Chapitre 18 : Tu es mienne

1031 Words
Silvia Je marche doucement car mon ventre me fatigue encore un . Quand nous sortons de l'ascenseur il se tourne vers moi et il remarque que je marche tout doucement . Alors il se penche vers moi et il me soulève . Le temps est suspendu , il n'y même plus une mouche qui vole , tous les employés nous regardent , d'autres on la bouche bien ouverte , d'autres ont leur café qui verse par terre : ils sont étonnés de voir leur patron si désagréable être aussi gentil avec une femme de plus une stagiaire . Il marche tranquillement comme si ça lui était égal ce que les gens pouvaient bien penser . - Déposez-moi , je ne veux pas de commérage à mon sujet . - Non , tu ne te sens pas bien . Alors , je fais ce que j'ai à faire . - Mais... - Tais-toi . Il sort avec moi et son chauffeur nous attend , il ouvre la portière et il entre avec moi dans le véhicule . Johanna monte devant . Elle fait entrer l'emplacement de notre maison dans le GPS . Le chauffeur démarre . Il me fait coucher sur lui . - Tu te sens bien ? - Oui ça va . - Mais ? - Comment sais-tu que je vais dire quelque chose ? - Je le sais , alors qu'est-ce qui ne va pas ? - J'ai l'impression que tu es très craint dans ton entreprise . - Et alors ? - Les gens vont commencer à se demander pourquoi tu es gentil avec moi . - Et alors ? - Je ne veux pas qu'on dise des calomnies à mon égard . - Comme quoi ? - Que j'ai couché avec pour avoir le poste . - Et c'est faux ? Je le foudroie du regard , tu en doutes ? - Bien sûr que non , tu ne le connaissais pas , et alors ? - Mais , c'est mon nom qui va en pâtir . Où ils vont penser que nous couchons ensemble et que c'est la raison pour laquelle tu es aussi gentil . - Et c'est faux ? - Merde , arrête de te moquer de moi . - Je ne me moque pas de toi , c'est la vérité . Sa main me parcourt doucement le corps , il pose sa main sur ma poitrine : - Si je ne couchais pas avec toi , je m'en foutrais de ce qui pouvait bien t'arriver . - Et tu me dis comme ça ? - Comment veux-tu que je te le dise ? Je suis gentil avec toi parce que je couche avec toi . Je m'éloigne de lui : - Tu n'es qu'un s****d . N'ose plus t'approcher de moi . - Encore ce refrain ? Je croyais qu'on avait dépassé ce stade ? Il me ramène à lui : - Ma chérie , elle n'est pas encore née , la personne qui m'empêchera de fourrer ma queue en toi . Je pensais que tu l'avais comprise ? J'essaie de m'éloigner de lui mais , il me tient fermement contre lui : - Espèce d'imbécile , tu n'es qu'un... - Ça suffit maintenant . Il me tient contre sa poitrine , il me caresse : - Tu es mienne , tu comprends , jusqu'à ce que je me lasse de toi . - Je ne suis pas un jouet avec qui tu vas t'amuser , tu m'entends . - Si , tu es jouet du moment . Tu ne peux pas me résister , tu veux que je te montre ? - Non , lâche-moi . Il m'embrasse passionnément , il ouvre ma chemise et il plonge sa tête dans ma poitrine , ses lèvres me goûtent avec dextérité . Malgré que j'essaie de le repousser , ma volonté s'amenuise .Sa bouche fait des merveilles sur ma peau . Une gémissements m'échappe , il se redresse souriant : - Tu vois , tu ne pourras plus me résister . Ton corps me reconnaît . Alors j'essaie de me résister , dis à ton esprit que ce corps est maintenant mien . Il m'arrange les vêtements et il me dit : - Tu peux prendre la journée de demain pour te reposer . Mais ta copine doit être au travail demain à la première heure . - Non , je vais venir , je serai prête pour demain . - Très bien , mais ne vas te coucher au bureau sinon , je te ferai pas de cadeau . - J'ai compris monsieur . Nous sommes arrivés , je m'apprête à sortir quand il m'arrête : - Tu ne me dis pas au revoir ? - Au-revoir monsieur . - J'adore quand tu m'appelles comme ça , surtout quand je t'imagine avec ma queue dans la chatte alors que je te fesses et que tu réponds par des " monsieur ". Donne-moi mon b****r d' au-revoir . Il me prend contre lui et il m'embrasse avec fougue . - Tu vas me manquer , tes lèvres , ton corps . À demain . - À demain . Je sors du véhicule , Johanna m'attend déjà dehors . La voiture repart . Magui sort de la maison et elle regarde la voiture s'éloigner . - Ce n'est pas votre taxi du matin ! - Non , c'est notre patron . - Hein ? Et que faisait-il ici ? - Je me suis sentie mal , il nous a accompagnés . - Il est très gentil . Comment s'est passée la journée ? Il ne vous a pas trop fatigué ? - Non , notre première journée s'est bien passée . Nous avons beaucoup travaillé , et les employés sont gentils . - Tant mieux , allez vous laver ensuite vous venez prendre votre goûter . - Merci Magui , je reviens tout à l'heure . - Merci beaucoup grand-mère . Je vais prendre une douche . Je pars me laver et nous nous rejoignons pour prendre un goûter , c'est comme si je n'avais rien mangé de la journée . Je suis affamée .
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