droit de faire ce qu'il veut de leur corps, alors pourquoi pas moi. M'énervais-je — Nous savons encore si vous allez pouvoir donner naissance et vous, vous voulez un avortement, vous êtes un homme et nous ne pouvons pas vous garantir que vous vous en sortirez vivant. Dit-il et ma mère paniqua. — Docteur ne l'écouter pas, fait juste des recherches et trouver un moyen pour qu'il puisse donner naissance sans danger, c'est le seule fils que j'ai et je veux pas le perdre. Dit-elle presque en supplient. — Mais Maman... — Non je ne vais t'entendre, Tu crois que je t'ai donné naissance pour te voir mourir avant moi, c'est juste un bébé,peur m'importe si c'est toi qui le porte ou pas,il reste mon petit enfant et je l'aimerais de toute mes forces. — Nous sommes très parents et pour nous seule ton bonheur compte,peut nous importe à part ta santé et ton bonheur,tu n'a pas besoin d'avoir peur de nous décevoir,parce que nous ne le sommes pas, nous serons là avec toi, quoiqu'il arrive. Dis mon père avant de me prendre dans ses bras. Je me laisse aller à ma tristesse et je laisse mes larme coulé sur mon visage, je sentais ma mère caressé mes cheveux pendant que mon père me frottait le dos, dans ce bureau, aujourd'hui j'avais appris à détesté les hôpitaux. je ne savais pas quoi faire à présent, j'avais toujours peur du regard des autres, qu'allais-je dire à mes amis,je n'avais pas de réponse à mes questions,la seule que je savais, c'était que j'avais mes parents à mes côté près à ce battre pour moi.
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