Les cris lui arrachèrent les poumons mais furent étouffés par sa main. Il a frappé son chaton avec des poussées rapides et puissantes. Ses couilles lui frappaient le c*l pendant qu'elle s'accrochait à sa chère vie. La mâchoire de Xavier se serra alors qu'il la frappait sans pitié, chaque poussée étant remplie d'une force primitive brute. Son corps tremblait et tremblait sous lui, incapable de résister à la pression intense qu'il lui infligeait. Il n’a accordé aucun répit, animé par un désir insatiable de dominer et de conquérir. Ignorant ses cris alors que sa bite était enfouie au plus profond d'elle, il sortit son téléphone pour appeler son assistante tout en continuant à pomper sur la blonde.
"Regardez cette fille ; mon père veut que je me marie. Découvrez tout sur elle ; ne laissez rien." Ordonna-t-il.
Mais son assistant lui a demandé le nom de la fille, puis il s’est soudainement rappelé que le vieil homme ne lui avait pas dit le nom de la fille. Cela l'a mis en colère et il a transféré toute sa frustration sur la fille qu'il était en train de b****r. Il se mordit si fort la lèvre inférieure alors qu'il s'enfonçait en elle. La frontière entre plaisir et douleur s'estompa en elle alors qu'il la dévorait. Il a martelé la fille jusqu'à ce qu'il soit content. Il s'est vidé dans le préservatif et a grogné : "Sortez !"
» grogne-t-il en attrapant une serviette pour essuyer grossièrement la sueur qui coule sur son front. D'un pas déterminé, il se dirige vers la salle de bain mais s'arrête brusquement. Ses muscles se tendent et sa mâchoire se serre alors qu'il laisse échapper un grognement guttural de frustration et de colère.
"Quand je sors de la salle de bain, je ne voudrais pas te trouver ici."
La blonde n'arrivait pas à croire comment le gars se comportait envers elle. D'abord, il était profondément en elle et a passé un appel, puis il l'a quittée à mi-parcours, et maintenant il lui a simplement demandé de partir. La fille pouvait dire que cet homme était un s******d grossier, mais bien sûr, elle n’avait pas le courage de le lui dire. Elle pouvait dire qu'il était aussi un personnage important, alors elle fit ce qu'elle pensait être le mieux, se traîna le c*l hors de la suite et rentra chez elle.
Les gouttes d'eau tombaient en cascade sur son corps ciselé, scintillant dans la faible lumière de la salle de bain. Chacun a tracé un chemin sinueux depuis sa poitrine musclée, jusqu'à son abdomen tonique, et finalement dégoulinant de ses fesses fléchies. C'était comme une danse sensuelle, avec l'eau caressant chaque courbe et chaque crête de son corps. Xavier ne pouvait s'empêcher de se demander pourquoi son père insistait autant pour qu'il trouve une épouse. Mais pour l'instant, il repoussa cette pensée au fond de son esprit et savoura simplement la sensation de l'eau chaude contre sa peau, apaisante et revigorante à la fois.
Quand il sortit de la salle de bain, la fille était déjà partie. Il détestait les femmes collantes. Il avait une petite amie et il était clair dès le début qu’ils sortaient ensemble et qu’elle n’aurait pas dû mettre le nez dans ses affaires. Il se perche sur le bord du lit, son esprit s'emballant avec urgence. Bien qu'il soit aux États-Unis, il sait qu'il n'est pas assez proche de New York pour arriver à temps. D'un ordre précis, il ordonne à son assistant d'amener un hélicoptère sur le toit de leur hôtel, désespéré d'atteindre l'église avant qu'il ne soit trop tard.
Tapotant du pied avec impatience en attendant l'arrivée de l'hélicoptère, il parcourut frénétiquement la liste des épouses potentielles dans son esprit. Soudain, son téléphone sonna et il répondit avec un sentiment d'urgence, redoutant qu'il ne s'agisse d'un appel révélant son mariage arrangé avec un inconnu.
Xavier : Parle-moi.
Ligne 2 : Monsieur, vous allez épouser la fille de la famille Jackson.
Xavier : Âge, mode de vie, travail, tout ce qui peut être utile.
Ligne 2 : Monsieur, Avery Jackson n'a pas de travail parce que c'est une gamine qui gaspille l'argent de ses parents. C'est une coquette et elle a couché avec de nombreux hommes, y compris votre nièce Finn, qu'elle était censée épouser. Elle a 23 ans. Elle n'est jamais allée à l'école. Je veux dire, aucun diplôme ou quoi que ce soit à son actif.
Xavier bouillonne de colère à la simple pensée de sa fiancée sans instruction et voyou. Chaque mention d’elle envoie en lui une vague de dégoût et de ressentiment. Il est convaincu qu'il ne la touchera jamais, que leur mariage sera pour elle un enfer et qu'elle regrettera d'avoir jamais été liée à lui. Sa confusion augmente alors qu'il a du mal à comprendre pourquoi son propre père, qui a toujours voulu le meilleur pour lui, lui aurait imposé cette union méprisable. De quoi amener Xavier à remettre en question tout ce qu'il pensait savoir sur sa famille et son avenir.
Mon père savait-il que j'allais épouser une prostituée à New York ?
Le cœur lourd, il repoussa sa confusion et ses doutes, déterminé à plaire à son père dominateur. Le trajet en hélicoptère jusqu'à New York prendrait deux heures éreintantes, mais que lui importait si la fille devait d'abord marcher jusqu'à l'allée ? Après tout, le mariage n’était qu’un arrangement commercial, une façade d’amour qui mènerait finalement à des vies séparées. Alors qu'il se relevait lentement, une pensée sinistre se glissa dans son esprit et déforma ses traits en un ricanement grotesque.
Chaque fibre de l'être de Xavier bouillonne de colère alors qu'il parcourt son téléphone à la recherche du nom d'Avery Jackson. Il refuse de laisser cette femme l'utiliser pour son argent, et il sera damné s'il lui laisse penser qu'elle peut le manipuler. La simple pensée d’elle lui fait frissonner le dos, et il jure de se protéger à tout prix de ses manières trompeuses.
Voir des photos du fils de son frère aîné, Finn, avec Avery sur Internet n'a fait qu'ajouter à son trouble intérieur. Cependant, il ne pouvait pas distinguer le visage d'Avery dans les images floues, ce qui le rendait encore plus conflictuel.
Son cœur s'emballe alors qu'il fuit la chambre d'hôtel, son esprit tournoyant de peur et de désespoir. Le bruit de ses propres pas paniqués résonne dans le couloir alors qu'il se précipite vers l'hélicoptère. Ses paumes transpirent et sa respiration est courte.