Ba(i)se-moi !

Chapitre 4 : j'ai adoré la prendre...

Aboubacar

Je m'appelle, Aboubacar Sylla, j'ai 45 ans et je suis un marabout, j'exerce ma profession depuis 15 ans, et je suis très doué dans ce que je fais, si bien que j'ai tous les grands commerçants, les directeurs et directrice, avec les hommes politiques qui passent chaque jour me voir, malgré ma perfection dans mon travail, j'ai un petit défaut, j'adore coucher avec les femmes des autres.

surtout les femmes des personnalités politiques, politiques . Les riches, arrogants , qui ne vous jetteront jamais un regard dehors, qui une fois quitte votre maison va vous regarder comme un déchet, ces femmes là, j'adore les b****r sauvagement avec leurs consentement bien sûr .

Aujourd'hui une femme vient d'entrer chez moi, je suis dans une duplex dont l'arrière me serre de bureau où je mène mes consultations, fais mes médicaments, mes potion.

Elle rentre le visage caché accompagné d'une amie que j'ai déjà mis dans mon lit.

L'amie nous laisse seuls. Elle commence à m'expliquer que rien ne va dans son couple, elle est la maîtresse d'un homme politique que tout le monde connaît.

Elle se plaint que l'homme lui donne moin d'argent depuis quelques mois.

Elle a besoin de son soutien financier pour terminer la construction de sa villa.

je lui ai présenté les différents manière de procéder, arrivé à la dernière qui propose des relations sexuelles avec Moi

Elle est un peu hésitante , je l'ai regardé de manière dédaigneux et lui réponds qu'elle n'était obligée en rien , elle demande si elle peut parler pendant quelques minutes à sa copine, je n'y vois pas d'inconvénients, après leurs discussions, elle est revenue plus déterminée que jamais, je l'a regarde elle est très belle jeune juteuse, et ses gros seins qui se baladent à chaque pas qu'elle fait, j'en salive déjà.

- J'accepte qu'est-ce que fait maintenant ?

- voici des potions préparés pour faire ton médicament, si je prends ça et je frotte, à mon zizi, quand je vais te pénétrer avec, il faut que tu sois très réceptives , ça va réveiller votre amour, votre passion . Le problème est que je ne suis pas motivée aujourd'hui, je n'ai pas la tête à ça, on peut le faire dans deux jours ? car demain je ne reçois pas.

- Pardon grand maître, c'est vraiment urgent, s'il vous plaît aidez-moi, j'ai besoin du médicament aujourd'hui.

J'adore que ces femmes si sophistiquée

m' implorent pour que je les b***e, mes couilles se contractent à cette demande.

- Désolé , madame, il faut que je sois vraiment motivé pour faire ça, là le médicament sera plus efficace, Il faut que l'envie vienne alors que là, je n'ai aucune envie.

- Qu'est ce que je peux faire pour vous motiver ? Je vais déjà doubler votre prix de cinq cents milles, je le faire à un million .

- Merci beaucoup mademoiselle, mais il faut que j'ai envie de faire la chose, alors que là, je n'ai pas envie.

Elle commence à se déshabiller

- Je vais vous donner l'envie dit-elle se mettant toute nue et mon sexe s'allonge involontairement. Elle commence à se caresser les seins, et d'avance vers moi.

- Vous ne pouvez pas me toucher dans ces Habits que je porte. venez sur le lit qui se trouve dans cette chambre, je vais me déshabiller, mais vous ne devez pas me voir nu .

Je lui tends un foulard,

- Mettez-vous sur le lit et attachez vos yeux.

Elle fit ce que je lui demande, une fois ses yeux attachés, couchée sur mon lit nue les cuisses bien ouverte elle est délectable, je me déshabille,

- Je vais devoir vous toucher pour créer une envie chez moi, êtes vous d'accord ?

- Oui grand maître, faîtes ce que vous voulez.

ho j'apprécie ses mots, je vais bien me régaler, de ses formes délicieuses.

tout nu je monte sur le lit, je suis au-dessus d'elle :

- Une dernière chose : vous n'avez pas le droit de me toucher.

- D'accord maître.

- Je vais commencer à vous toucher maintenant.

je commence à caresser ses cuisses, puis l'entrée de son sexe, je vois qu'elle est tendue et ne mouille pas, elle n'est pas excitée .

- Je dois vous exciter un peu, car il faut que vous prenez plaisir sinon ça ne va marcher , d'accord vous devez aimer cela comme quand vous le faites avec quelqu'un que vous aimez pour qu'il vous aime et vous donne tout ce que vous voulez.

- D'accord, grand maître.

Je touche ses seins que je presse à volonté, je pinces ses tétons, puis je commence à les lécher, a les mordiller

- Grand maître...

- Oui ? vous commencez à être excitée ?

- Oui grand maître, continuez comme ça.

Je reprends mon excursion de plus belle.

Je prends les deux gros seins dans mes mains, que je colle l'un à l'autre, les palpant, les soupesant, je les ai embrassés chacun, puis j'ai pris les tétons chacun dans ma bouche, je les aspire à tour de rôle, puis les repince.

- Oui grand maître

Ça me motive fortement, je touche maintenant son sexe, elle est devenue une fontaine, je m'amuse bien avec son sexe que je pénètre de deux doigts et commence à faire les va et vient, ses cuisses se mettent à trembler, son sexe se contracte sur mes mes doigts, signe qu'elle est sur le point jouir, retire mes doigts pour les remplacer par mon sexe.

que je prends le soin de lubrifier avec sa semence, car je suis très gros et long.

Je l'a pénètre brusquement, Ha que c'est bon, elle est serrée à souhait, je commence à me mouvoir dans son intérieur, elle pousse des petits cris d'extase, je mets maintenant plus d'ardeur, je la b***e comme un taureau, elle crie son plaisir et moi j'adore ses petits cris, signe qu'elle apprécie mes coups de reins, je m'enfonce plus profondément dans sa chaleur, mes va et vient deviennent plus brutaux , plus sauvage, je me couche complètement sur elle pour que ma poitrine soit en contact direct avec ses beaux seins.

Je la presse bien fortement contre moi sans cesser de la b****r, je la b***e pendant une heure de temps sans sortir de ses plis, elle adore mes attentions et moi à chaque fois que je vais é******r je me retiens, ralenti puis reprend à la cogner, elle crie à perdre sa voix, après plus de cinq o*****e , elle finit par jouir une troisième fois avec moi. J'ai effectué ma plus belle baise..... j'ai adoré la prendre.