Folie et Pouvoir

Chapitre 18

Adam

Toute la matinée j'ai pensé à Philipe, et pour ne rien arranger, j'ai eu deux rendez-vous avec des chefs d'autres sièges sociaux, et c'était assez fatiguant et embarrassant, surtout quand on dit ''Philipe'' au milieu d'une pièce dans ce non on avait même la lettre A dans leur nom. À l'heure du déjeuner, j'ai continué à recevoir mon e. – Courrier et voir s'il y avait quelque chose de la société pour laquelle Philipe travaillait, mais rien qui était pour moi, juste accepter quelques accords qu'il a passés avec mon père.

En parlant de mon père, je ne sais pas comment il fait pour être si fermé à la société, il a découvert que Philipe est gay et la seule phrase qui est sortie de sa bouche était ''Je suis content qu'on ait perdu un employé comme ça , imaginez s'ils apprenaient qu'un homme gay travaillait pour notre entreprise, quel désastre ce serait, il salirait l'image et aussi notre nom'' et jusqu'à hier il signait un contrat avec le ''gay qui salirait le nom de l'entreprise''. Je pense que je ne sors que lorsque cet homme meurt.

Mon téléphone a sonné, c'était Emily.

- Bonjour? - J'ai répondu.

- Adam ? - Je déteste quand elle m'appelle comme ça, pas seulement parce que je l'ai mangée quelques fois elle a tellement d'intimité avec moi pour m'appeler par mon prénom.

- Oui?

– Vous déjeunez déjà ? - Dit-elle avec un petit rire coquin.

- Oui pourquoi?

– Parce que si je ne l'avais pas fait, je t'aurais donné quelque chose de plus intéressant à manger pour le déjeuner.

Je t'ai offert hein. J'ai soupiré avec une colère plus que claire de mon côté de la ligne et

il a dit:

– Merci, mais je ne suis pas vraiment d'humeur à manger ça, aujourd'hui je ressemble plus à une salade, mais merci quand même.

L'embarras était clair dans sa voix, elle était toute embarrassée et cela ne lui prit pas une minute. - Littéralement. – Alors elle m'avait déjà raccroché au nez. Je pense que je l'ai offensée, mais elle doit comprendre que je ne veux rien avoir à faire avec elle, ce sont ces rencontres que j'ai eues avec elle qui m'ont fait faire ce que j'ai fait.

Je pensais aller à la société Philipe travaillait, mais je me suis souvenu qu'il détestait mon visage, mon dieu, en se souvenant que j'ai acquis une raison de haïr les choses que je fais, si jamais il est devenu fou à moi, imaginez ce qu'il ferait s'il a découvert ce que je faisais avant que j'étais avec lui.

J'ai passé le reste de mon heure de déjeuner à lire des nouvelles pour ne pas me perdre dans ce qui se passait dans le monde extérieur et oublier mon garçon, qui n'est même plus le mien.

Je suis retourné dans l'entreprise et suis allé dans ma chambre, l'inconvénient d'avoir employé comme Emily est qu'elle ne fait pas ce que faisait Philipe. Il a fait son travail, une partie du mien et a encore eu le temps de l'obtenir. Emily ne s'en sort pas bien et veut déjà venir sur moi comme un chien. Je la supportais dans l'après-midi, après son départ je suis resté quelques minutes dans l'entreprise puis je suis parti chez moi.

J'étais à la maison et je n'ai jamais été mal à l'aise comme je l'étais aujourd'hui, je voulais faire le tour de tout le monde, mais je ne le ferais pas, alors j'ai attrapé mon téléphone et j'ai appelé la seule personne qui m'aiderait à l'époque, mon meilleur ami, même si c'était avec moi le jour où j'ai vu Philipe ce club pour la première fois. Je l'ai appelé et il n'a pas tardé à répondre au téléphone.

– C'est Adam, d'accord ?

- Je n'ai pas parlé.

– J'ai pensé, tu m'appelles toujours quand quelque chose arrive.

- Pas toujours.

- La plupart du temps. - Il rit. Il a toujours eu la patience de me parler.

- D'accord, tu as gagné, mais maintenant c'est sérieux.

Il gloussa de l'autre côté et je m'imaginai qu'il se grattait le front comme il le fait toujours quand je prononce cette phrase.

– Hé Adam, que s'est-il passé ?

- Vous pouvez sortir?

- Je peux toujours. - dit-il d'un ton joyeux.

