X Amour et bataille Quand Boleslas eut fini de parler, Clou se leva, Saisi d’une idée subite : – Mes chers amis, dit-il, nous avons admirablement commencé la journée en ne faisant rien. Il n’y a qu’une manière de bien finir, c’est de dîner ensemble au restaurant, et d’aller ensuite au bal. Je voulus faire des objections. – Bon, dit Clou, voilà Marcomir qui va se faire prier pour donner le bras à Tullia ! Cette idée me décida sur-le-champ, et je me hâtai d’aller dans la chambre voisine pour déposer mon costume grec. Quand je revins, le Polonais et Clou étaient encore embarrassés dans leurs tuniques, et je me trouvai seul avec Tullia, dont la toilette avait été aussi prompte que la mienne. Elle avait allumé la bougie, et, debout devant la cheminée, elle plaçait avec beaucoup de soin da