Orlovsky Tome 2

Selena XVII

Je pose mes mains sur son torse, détourne le regard, j'essaie de le faire s'éloigner.

"- Mat-Matvey...

- Hm...

- Éloignez vous."

Il s'éloigne de moi, en enlevant le couteau du mur, je sens mon rythme cardiaque qui va anormalement vite. Son regard se pose sur Tasha.

"- Qui est cette petasse ?

- C'est mon amie.

- Tu as beaucoup d'amie que je peux pas blairer.

- Vous allez plus toucher à la drogue ?"

Il nettoie son couteau rempli de sang dans le plus grand des calmes et fixant le corps de l'homme qu'il vient d'hôtel la vie. Il se gratte ensuite le crâne avec la manche de son couteau.

"- Essaie de m'en empêcher. "me repond-t-il en déplaçant son regard vers moi.

Il tourne les talons, passe à côté de son cousin qui est toujours aussi sol.

"- Lève toi et fait le ménage nous allons bientôt ouvrir."

Je le regarde monter les escaliers, lorsqu'il disparait je reprends mon souffle, je regarde Tasha qui ne s'est toujours pas remis de son intercation avec lui. Je la fait sortir à l'extérieure, elle se colle au mur puis lâche un souffle soulager la main poser sur sa poitrine.

"- Comment tu as pu affronter ce type ?

- L'habitude."

Elle se précipite vers moi.

"- Comment tu vas toi ?

- Ça vas.

- Lena. Comment tu peux aimer ce type ?

- Je suis sûrement tordu.

- Sûrement oui. "

Elle regarde la boîte en serrant des dents rempli par l'angoisse, je pose ma main sur son épaule.

"- Tu peux rentrer, je ferais de même plus tard.

- Tu es sûre de toi ?

- Oui, je vais rester un peu ici.

- Bon...J'y vais."

Elle est presque entrain de partir en courant, elle a même pas hésiter une seule secondes... Je lui avait dit que c'était pas une bonne idée. Quelqu'un se racle la gorge derrière moi, je regarde par dessus mon épaule.

"- Léon ? Ou étais-tu ?

- Qu'est-ce que tu fais ici ?"

Je lui fais face.

"- J'ai éviter Matvey de tuer mon amie.

- Et pourquoi tu as amener ton amie ici ?

- A t'entendre tu n'as pas l'air heureux de me voir.

- Je le suis mais ce n'était pas le bon moment.

- J'ai déjà vu les pires côte de Matvey en quoi ce n'était pas le moment ?"

Je rentre à l'intérieure, je passe à côté du corps que Ivan s'occupe de débarrasser, Léon fixe le corps.

"- C'est quoi ça ?

- Demande à Matvey. répond Ivan en se massant l'épaule.

- Tu veux que je regarde si ce n'est rien de grave ? lui proposé-je.

- Tu connais quelque chose en soin ?

- Euh...J'ai fait des stage de secours en Amérique."

Ivan regarde son épaule, regarde partout dans les alentours.

"- OK mais vite fait."

Il s'installe sur la scène, il déboutonne sa chemise, et me montre son épaule. Je touche, il fait une grimace,

"- C'est pas cassé.

- Tu es sûre ?

- Vous êtes un hommes ou une femmelette ?

- Facile à dire, ce n'est pas toi qu'il a tenter de casser le bras.

- Mettez une pochettes de glace dessus. Ce n'est rien.

- Et comment tu sais ?

- Vous ne bougerez pas votre bras si c'était cassé."

Je sens une regard presque menaçant sur nous, je me tourne et lève les yeux vers la vitre transparente, Ivan se rhabille rapidement. Matvey toque sur la vitre avec son doigt pour me désigner, puis échange avec son pouce pour me dire de venir. Il toque ensuite vers Léon et pratique les même geste. Léon et moi nous regardons, puis montons les escaliers jusque son bureau. Les vêtements de Matvey son tâcher de sang et cela ne semble pas le déranger, sa main en a même les traces...

"- Il y a une livraison ce soir.

- Tu me dis ça à moi ? Le questionne Léon.

- Non à moi même, je me parle à moi même.

- J'y vais et la prochaine fois n'assasine pas un de nos gars. Qui tu veux sauf eux."

Après avoir gronder Matvey, il sort du bureau, je suis Matvey du regard, il déboutonne sa chemise, lentement, il dégage ensuite son torse, je détourne le regard et regarde ailleurs. Je sens le tissu atterir sur ma tête me bouchant ma vision, je le retire rapidement puis le balance au sol. L'odeur du sang cela me dégoute.

"- Pourquoi tu es encore là ?

- Je croyais que je devais vous fair miens.