- Beauté, rejoins-moi au bar où nous allons toujours, maintenant j'ai besoin de me saouler.

– A bientôt, bébé. - Bruce a dit avant d'éteindre son téléphone portable.

J'ai jeté mon téléphone portable sur le lit et ensuite allé à la salle de bain, me brosser les dents et fixes mes cheveux, je venais de prendre une douche il n'y avait aucune raison de prendre un autre, j'ai changé mes vêtements dans un plus décontracté et Je suis mes clés de voiture, je pensais que deux fois et a vu que je serais ivre quand je suis rentré, je choisi de prendre un taxi, a laissé les clés avec la femme de chambre, puis quand je suis allé à l' extérieur commandé le taxi.

Le chauffeur de taxi a dit que le prix et je ne l'écoutait pas, j'ai immédiatement pris un billet de cent dollars, je lui ai dit de garder le changement, je pris une profonde inspiration et je suis sorti de la voiture, je me réjouissais et il y avait Bruce me regardant comme si nous étions seize ans, j'ai donné un sourire amical pour lui et nous salués, ce bar était pas seulement un bar, il était presque une boîte de nuit, et quel club.

Deux femmes ont ouvert la porte où nous sommes entrés et quand nous l'avons fait, nous sommes presque devenus sourds, le volume de la musique était trois fois et des femmes dansaient sur les tables et faisaient aussi de la pole dance, c'est le genre d'endroit où les hommes oublient la vie pendant quelques heures .

Nous sommes allés directement là où se trouvaient les boissons et nous sommes déjà arrivés en demandant quatre verres de tequila, nous le faisons toujours, deux chacun et tout ce que vous grimacez ou faites une crise paie la note, à la fin nous ne le faisons jamais tous les deux et nous nous séparons toujours la facture, mais nous devons avoir une excuse pour nous saouler plus que d'habitude.

Nous nous sommes assis à l'une des tables là-bas, puis une femme presque nue est venue vers nous et nous a donné le menu des boissons et de la nourriture, nous avons ignoré la nourriture et commandé une bouteille de tequila juste pour nous deux, un whisky et un par le goutte, à part quelques bières, et nous avons convenu de ne pas sortir de là tant que toutes les bouteilles ne seraient pas vides.

- Alors Adam, comment va la vie depuis la dernière fois qu'on s'est vu, ça s'est passé avec le gars là-bas qui t'a fait une pipe au club ? – Bruce a dit quand la femme est arrivée avec nos bouteilles et deux verres.

J'ai soupiré pendant que nos corps étaient servis avec de la bière, puis j'ai dit :

– C'est à cause de lui que je suis ici aujourd'hui en train de me saouler. Il a éclaté de rire.

- Qui savait, Adam Jackson souffre pour quelqu'un, c'est pour payer la langue.

– Bruce, tu ne m'aides pas du tout. - J'ai dit en prenant une gorgée de ma bière.

- Désolé, mais c'est toi qui as dit que tu ne tomberais jamais amoureux de personne depuis que tu as eu ta fille et tout ça, tu sais que tu aimais sa mère, c'est indéniable.

– C'était à l'époque, il n'y a aucune trace d'amour ici, j'aime beaucoup Philipe.

– Et qu'est-ce qui t'est arrivé ici en buvant avec moi et pas avec le gars que tu aimes ?

– Moi, ça vient d'arriver.

Il rit en tournant sa bière.

– Comment ça s'est passé ? Qu'est-ce que tu as fait? – Il a écarquillé les yeux en me regardant avec peur et a dit. - S'il te plait, ne me dis pas que tu...

Avant qu'il ne termine la phrase, je le coupais déjà.

– Non, p****n de Bruce ! Je ne ferai plus jamais ça avec qui que ce soit. – dis-je en remplissant à nouveau mon verre. – Et plus jamais, mais ne plus jamais toucher à ce sujet d'accord ?

Il hocha la tête, soulagé par ma réponse.

– Si non, qu'est-ce que tu as fait de si grave ?

J'ai pris une profonde inspiration, maintenant ce qu'il y avait dans mon verre était un verre de tequila, je l'ai regardé, j'ai regardé mon verre puis j'ai fermé les yeux autour de la troisième dose de drogue, je pouvais sentir mon corps trembler un peu avec l'effet de l'alcool.

