Tous simples pourtant, toutes drogues, toutes viandes et médecines ne sont propres à tous ; aux uns elles opèrent, aux autres blanque : encore ai-je vu des femmes qui, mangeant ces viandes chaudes et qu’on leur en faisait la guerre que par ce moyen il pourrait avoir du débordement ou de l’extraordinaire ou avec le mari ou l’amant, ou avec quelque pollution nocturne, elles disaient, juraient et affirmaient que, pour tel manger, la tentation ne leur en survenait en aucune manière, et Dieu sait s’il fallait qu’elles fissent ainsi des rusées. Or les dames qui tiennent le parti de l’hiver disent que, pour les bouillons et mangers chauds, elles en savent assez de recettes d’en faire d’aussi bons l’hiver qu’aux autres saisons : elles en font assez d’expériences, et pour f***********r le disent a