- Je suppose mais je n'ai jamais dit que j'avais le temps de jouer ce soir.

- Pourtant la drogue vous avez le temps à n'importe quelle heure."

J'essaie ne pas laisser mes yeux glisser sur son corps qui es toujours aussi agréable à regarder. Il place ses mains dans les poches de son pantalon noirs.

"- C'est vrai...La drogue à remplacer le s*x.

- Je ne vois crois pas.

- Crois le ou non. Je n'ai pas coucher avec une femme depuis un an.

- Vous vous moquez de moi ?"

Il a du oublier l'autre qu'il a emmener dans l'hôtel avec lui, il semblait occuper pendant notre appel.

"- Je ne mens pas.

- Je ne vous crois pas pour autant.

- Je vois. Rentre chez toi.

- Je ne rentrerai pas si je n'ai pas votre stock maintenant.

- Tu plaisantes ?

- Et je vais le chercher si jamais vous ne me le donnez pas."

Il colle son dos nu sur la vitre, sa main gauche sort de sa poche afin de me donner l'autorisation de fouiller le bureau. Je ne me gêne pas pour fouiller, je me précipite vers son bureau, je fouille dans chaque tiroir, mais arriver au dernier à droite il ne souffre pas. Il est verrouiller contrairement au autre.

"- Tu as trouver ?"

Je saute, me retourne et tombe assise au sol, sa voix dans mon oreille me met toujours dans un état pas possible et deja a quel moment il s'est deplacer ? Il reste accroupi devant moi.

"- Pourquoi c'est fermé ?"

Ses iris vert grisâtre me scrute de haute en bas. Il tire le tiroir du haut, plonge sa main à l'intérieur sans quitter mon regard une seconde, j'arrête notre échange, je suis le mouvement de sa main des yeux, elle sort une clé qu'il me tend ensuite. Je la prend sans effort, il s'écarte pour me laisser la place. Je glisse la clé dans la serrure et ouvre ne tiroir. Rien...Il n'y a rien à l'intérieure. Il n'y a rien dans ce tiroir alors pourquoi le fermer à clé ?

"- Alors Printsessa ? Tu as trouver quelque chose ?

- Pourquoi vous fermer ce tiroir à clé ?

- Pourquoi pas ?"

Il place ma mèche derrière mon oreille. Il est détendu comme si que c'était normal que je ne trouve rien, il m'a laisser fouiller et ne m'empêcher pas de la prendre, une personne qui en a consommer autant tout ces derniers jours ne peut pas être aussi serein sauf... Je me lève du sol, il fait de même. Je plaque la clé que le bureau, ses yeux se pose sur ma main.

"- Tu espérais trouver ce tiroir rempli ?

- Vous ne vous droguer plus c'est ça ?"

Il laisse échapper un petit rictus...Il vient de me manipuler ? A nouveau ?

"- J'en prenais mais j'ai arrêter des la seconde ou j'ai planté l'aiguille dans mon bras.

- Et les autres marque ?"

Il regarde son bras et revient poser ses pupilles sur moi.

"- Je les ai fabriquer...

- Votre attitude, vous avez fait tout va pour m'attirer à nouveau vers vous ?"

Je suis trop bête ! Évidement c'est Matvey ! Il faut toujours qu'il est un plan pour m'attirer vers lui.

"- Pourquoi avoir tuer ce type si vous étiez pas sous l'emprise de la drogue ?

- Je suis taré. Je n'ai pas besoin de drogue pour l'être.

- Vous êtes tordu !

- Je sais.

- Ivan aussi était dans tout ça ? C'est vous qui l'avez demander d'aller me chercher.

- Non. Mais je lui ai donner une leçon pour t'avoir menacer."

Je suis vraiment idiote, je tente de m'en aller, il saisit mon bras pour m'empêcher de partir.

"- Quoi ? Tu vas encore disparaître ?

- J'aimerai mais non. Je rentre chez moi. On se voit demain. Le manipulateur !"

J'enlève mon bras de son emprise, me dire vers la porte puis saisit la poignée.

"- Donc je suppose que cette histoire d'avoir remplacer la drogue par le s*x est faux.

- Non, c'est la seule vérité de ce soir.

- Enfoiré !"

Comme si que j'allais le croire. J'ouvre la porte et quitte les lieux, je bouscule Léon au passage.

"- Tu t'en va ?

- Oui et je te laisse avec ton faux drogué.

- Quoi ?

- Demande lui."

Je descends les escaliers rapidement et marche vers la sortie, je pousse la porte, regarde en hauteur, je croise son regard amuser de la situation, je lève mon doigt d'honneur dans sa direction, sa réponse est son fameux sourire. Connard ! Comment je peux aimer un type pareil ?