– Bref... j'ai dit de la merde à mon père et il a écouté, il a démissionné de l'entreprise puis a rompu avec moi, je n'ai pas pu et je l'ai poursuivi le lendemain et puis il a couché avec moi, on a décidé pour rester dans une amitié colorée, il m'a quitté avec le temps et nous nous sommes à peine vus le mois dernier, alors j'ai commencé à sortir avec ma secrétaire et il l'a découvert, le barman qui le chantait ce jour-là au club est venu après lui et lui a demandé de sortir, il a accepté, je l'ai compris et puis je suis allé après eux, j'ai frappé le gars et je les ai laissés là quand Philipe m'a dit de le prendre dans le cul.

Il écarquilla les yeux ne sachant pas quoi faire, puis secoua la tête et prit la bouteille de tequila, cette fois il a tourné le coup de feu, et quand il a claqué le verre vide sur la table Bruce m'a regardé et m'a donné un sourire en coin.

- p****n Adam, tu dois être moins impulsif.

- Bien sûr que non. – J'ai dit en riant, et il a ri aussi.

– Écoute, tu voyais ta secrétaire, n'est-ce pas ? - Il a demandé. J'ai dit oui avec la tête.

- D'accord, donc tu n'avais même pas le droit de le poursuivre, c'est toi qui en as essayé d'autres avant lui, il vient de faire la même chose, tu as dû en conclure que tu n'en veux plus et essayer de bouger au.

J'avais déjà avalé un autre verre de tequila et ce n'était pas là. Je l'ai regardé et je me suis gratté la nuque.

- Mais...

- Mais rien. - Me Bruce a interrompu. — Je ne vois pas qu'il se trompe à aucun moment dans cette histoire, qui était l'idiot, encore une fois ce n'était pas ce type là, mais tu as fait une erreur dont je ne sais pas s'il te pardonnera.

– Je ne pense pas qu'il le fera. – dis-je en roulant des yeux avec colère. - Je te deteste. Il rit puis haussa les épaules.

- Pourquoi?

– Parce que tu me dis la vérité en face, et ça me fait chier.

– Eh bien, j'ai toujours été comme ça, je pense que c'est pour ça que tu viens vers moi pour résoudre ces problèmes, j'ai toujours été ton ami et j'ai toujours pensé que mentir n'est jamais la solution, je te frotte la vérité visage, tu le regrettes et tu cours après le tien amour, simple. – Il a ri, maintenant je sais pourquoi il est psychologue.

– D'accord, mais qu'est-ce que je vais faire ? Il ne veut même pas me voir peint en or ?

« Il est maintenant temps de courir après Adam, montrez-lui que vous ne l'avez pas abandonné.

– Mais je l'ai fait hier. – Cette fois, j'ai pris une gorgée de la bouteille d'alcool et j'ai presque grimacé. – Ça ne compte pas ?

– Pas quand tu as failli tuer le gars qu'il attrapait. Imaginez s'il faisait ça à la fille avec qui vous êtes, que penseriez-vous de lui ?

– Qu'il m'aime ? – J'ai parlé avec mes mains sur ma tête.

– Non Adam, c'est ta façon de penser, pas les autres, tu es une personne très étrange, tu penses que tout doit être basé sur la violence, cette phase de la nôtre est déjà passée et Dieu merci nous en sommes là où nous en sommes aujourd'hui, Parce que ce que nous faisions tous les deux ne nous le permettrait pas, alors tu dois faire ce que tu veux.

- Comment peux-tu faire ça?

- Lequel? - Il a encore ri.

– Même ivre tu peux penser, et être ennuyeux, qu'est-ce qui garantit que je n'oublierai pas ça demain matin ?

– Parce que tu n'oublies rien quand tu bois, je te connais plus que je ne me connais, alors règle ce fax. – Il se leva de sa chaise et y laissa le verre.– Viens. - Dit-il en me tendant la main.

- Aller où? - J'ai dit en riant.

– Enlevons le métier de ces filles. – dit-il en riant.

– Que veux-tu dire Bruce, je pense que tu es déjà fou.

– Non, juste Adam vient. - Il a dit et puis il est parti se promener parmi les gens, demandant la permission à quelques filles qui étaient par terre et puis il est monté sur scène, je suis monté avec lui et il a ensuite chuchoté quelque chose à l'oreille du patron du bar, qui a demandé les filles descendent de la scène puis se dirigent vers le micro.

— Mesdames et messieurs, ce soir nous avons un spectacle un peu différent, mais je vous garantis que ce sera amusant, au moins les filles vont adorer. - Dit le propriétaire du bar en me fixant, moi et Bruce. - ce soir, nous aurons un strip tease de ces gars-là.

