ÉPISODE 21
GEORGES
Je la retourne dans le canapé face au mur, ses fesses en l'air face à moi donnant accès à l'entrée de sa chatte. Je positionne la tête de mon bâton flexible en pointant sa tête dans le trou au dessous de son anus, et je la pénètre tout doucement en enfonçant tous les vingt cinq centimètres de mon bâton flexible dans sa chatte qui l'accueille chaleureusement pour le plus grand plaisir de Ricky qui émet un ''OUILLE''. Je commence par me chevaucher sur elle tout doucement au début pour commencer par accélérer fort au bout d'un moment, ce qui lui plaît bien à entendre ses encouragements à mon égard :
- Oui vas-y comme ça. Encore plus fort s'il te plaît.
Je la colle si fort que sa respiration s'est accélérée. Je la prends en levrette pendant une bonne dizaine de minutes et elle demande qu'on inverse les rôles :
- Laisse-moi monter s'il te plaît !
- Ok !
Je n'ai pas dit plus que ''Ok'' puisque c'est trop doux et je veux sentir ma queue-de-cheval en elle.
Je me redresse rapidement pour me coucher sur le dos sur les carreaux avec ma queue-de-cheval toujours en érection.
Elle vient se positionner sur cette énorme queue que sa chatte avale entièrement. Elle commence par faire de violents mouvements de va-et- vient, et la rencontre de nos organes génitaux ainsi que la chute de ses énormes fesses sur mes cuisses émettent un grand son bizarre que je ne veux pas vous décrire. Dans ses mouvements, je profite pour lui donner de violents coups de rein. Je la soulève ensuite pour la prendre en position missionnaire pendant environ trente minutes. Elle crie de plus en plus fort me demandant de me retirer qu'elle a mal. Mais je continue à accélérer mes coups de rein sans faire attention à ses cris jusqu'à m'exploser de jouissance en elle.
Ouf ! Je l'embrasse avant de retirer mon bâton flexible qui continue de vomir ma semence.
- Merci beaucoup pour le plaisir que tu m'as donné Georges !
- C'est à lui il faut plutôt dire merci Ricky, et non à moi (lui montrant du doigt ma queue toute molle).
- Mdr. Laisse-moi lui faire un bisou alors.
- Haha. Il t'attend !
- Mouak sur toi mon chéri. J'ai trop aimé ça, et j'en veux encore.
- Hum Ricky !
- Bah oui ! Bon, allons-nous nettoyer sous la douche pour préparer le second, et dernier coup !
- Que votre volonté soit faite mademoiselle Ricky !
Nous nous éclatons de rire pour rejoindre la douche. On se lave tous deux en s'embrassant. Elle me fait une pipe pour réveiller mon bâton flexible de son sommeil.
Nous revenons au salon ensuite, et elle se couche sur les carreaux cette fois-ci, les deux jambes en l'air très bien écartées laissant voir son trou au plaisir, en m'invivant à la rejoindre par un signe de main qu'elle oriente vers moi, et ensuite vers sa chatte non lubrifiée encore à la pénétrer.
Je m'abaisse et souffle très fort dans le trou de sa chatte, je parfume ensuite sa chatte avec du lubrifiant intime qu'elle me donne pour faciliter la pénétration.
Avec les filles, il faut s'attendre à tout. Je ne peux jamais imaginer qu'elle dispose de lubrifiant intime cette fille.
J'introduis ensuite ma queue bien dure dans sa chatte mouillée par le lubrifiant sans hésiter.
Il rentre ploum en glissant à l'intérieur pour une petite fouille.
Je prends du plaisir à b****r Ricky qui est emportée par des gémissements, les yeux figés sur le toit de la maison sans bouger lorsque la porte du salon par un claquement sec s'ouvre sur nous.
J'arrête mes va-et-vient net, laissant mon bâton flexible dans le trou au plaisir de Ricky et regarde vers la porte pour voir le dérangeur, mais je ne vois personne à l'entrée.
- Continue s'il te plaît ! Ne t'arrête pas.
- Mais la porte est ouverte !
- C'est sûr que c'est le vent. Ne fais pas attention à ça. Je n'avais pas fermé ça. J'ai juste rabattu ça dans la précipitation.
Ouf ! Je continue là où je me suis arrêté alors, en lui donnant des coups de rein secs. Elle n'arrête pas de crier pendant toute la séance jusqu'à ce que j'explose de plaisir. Nous restons coller l'un à l'autre en s'embrassant.
- Merci beaucoup Georges. J'ai beaucoup aimé ça. Je ne savais pas que tu seras aussi efficace que ça pour me satisfaire !
- Ah oui ! Tu viens d'avoir la confirmation. Ça me fait aussi plaisir de savoir que j'ai pu te satisfaire Ricky.
- Ma chatte a eu chaud je t'avoue. Peu s'en fallait et je vais fuir. C'est plus fort que moi ! Pour les fois à venir, n'introduit pas tout ton pénis s'il te plaît ! Ça me fait mal. Hun ?
- Hahaha. Je te comprends ! Promis !
Nous rentrons ensuite sous la douche ensemble pour nous mettre au propre.
Elle va dans la cuisine après la douche pour nous faire un truc à manger. Pendant ce temps, je suis au salon entrain d'échanger des messages avec des amis.
Lorsqu'elle finit la cuisine, nous mangeons, et discutons ensuite de tout et de rien.
