Ma copine et moi étions en train de discuter quand je reçus le message d’Éric. Éric m'avait envoyé un message par w******p dans lequel il me demandait de passer le voir à la maison à la fin des cours. Je lui répondis juste « OK », parce qu'il me manquait tellement.
À la fin des cours, je suis allée voir Éric. Une fois dans la maison d’Éric, je n'avais pas remarqué la présence de ses parents. J'avais fait mon entrée dans sa chambre et il était en train de travailler sur son ordinateur. Je l'avais salué comme d'habitude et nous avions commencé par discuter.
Nous étions en train de nous taquiner et tout doucement nous avons commencé par nous embrasser. Sans plus attendre, les caresses avaient suivi et nous voilà à moitié nus...
Éric me caressait ; ce qui me faisait vibrer, moi aussi, je n’arrêtais pas de le caresser. Nous étions dans le sofa au salon et comme les choses voulaient devenir sérieuses, nous étions dans l'obligation de faire notre entrée dans la chambre à coucher. J'étais à moitié nue, ainsi qu’Éric qui m'avait prise dans ses bras pour m'amener dans la chambre à coucher. Une fois dans la chambre à coucher, il me déposa dans le lit et enchaîna avec les caresses.
Tout doucement, il retira mon soutien et, après avoir pris un peu de temps à caresser mes seins, il commença par m'enlever la jupe que j'avais portée. Il ne me restait désormais que le collant et le slip que j'avais portés.
Il avait emprisonné mes lèvres et m'embrassait en caressant mes seins. Je n'arrivais plus à supporter l'envie qu'il me donnait. Je me noyais de plus en plus dans ce plaisir au goût mielleux. J'avais mis ma main dans le short d’Éric et attrapé sa bite que je commençais par caresser. Avec tout ce que Gloria m'avait dit, j'avais décidé de passer à certains trucs pour voir. Lorsqu’Éric finit par m'enlever le collant, slip, je lui demandai de se coucher sur le dos. Ce qu’il fit sans même dire un mot.
Tout doucement, je l’aidai à enlever son short. Il était enfin nu comme un ver, et je montai sur lui. Je commençai par le caresser, passer ma langue sur tout son corps, dans ses oreilles, sans oublier ses lèvres que j'emprisonnais après chaque caresse. Il caressait mes fesses et glissait sa main dans mon slip. Tout doucement, je glissai ma langue de ses lèvres jusqu'au niveau de son nombril, et dépassé ce niveau, j'avais pris sa bite dans l’une de mes mains.
Je ne savais même pas ce qui m'avait prise et sans même hésiter, j'avais plongé sa bite dans ma bouche et commencé les va-et-vient. J'avais bien salivé sa bite, l’avais enfin mise entre mes seins et continuais toujours avec les va-et-vient. Éric passait sa main dans mes cheveux, se redressait pour voir ce qui se passait et me disait même des mots qui me donnaient encore l'envie de ne pas arrêter.
Il se redressa et commença par garder ma tête en disant :
– Oh !! mon amour, c'est bien toi ou je me trompe ? Oh ! tu es superbe, ma reine, n'arrête pas, fais-moi voyager, ma reine. Je t'aime, tu es mon unique, je donnerai ma vie pour toi, je mourrai pour toi, mon bébé. Waouh ! Tu es géniale.
Une fois que je décidai de prendre une pause, Éric se redressa et décida de me faire aussi voyager. Il me tourna sur le dos et commença pas s***r mes seins. Je ne faisais que gémir, parce qu'il me rendait dingue avec ce plaisir qu'il me procurait.
Petit à petit, il commença par descendre vers ma chatte et je me disais que j’allais mourir de plaisir. Éric écarta bien mes jambes et, tout doucement, plongea sa langue dans ma chatte. Je n'arrêtais de caresser sa tête, garder sa tête pour qu'il puisse bien me faire évader.
Le plaisir ne faisait qu'augmenter et je n'arrivais même plus à contrôler ce que je disais. Éric avait pris le temps de bien me l****r, pendant que l’un de ses doigts me pénétrait et un autre glissait sur mes seins.
Je ne sentais plus de douleur comme la première fois. Il me léchait et je me tordais et gémissais de plaisir, c'était devenu plus fort que moi et la seule chose dont j'avais besoin était de le sentir en moi. Et là, je lui dis tout doucement : « Mon amour, je veux te sentir en moi, s'il te plaît, pénètre-moi, mon chéri ».
Sur ces mots, Éric se redressa et alla vers sa table de nuit pour prendre quelque chose : c'était du préservatif. J'étais toujours couchée sur le dos, toute mouillée, en attendant qu'il vînt me mettre ma chose à l'intérieur ; et il était revenu vers moi. Une fois monté sur le lit, il avait encore penché sa tête pour caresser une fois encore ma chatte et, après ça, tout doucement, il me pénétra avec sa bite.
Je sentais sa bite à l'intérieur de moi ; je ne vais pas dire que ça ne m'avait pas fait mal, car j'avais ressenti un peu de douleur, sauf que ce n'était pas trop comme la première fois. Il faisait des va-et-vient et je prenais le temps de le caresser. J'avais mes yeux fermés pour m'attendre à ces douleurs que j'avais senties. Éric me dit :
– Mon amour, regarde-moi, qu'est-ce qui ne va pas ? Je te fais mal, c'est ça ? Ou bien quelque chose ne va pas ?
– Non, chéri, rien ; ne t'arrête surtout pas, vas-y, chéri, je te sens, mais je veux encore plus te sentir.
– Dans ce cas, je ne veux pas que tu fermes tes yeux.
– D'accord, mon amour.
Éric continuait ses mouvements en me fixant droit dans les yeux. Il avait commencé par changer de rythme et sans mentir, je n'arrivais plus à me contrôler. Il se pencha sur moi et commença par s***r mes seins. Je passais une de mes mains sur sa tête et ma seconde main était au niveau de ma chatte.
Éric me donnait un plaisir immense avec ses jeux de reins, il avait bien sucé mes seins et, moi, je le serrais très fort contre moi, car il avait augmenté le rythme des mouvements de reins et c'était plus fort, plus doux. Je n'arrêtais pas de lui dire de bien me secouer, je voulais vraiment qu'il me plonge toute sa bite en l'intérieur de moi, parce que je l'adore, j'adore sa bite tout simplement.
À suivre ...
RICHY PLUME-RAM
GOD’S INSPIRATION