CHAPITRE VII « IN MORTE VITA »À bord du sous-marin, sur l’arrière duquel se lisait ce nom singulier : Mystérius, au moment du plongeon exécuté avec tant d’imprévu par le Parisien, le fakir n’avait d’abord pu retenir une grimace de mécontentement. Ce rescapé lui faussant compagnie le contrariait. Il avait sans doute ses raisons de désirer conserver au grand complet la collection des ennemis de Hantzen et de Yogha. Déjà cette collection se trouvait déparée par la disparition de Turlurette et de Mandarinette. Le fakir tenait tout juste deux sujets, Julep et Jean Chapuis, ce devait lui sembler insuffisant. Pourtant son embarras ne dura qu’un instant. À l’avant du Mystérius était disposé un « chalut », vaste poche en filet de chanvre cordé et goudronné, particulièrement solide et dont la gr