CHAPITRE XIV L’HYPOGÉE DE DIAMANTSDès leurs premiers pas, Oronius et Jean Chapuis se rendirent compte qu’il leur serait absolument impossible de descendre de la falaise sur laquelle l’avion avait atterri. Et cela, non seulement parce que les forêts entourant sa base étaient encore inondées, mais surtout parce que, sur ses différentes faces, l’escarpement présentait des parois abruptes et verticales, capables de défier la descente aussi bien que l’escalade des alpinistes les plus éprouvés. Ils allaient donc proposer de reprendre place dans l’Alcyon pour repartir et chercher un autre terrain d’atterrissage, lorsque Laridon les appela. Furetant avec Turlurette, le mécano venait de découvrir l’entrée d’un escalier qui s’enfonçait à l’intérieur de la falaise. — Les gradins sont bien un peu