Quoi? Comme ça? J'ai regardé le bâtard Bruce et il a ri, je n'avais pas peur, je n'avais pas honte, j'étais ivre et je voulais faire ça, mais je ne peux pas croire qu'il nous a mis dans l'un de ces trucs. Mais les femmes ont commencé à applaudir comme une b***e de folles, puis se sont levées de deux tables et se sont dirigées vers la scène et il n'a pas fallu longtemps pour que la musique commence.

- La gauche? – Vous avez dit Bruce ?

J'ai ri.

- La gauche.

On s'est tourné le dos en faisant un tour puis on s'est regardé, on savait quoi faire parce que quand on a étudié ensemble on a tous les deux monté un numéro de danse, la seule chose qu'on avait à faire était de le rendre sexy, on a commencé à enlever nos ceintures et puis bientôt nous emmenons deux filles sur scène, enroulons les ceintures autour de leur taille et les tirons toutes les deux vers nous deux, commençons à marcher devant elles.

Ils nous ont regardés sans ciller, frissonnant et en sueur, nous avons commencé à enlever notre chemise et à passer nos doigts sur nos six sacs jusqu'à ce que nous atteignions nos bouches, j'ai mis ma chemise derrière mon cou puis j'ai commencé à faire des mouvements avec ma taille comme si je mangeais la fille, et Bruce me suivait à chaque mouvement.

Nous nous sommes retournés après que beaucoup de filles l'aient demandé, puis nous avons commencé à ouvrir notre pantalon, les hommes l'ont fait, du moins la plupart d'entre eux, mais il y en avait quelques-uns qui jetaient un coup d'œil de temps en temps, à ce moment-là notre pantalon était commençant à tomber la chanson était terminée, nous avons ri et avons quitté la scène pour nous recomposer.

Beaucoup de femmes ont demandé plus sauf qu'il y en a eu aujourd'hui, j'ai regardé Bruce et j'ai secoué la tête négativement.

– Vous s***z la gueule. - J'ai parlé.

– Nous avons appris à ne pas payer ensemble. - Il a dit en riant. – Payons l'addition et foutons le camp d'ici, je ne veux pas boire une autre goutte d'alcool, je suis bourré et p****n – Si ce qu'on parle de vider ces bouteilles.

- Je suis d'accord. – J'ai dit et puis nous sommes allés payer la facture.

Nous sommes partis de là et avons pris nos bouteilles d'alcool, dont une que nous avons donnée à un gars que nous n'avons jamais vu juste parce qu'il a demandé, mais la tequila est allée avec nous deux, et avant trois heures du matin, c'était sec. C'est parce qu'on ne boirait plus.

– p****n, je suis vraiment bourré. – J'ai dit en regardant le ciel, nous étions tous les deux allongés dans mon jardin, nous sommes venus ici en taxi, Bruce va dormir ici aujourd'hui parce qu'il ne supporte pas de rentrer à la maison, et il a dit qu'il ne paierait pas le taxi retour, je donc dit que je prendrais - il.

– Nous sommes mon ami. - Nos voix étaient tellement altérées que même nous ne nous reconnaissions pas tous les deux.

– Je pense que je vais entrer. – dis-je en le regardant. – Je dois travailler demain, si je dois travailler avec la gueule de bois.

– Oui, tu le feras parce que tu es forte, moi aussi j'ai sommeil, je dormirai comme je suis.

Nous ne nous souciions même pas de ce dont nous parlions, nous sommes juste entrés dans ma maison et nous nous sommes dirigés, je suis allé dans ma chambre et je ne sais même pas où Bruce est allé dormir, je suis tombé sur mon lit et je pouvais ' ne pense à rien, c'était bien de ne pas

réfléchir au sujet de. J'ai dormi sans savoir quand, je savais juste que je devais parler à Philipe, et j'allais le faire, coûte que coûte.

Philipe

J'ai passé les deux dernières semaines à fuir Adam, je ne crois pas qu'après tout ce que ce connard m'a fait et aussi avec Paul. - Qu'est-ce que c'est déjà mieux avant de demander. - C'est toujours derrière moi, il a mis des grimaces pour me regarder, et le pire c'est qu'ils ne se déguisent pas, je pourrais même aller voir la police pour arranger ça, mais je serais en train de commettre Adam, et plus que ça je m'énerve, Moi je n'en veux pas le mal.

