Chapitre IV Le mal de mer. – La ville de marbre. – Pise. – Une ville qui fait semblant d’exister. – Une population de souvenirs. – Les rues où on ne passe pas. – La cuisine au fromage. – Ce qu’on fait à Pise pendant le jour et ce qu’on y fait pendant la nuit. – La sieste. – La tour penchée. – Le Campo-Santo. – Mangiamele. – Les tableaux du salon de mon beau-père. – Jamais on n’avait vu un homme aussi barbu. – L’esprit des ruines. – Lambertus. – L’antre de Ghiotto. – Cimabuë, Pérugin, monsieur Ingres, Raphaël. – Une tombe-atelier. – Une scène du Jugement dernier. – Les vierges grasses et les vierges maigres. – Où mon artiste reparaît. Déjà j’avais pu m’apercevoir que ma femme laissait peut-être quelque chose à désirer du côté de la poésie. Les suites de notre voyage semblaient donner des