La falaise est à pic, la mer est haute ; elle se brise sur les roches qui sont au bas. Soyez fermes en selle, mes cavaliers ! Serrez les mors. Enfin les chiens le gagnent ; l’un, plus rapide que tous les autres, a rejoint le renard avant qu’il ait pu se jeter dans les défoncements de la falaise. Une lutte s’engage entre eux. Pendant ce temps, le reste de la meute est arrivé. L’issue du combat n’est plus douteuse : le renard est enveloppé. Ses ennemis surgissent de toutes parts ; il en trouve dans toutes les directions. Il cède. Les trompes entonnent l’hallali ; pendant ce temps les cavaliers se sont ralliés ; ils se rangent en cercle autour de la mêlée, pour jouir des derniers incidents de la chasse. Le comte de Montmeillard était trop bon veneur pour qu’aucun des détails traditionn