Sa dernière blonde

1120 Words
Xavier était profondément enfoui dans sa dernière blonde lorsque son téléphone sonna sur la table de nuit. Il plongea plus profondément dans la blonde, ce qui la fit pousser un cri perçant d'angoisse. Il n’était pas étonnant que cet homme soit appelé un Adonis sexuel. En la regardant d’en bas, ses yeux étaient remplis d’un sentiment d’ennui. Avec un soudain sursaut d'énergie, il lui lança une poussée puissante qui la fit se cambrer de douleur. La douleur aiguë irradiait dans tout son corps, la laissant à bout de souffle et luttant pour rester debout. Elle pouvait sentir l'intensité de son regard sur elle alors qu'elle essayait de retrouver son calme. Son regard perçant semblait pénétrer profondément dans son âme, la remplissant d'un sentiment troublant. Alors qu'il était encore en elle, il a essayé de voir l'identification de l'appelant en regardant par-dessus la table de nuit, mais il n'y est pas parvenu. Les orteils de la jeune fille se recourbèrent et elle enroula étroitement ses jambes autour de sa taille, le rapprochant avec une urgence féroce. Son corps se pressait contre le sien, douloureux à chaque centimètre de contact alors que leurs cœurs battaient en parfaite synchronisation. "Ignorez-le!" » ordonna-t-elle. Les traits de Xavier se transformèrent en un masque de froideur comme si ses émotions avaient été figées dans le temps. La simple pensée qu’on lui dise quoi faire suffisait à le plonger dans un état de colère et de défi. Sa voix, aiguë et abrupte comme le claquement d'un fouet, traversa l'air alors qu'il s'éloignait brusquement. "Sortir!" La blonde n'arrivait tout simplement pas à y croire. Elle était presque, mais pas tout à fait, à son apogée lorsqu'il a crié : « Sortez ! » Le cœur de la blonde se serra lorsqu'elle entendit sa voix retentissante lui ordonner de partir. Elle avait été si proche d'atteindre de nouveaux sommets de plaisir, mais maintenant cela semblait être un rêve lointain. Son horreur ne fit que croître alors qu'il se dirigeait avec confiance vers la table de nuit, pleinement exposé dans toute sa splendeur et dégoulinant d'arrogance. Ses yeux scrutèrent l'identification de l'appelant avec mépris avant de se tourner vers la femme tremblante devant lui. Il se moqua puis se lécha les lèvres. Il avait le fort sentiment que son père était sur le point de dire quelque chose qui provoquerait sa colère, et il prévoyait d'exprimer sa frustration sur la femme blonde qui désirait sa bite comme si sa vie en dépendait. "Vous avez certainement un très bon moment pour appeler quelqu'un, Père," il répondit finalement à l'appel. "Jeune homme, je sais que tu es de retour à la campagne, en train de b****r probablement toutes ces sales filles de la ville. Viens te marier. Les narines de Xavier se dilatèrent tandis qu'il reniflait d'incrédulité, la mâchoire serrée de colère et d'agacement. Les coins des lèvres de Xavier se retroussèrent en un ricanement alors qu'il haussait un sourcil, ses yeux se plissant avec une pointe d'amusement face aux paroles de son père. "Quelle Cendrillon veux-tu que je sauve cette fois, Père ?" Le vieux M. Knight, comme il le fait toujours, lui a crié dessus. "Ta femme." Les lèvres charnues et roses de Xavier s'ouvrent et révèlent des dents blanches et brillantes alors que son rire profond jaillit de sa gorge. Ses joues fossettes se soulèvent légèrement et ses yeux se plissent aux coins d'amusement. "Tu n'es pas sérieux, n'est-ce pas ?" L'homme de l'autre côté de la ligne n'a pas dit grand-chose, puis Xavier a poursuivi : « Elle n'est pas ma femme tant que nous n'avons pas fait les nœuds. D’ailleurs, n’épouserai-je pas une fille du bas peuple pour vous plaire, mon Père ? Le sourcil levé et le ricanement frisé de Xavier traduisent son ton sarcastique alors que ses lèvres s'entrouvrent et que son visage se transforme en une expression moqueuse. « Vous avez une heure pour vous rendre à l'église. Xavier, tu ne veux pas me mettre en colère, n'est-ce pas ? Il a dit cela et a ensuite raccroché. « Une heure ne suffit pas, comme tu m'as appelé alors que j'étais occupé avec quelque chose. Je dois encore me baigner pour mon mariage et m'habiller pour impressionner ma mariée, et j'ai 2 heures pour me rendre à New York depuis mon emplacement actuel. Au moment où il jeta un coup d’œil à son téléphone, l’homme avait déjà mis fin à l’appel. "p****n! Ce vieil homme ! Le visage de Xavier se tordit dans un mélange de frustration et de colère. Ses sourcils se froncèrent et ses lèvres pincées formèrent une fine ligne. Ses yeux se plissèrent et ses épaules se tendirent alors qu'il continuait à regarder son téléphone. Xavier dégageait un air de cruauté et d'arrogance, attirant les femmes vers lui comme les papillons de nuit vers une flamme. Ses traits ciselés et son air arrogant le faisaient paraître presque surnaturel, comme un dieu parmi les mortels. Un dieu du sexe, pour être précis. Mais malgré sa réputation d'homme à femmes, il y avait une personne à qui il ne pouvait jamais dire « non » : son père. Malgré leurs affrontements occasionnels, Xavier avait pour son père une profonde admiration et un amour aussi profond que l'océan. Il ferait n'importe quoi pour lui, même si cela impliquait de sacrifier ses propres désirs et ambitions. Il était ennuyé de ne pas pouvoir s’en sortir. Il se tourna pour voir le visage de la jeune fille, humide de sueur et rouge de désir, les yeux écarquillés et suppliants. Il lui attrapa la main et se dirigea vers le balcon. Il lui ouvrit les pieds, tenant fermement ses hanches, pendant qu'il alignait sa queue. Les mains de la jeune fille agrippent la balustrade métallique, ses jointures blanchissent à cause de la pression. Sa peau est glissante de sueur et ses doigts tremblent d’impatience. Sa tête glissante sonda violemment son entrée. "Oh mon Dieu!" Les cris d'extase de la jeune fille résonnèrent dans la pièce alors que Xavier enfonçait son membre durci en elle, la remplissant de désir primal et de plaisir brut. "Tais-toi, tu es tellement ennuyeux", dit-il à la jeune fille en approchant une de ses mains pour fermer sa bouche. "Je déteste quand mon chien aboie." Ses mots étaient étouffés par ses gémissements alors qu'il plongeait sans relâche en elle, chaque poussée la rapprochant du bord de l'extase. Elle s'accrochait à la balustrade métallique du balcon, ses doigts agrippant avec une intensité aux jointures blanches tandis que la tige dure de Xavier la transperçait à plusieurs reprises. profondeurs. La force de ses mouvements les poussa tous deux à leurs limites, leurs corps se fondant dans une frénésie de désir brut et de besoin primaire.
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