Le plus probable était qu’après celle introduction, on avait dû rapprocher les deux parties et les fixer l’une à l’autre en employant un vernis capable de dissimuler la jointure. S’étant fait apporter divers instruments par le matelot japonais, Victor Laridon entreprit de rechercher l’emplacement de ce joint. Il n’y parvint pas sans peine et dut, avant d’aboutir, écailler le vernis, au risque d’altérer les inscriptions. Heureusement, il n’en existait point en dehors de celles tracées sur la face supérieure. Le mécano put donc sans dommage procéder aux investigations et sondages circulaires et mettre à nu la rainure du couvercle. Il fallut alors recourir à l’emploi du ciseau et multiplier les efforts pour entrouvrir ce couvercle que des siècles avaient scellé. Il céda enfin et les tenta