La valseCe sont de braves vieillards pleins d’indulgence et de bonhommie. JULES JANIN. Qu’est-ce que j’entends là ? Vous les nièces d’un curé, aller à la danse ! Non, sur mon âme, il n’en sera rien. Non, vous dis-je, il n’en sera rien. Oh ! vous avez beau faire de petites mines boudeuses, vous avez beau m’appeler « mon bon oncle », je serai le maître, une fois du moins en ma vie, et vous n’irez pas danser. Danser ! Si ce n’était que cela encore ! Mais bien des garçons se trouveront sur la pelouse et qui seraient ravis de dire des fleurettes aux nièces d’un curé : sans compter que les nièces du curé ne seraient peut-être fâchées elles-mêmes de s’en laisser dire ; car, mes enfants, parce que je suis vieux, vous croyez que je ne vois rien. Ah ! vraiment vous me feriez rire. Moi, ne rien v