Enfin, il se redressa et, avec tendresse, introduisit sa bite dans ma chatte. Là, une douleur vive se déclencha en moi, une douleur que je caractériserais de douleur à type de déchirure.
Mais au fur et à mesure qu'il faisait les va-et-vient, la douleur se transformait en plaisir, les mouvements devenaient plus intenses ! Et je n'arrivais plus à supporter ce délicieux plaisir qui rayonnait en moi.
Je me tordais et gémissais de plaisir. J'en pleurais même, c'est que je pleurais de plaisir. L'irréparable fut fait. J'ai donné ma virginité à Eric. Il faisait des va-et-vient en douceur tout en augmentant progressivement la cadence.
Je lui disais juste de me cogner fort et il me disait avec sa belle voix : « Ma princesse, tu es vraiment superbe, tellement délicieuse, oh je ne m'étais pas trompé sur ce choix que j'ai fait ; oh mon Dieu !!!!!!!! Je t'aime, Rosy !!!!!». Sans m'en rendre compte, j'étais dans l'extase et lui aussi avait joui. Après cela, je me suis blottie contre son torse tout en le caressant.
Ce jour-là, j'avais découvert ce plaisir et cette sensation dont ma copine Gloria n'arrêtait pas de me parler et, sans mentir, malgré les petites douleurs que j'avais ressenties, j'avais tellement adoré. Parce qu'Éric m'avait vraiment donné le meilleur goût de cette chose.
Après une bonne sieste, je me suis réveillée de mon sommeil et, à mon réveil, Éric n’était plus à mes côtés. Je me rendis dans la douche et réalisai qu’Éric y était. Je voulus me retourner mais comme il avait remarqué ma présence, il m'interpella.
– Ma reine, quelque chose ne va pas ou bien tu veux faire la toilette ?
– Oui mais, prends ton temps, je le ferai si tu termines.
– Mais mon bébé, j'ai déjà terminé ; tu peux bien venir faire ta toilette, n'oublie pas qu'on n’a pas une petite douche. Ou bien tu veux toujours me cacher mes choses ?
– Non, bébé ; toi aussi ! J'étais obligée d'aller le rejoindre dans la douche. Une fois dans la douche, il me serra contre lui et me fit un b****r. J'enlevai la robe de nuit que j'avais portée et commençai par faire mes toilettes. Il avait terminé d'essuyer le corps et avant de sortir de la douche, il s'approcha de moi et me dit :
– Ma reine, tu es une perle rare et je ne peux jamais te laisser pour une autre, j'ai même hâte de passer ma vie avec toi.
– Humm !!! Pourquoi, mon amour ?
– Parce que tu m'as donné ce que tu as de plus chère dans ta vie. Je te promets que je ne vais jamais te faire du mal, ou te remplacer par une autre. Je ne sais même pas ce que j'irai chercher ailleurs. Je t'aime.
– Je t'aime aussi, mon cœur.
Sur ces mots, Éric me faussa compagnie. Je pris le temps de me mettre au point et une fois sortie de la douche, je portai mes habits pour rejoindre Éric au salon.
La pluie avait cessé. Après avoir passé un peu de temps avec Éric, je suis rentrée chez moi. Une fois chez moi, j'avais répondu aux messages d’Éric dans lesquels il ne faisait que me faire des éloges.
Après avoir répondu à ses messages et pris le temps de converser un peu avec lui au téléphone, je me sentais tellement différente et je me posais des questions en me demandant si c'était ce qu'on appelle rapport s****l parce que pour moi c'était tout simplement magnifique.
Allongée dans ma chambre, je revivais tout ce qui s’était passé chez Éric. J'étais là quand mon portable sonna : c'était ma copine Gloria. Je savais que cette dernière allait m'appeler, parce que j'avais discuté avec elle au téléphone avant de me rendre chez mon chéri.
Je décrochai l'appel et nous commençâmes par parler. Gloria me taquinait et m'envoyait même certaines images pornographiques pour me demander les positions qu'Éric m'avait fait prendre. Elle me disait des trucs qui me dépassaient même. Elle avait découvert ce monde qui avant moi. Nous avions fini de converser et elle avait raccroché. Alors, je déposai mon sac pour rejoindre maman à la cuisine.
Quelques jours plus tard…
Le problème de rapport s****l qui était entre Éric et moi avait pris fin et tout se passait bien entre nous, mieux même qu'avant. Éric n'arrêtait pas de me gâter avec les présents et tout le reste. J'étais comblée d'amour et c'était tout simplement génial. Je passais du temps chez Éric.
Depuis notre premier acte s****l, il ne me demandait plus le s**e et je me disais qu'il n'était pas un accro au s**e. D'après ce que ma copine Gloria m'avait dit, si ce dernier était un accro au s**e, une fois qu'il a déjà goûté à mon s**e et aussi ce qui constituait un obstacle qui est ma virginité n'est plus là, il n’allait pas cesser de me demander à nouveau, encore et encore pour le s**e.
Mais c'était le contraire que je voyais chez mon Éric. Il fut un jour, ma copine commença avec son affaire de cours de s**e. Nous étions à l’université.
- Ma copine, je veux te dire quelque chose, il y a certaines choses que tu dois savoir.
- Quoi encore, Gloria ?
- Il ne suffit pas seulement de donner le s**e à ton homme, tu dois savoir qu'il y a certaines choses qui sont nécessaires. Si tu veux garder ton homme pour toi seule, tu dois savoir comment le faire voyager, comment te donner à lui lors du rapport s****l quoi.
- Tu veux dire quoi par là, ma chérie ?
- Je veux juste te dire que tu dois savoir comment lui donner le s**e avec des bonnes positions à l'appui. Tu me comprends, j'espère ?
– Oui, oui, mais je ne pense pas que ce soit nécessaire, parce que une fois qu'on s'aime, le s**e ne peut rien gâcher là. Il me demande et si ça me tente, je lui donne tout ; c'est tout non ? Je n'ai rien à foutre avec cette affaire de positions, s'il veut une position et je suis capable de faire, je ferai pour lui. Il est mon homme et je suis prête à tout pour le rendre heureux.
- Hum ! Je vois que tu as vraiment aimé ta première fois hein, ma copine.
– C'était juste magique, ma chérie ; j'ai tellement adoré.
– Ce qui veut dire que tu vas accepter s'il te le demande encore ?
– Bien sûr, ma chérie, j'avais peur de ressentir des douleurs, comme l'autre fois. Mais comme tu m'as dit que ça ne fera plus mal une prochaine fois, je pense bien dire oui, s’il me le demande encore.
- Ha ha ha !!!
À suivre...
RICHY PLUME-RAM
GOD’S INSPIRATION