– M. Curry, voulez-vous autre chose ? - A demandé à ma secrétaire, a dit non puis il est parti pour son heure de déjeuner.

– D'accord monsieur, n'importe quoi m'appelle.

– Lâchez prise, mais vous apprécierez votre pause déjeuner, en fait. - J'ai fait un sourire. – Tu n'as pas besoin d'y retourner, tu es excusé aujourd'hui.

Il a souri comme s'il venait de gagner à la loterie puis a dit :

« Mon dieu, on dirait que vous l'avez deviné, j'avais vraiment besoin de partir tôt aujourd'hui. - Il en riant. – Merci beaucoup monsieur. Curry.

– Appelez-moi Philipe. – J'ai dit et il a hoché la tête. – Maintenant sors d'ici, je vais finir de faire certaines choses et je vais aussi me remplir l'estomac. – J'ai dit et il a ri.

– D'accord, n'oublie pas ton rendez-vous à quatre. p****n, j'avais déjà oublié.

- Merci de l'avoir rappelé, maintenant sors d'ici ou je vais rester ici et forcer encore les heures supplémentaires. - J'ai ri en parlant d'un ton enjoué puis il est sorti précipitamment de ma chambre.

Carlos est un bon gamin, il travaille pour aider sa copine, qui est enceinte, d'après ce qu'il m'a dit, le père de l'enfant n'est pas lui, mais il fait comme si c'était le cas, parce que le père est celui qui crée, et qui ne crée pas . Il est très nouveau et a déjà assumé une responsabilité que je ne veux pas prendre, du moins pas pour l'instant.

Au fait, Deborah me manque tellement, j'ai rêvé d'elle cette nuit-là, elle et moi jouions à la maison avec sa poupée, j'étais heureux avec elle dans le rêve, je voulais la voir, mais pour ça j'aurais voir Adam, ou découvrir qui est sa mère, ce qui me compliquerait vraiment si Adam le découvrait.

Mon téléphone a sonné, c'était Mariana, je n'ai pas hésité à répondre.

– Discussion chaude, aujourd'hui est-il? - J'ai plaisanté.

- Avec toi tout le temps. - Elle a ri de l'autre côté et j'ai entendu Wallace rire.

– Maintenant dis ce que tu veux parce que je n'ai pas le temps. - J'ai dit en retenant un rire.

- Notre queue qui occupait mon Dieu, est maintenant devenue chef d'entreprise et ta ai réfléchit.

- Parle logo Mariana. - J'ai ri.

– Apporter du poulet ? - Elle a ri. – Nous sommes trop paresseux pour l'obtenir, et vous avez une voiture maintenant.

- Fils de p**e. - J'ai ri. – Je vais vous emmener paresseux, maintenant je vais raccrocher car j'ai quelque chose à finir ici.

– D'accord, au revoir ma belle.

- Au revoir Babe. - J'ai rigolé comme elle avant de raccrocher.

J'ai juste posé mon téléphone portable sur la table et j'ai regardé l'écran d'ordinateur qu'il jouait à nouveau, j'ai regardé l'écran et c'était un numéro inconnu, j'ai été surpris, mais ça devait être Mariana qui m'appelait en confidentiel pour jouer avec mon visage.

– Mariana, ce n'est pas drôle. - dis-je en riant, contredisant déjà ce que je venais de dire.

– Désolé, mais ce n'est pas Mariana. - Dit une voix masculine sérieuse à l'autre bout du fil.

- Qui parle?

– Bruce parle ici, tu ne me connais pas, je suis l'ami d'Adam.

Qu'est-ce qu'il fait ce gars qui me parle ? Et qu'est-ce qui a donné à Adam le droit de lui transmettre mon numéro ?

- Qu'est-ce que vous voulez? - ne perdrait pas l'éducation avec lui, car il ne s'appelle pas Adam.

- As-tu parlé à mon ami ?

- Non pourquoi?

– Il veut vraiment te parler.

- Prendre conscience de. - Si par le nombre de personnes qu'il mettait à me surveiller dans la rue.

- Il a fait ça ? - Demanda l'ami d'Adam surpris.

– Ouais, il ne t'a pas dit ça ? - J'ai fait un rire ironique.

Je l'ai entendu murmurer ''Wow, mais il ne facilite pas non plus les choses'' à l'autre bout du fil, puis il a tourné son attention vers moi.

– Pourriez-vous le rencontrer M. Curry ? - Il a demandé.

