– Chère mère, dit-elle, il y a quelques jours, vous parliez tant des préparations nécessaires à la fortune de Paul que vous seule pouviez diriger, pourquoi changez-vous d’avis en nous abandonnant ainsi à nous-mêmes ? – Je ne connaissais ni l’étendue de mes obligations, ni le chiffre de mes dettes, répondit la mère qui ne voulait pas dire son secret. D’ailleurs, dans un an ou deux d’ici, je te répondrai là-dessus. Paul va venir, habillons-nous ! Sois chatte et gentille comme tu l’as été, tu sais ? dans la soirée où nous avons discuté ce fatal contrat, car il s’agit aujourd’hui de sauver un débris de notre maison, et de te donner une chose à laquelle je suis superstitieusement attachée. – Quoi ? – Le Discreto. Paul vint vers quatre heures. Quoiqu’il s’efforçât en abordant sa belle-mère d