IX
Le c.n et le culUne dispute surgit un jour entre le c.n et le c*l, et Dieu sait quel tapage ils firent ! Le c.n dit au c*l : « Tu ferais mieux de te taire, vaurien ! Tu sais que je reçois chaque nuit un excellent visiteur, et pendant ce temps-là tu ne fais que répandre une odeur infecte. – Ah ! misérable c.n ! répliqua le c*l. Quand on te f. . t, les crachats coulent sur moi, et je me tairais ! » Tout cela est arrivé jadis, dans le temps où on ne connaissait pas encore l’usage des couteaux et où l’on coupait la viande avec le v.t.