Je rentre à la maison ce soir-là aux environs de vingt-deux heures.
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GRACIA KASSA
À la fin de la cuisine, je fais appel à mon mari qui me rejoint à table. Nous avons bien mangé mon mari et moi. Il a même bien apprécié mon repas.
C'est ça être une femme au foyer. Je ne m'amuse pas du tout avec le ventre de mon homme. C'est pour cela que je fais toujours l'effort de lui faire de bon plat et ne le laisse jamais affamé si je suis présente. Je peux préparer et il mangera dès qu'il a faim.
Pendant que j'étais à la cuisine, mon téléphone avait sonné. C'était un message, donc je ne me suis pas précipitée pour l'ouvrir. Après le repas, je prends mon téléphone pour voir celui qui a envoyé le message et son contenu. Lorsque je l'ouvre, c'est un message envoyé par mon opérateur téléphonique me notifiant que Georges, le neveu de mon mari est à nouveau joignable. Je lance alors l'appel pour lui demander de passer à la maison me voir :
- Allô maman !
- Bonsoir mon fils !
- Oui bonsoir maman ! Comment vous allez ?
- Je vais très bien Georges, et chez toi ? Et les cours à l'Université ?
- Je me porte très bien aussi maman. Les cours avancent bien, sauf que je ne vais plus au cours depuis un bon moment !
- Ça fait plaisir d'apprendre que tu te portes bien. Mais pourquoi tu as arrêté de te rendre au cours mon garçon ?
- C'est une longue histoire maman. Nous ne pourrons pas discuter de tout ça au téléphone.
- Je te comprends. Je t'appelle pour te demander de venir me voir demain matin à la maison si tu es disponible bien sûr ! J'ai une commission pour toi.
- Une commission pour moi ?
- Bien sûr que oui.
- Mais j'ai appris que vous êtes allée en voyage au Bénin ! Vous êtes déjà rentrée au Cameroun ?
- Oui, c'est vrai. J'ai fait un tour au Bénin rapidement ! Mais actuellement, je suis au Cameroun. Je suis rentrée aujourd'hui dans l'après-midi ! Je suis même passée te voir à la maison, mais tu n'y étais pas !
- Oh je vois maintenant. Vous avez raison. En fait, en rentrant à la maison cet après-midi, j'ai aperçu de loin un véhicule garé devant la maison, mais le temps de m'approcher pour voir, le chauffeur a démarré. Je me suis alors dit que peut-être, le chauffeur attend quelqu'un là, ou alors que c'est une connaissance, mais je n'ai pas pensé à vous.
- C'était bel et bien moi. Je revenais directement de l'aéroport en ce moment là avec ton oncle. Comme j'ai appuyé sur la sonnerie sans réponse, j'ai alors pensé t'appeler pour connaître ta position, mais tu étais injoignable.
- Toutes mes excuses. J'avais éteint le téléphone pour éviter d'être dérangé. J'étais sorti pour régler quelques problèmes chez ma tante Bella !
- D'accord, c'est pas grave ! C'est en fait pour cela que j'ai rappelé lorsque j'ai reçu le message me notifiant que tu es à nouveau joignable pour t'informer de mon passage, et te demander de passer me voir demain matin à la maison si tu es disponible.
- Ne vous inquiétez pas. Je vais me rendre disponible pour passer demain autour de dix heures !
- Très bien.
- Alors, j'espère que vous êtes bien arrivées !
- Oui oui ! Je rends grâce à Dieu pour le voyage avec zéro tracas.
- Gloire soit rendu en son nom alors !
- Eh oui ! Maintenant, il faut que je te laisse. Il fait nuit. Bonne nuit à toi et à demain mon garçon !
- Merci beaucoup maman ! Passez une bonne nuit.
- Merci mon garçon.
Il faut que je rends enfin ce colis le plutôt possible. Demain, ça fera vingt-quatre heures. Peut-être que c'est très important pour Georges. Demain matin, il passera à la maison chercher son colis lui-même. Je n'ai aucune envie de sortir de la maison. Je vais me reposer un bon moment avant de me rendre dans mes boutiques pour voir comment évoluent les choses.
LE LENDEMAIN MATIN
- Bonjour chérie. Comment tu vas ?
- Ah je vais très bien ce matin. Tu as bien dormi toi ?
- Beaucoup même. Alors et toi ? La fatigue du voyage ! Ça va ?
- Oui oui. Je me suis bien endormie, et je pense faire pareil toute la journée pour récupérer de force.
- Tu le mérites bien. Tu aimes trop travailler.
- Je n'ai pas le choix. Il me faut beaucoup travailler pour booster mon compte en banque et m'offrir la vie que je veux, et réaliser des choses.
- Tu as tout à fait raison. Moi je vais me rendre en ville tout à l'heure à dix heures pour les courses que je devrais faire hier.
- D'accord ! Mais avant ça, j'ai envie de toi. Après ça, je te fais un bon repas avant ton départ pour la ville !
- Oh ! Allez glisse-toi sous moi afin que je m'occupe de toi. Ça fait un moment que je n'ai plus eu d'intimité avec toi !
- C'est tout à fait vrai, ton anaconda m'a beaucoup manqué, laisse-moi commencer. J'aime beaucoup dominer quand il s'agit de ça. Toi même tu sais noh ?
- Mdr ! Je n'ai pas oublié.
À vos ordres madame Gilbert MEKOMBA ! ...