- Jamais de sa vie.

– Pourquoi pas, il aime toujours, n'est-ce pas ?

- Ce n'est pas vos affaires.

– Vous venez de dire que oui. - Il a dit avec un ton enjoué.

– De toute façon, je ne peux pas rencontrer ton ami ?

- Pourquoi pas?

– Je suis avec quelqu'un d'autre maintenant. - J'ai menti.

- Vous mentez bien.

Attends une minute, comment sait-il que je mens ?

- Comme ça?

– Vous n'avez pas appelé le même numéro plus d'une fois en plus de deux semaines M. Curry, je pense que si vous étiez avec quelqu'un, vous appelleriez tous les jours.

- Comment sais-tu ça? Mon dieu, j'appelle la police !

Adam parvient à être plus harceleur que je ne l'imaginais, je ne peux pas m'empêcher de penser à la façon dont il a changé depuis que nous avons tous les deux rompu, il me fait peur, cet Adam que je ne connaissais pas et que je préférerais ne pas connaître.

- Il ne sera pas nécessaire, nous n'envahir votre vie privée plus, il est qu'Adam a de nombreux contacts reflétés par cette ville et qui l'aide beaucoup quand il vient ... de vous poursuivre. Je voulais juste vous parler à mon ami.

- Déjà dit non.

- Parlez-moi alors.

- Je le fais maintenant, Bruce.

« J'ai besoin de te parler en personne, au restaurant où tu es allé avec Adam le vendredi. – Foires, il ne sera pas avec moi, ne prends personne et je ne prends pas non pour une réponse Je te verrai à huit heures ce soir.

Et le gars que je n'ai jamais vu de ma vie m'a raccroché au nez juste parce qu'il savait que je refuserais, j'avais jusqu'à huit heures du soir pour réfléchir à comment je ne me présenterais pas à cet endroit, personne le mérite, où avez-vous vu cela. Adam tire dans tous les sens jusqu'à ce qu'il me frappe.

Je suis resté là dans mon salon, après cette conversation je n'avais même plus envie d'aller manger, je voulais juste travailler, j'ai perdu l'appétit, et regarde, c'est quelque chose qui n'arrive pas souvent. Après avoir terminé ce que je faisais je suis allé faire mon travail de secrétaire, je suis content de lui avoir demandé de partir d'ici, maintenant j'ai plus de travail pour occuper mon esprit, je voulais juste penser à ce soir.

Quand j'ai fini ce que j'avais à faire je me suis assis, il me restait encore un long moment pour partir, j'ai regardé l'horloge et j'ai vu qu'il était quatre heures douze. ! Je suis en retard pour la réunion. Je me suis levé de ma chaise à la hâte, puis j'ai rangé mes vêtements, j'ai pris l'ascenseur et j'ai couru jusqu'à la salle de réunion quand je suis entré, mais il n'y avait personne. Dieu merci.

Les gars de la réunion sont arrivés vingt minutes plus tard que l'heure convenue, ils se sont excusés et moi avons essayé d'être amical, bien sûr, il a travaillé, et qu'ils aimaient ce que j'ai présenté et nous avons abouti à la conclusion de l'ouverture d'un partenariat entre les entreprises, maintenant la société a vingt-deux partenariats avec d'autres grands noms et douze d'entre eux sont multinationaux, je pense que je vais obtenir une augmentation.

Quand j'ai quitté la salle de réunion, il était temps de partir, je suis allé dans ma chambre puis j'ai attrapé mon téléphone portable, il n'y a eu aucun appel manqué de personne, quel miracle. J'ai pris mon téléphone portable, je l'ai mis dans ma poche et je suis sorti de là.

Je suis monté dans la voiture sur le parking, j'ai claqué la porte du parking, j'ai fait face au rétroviseur et je me suis préparé, je dois rentrer chez moi avant de dire que je n'y vais pas, et je dois acheter le poulet de Mariana. Mon dieu, je dois me dépêcher.

Quand je suis rentré à la maison, Mariana et Wallace étaient assis sur le canapé en train de regarder la télévision, elle m'a regardé et s'est levé pour me saluer, m'a serré dans ses bras et a pris le poulet que j'ai pris et m'a laissé comme une plante.

– Ça va Philipe ? - Dit Wallace.

- Je suis parce que?

– Parce que tu ressembles à un enfer.

- tu es tellement dans ta gueule comme ça ? - Je lui ai parlé en marchant découragé puis je me suis assis sur le canapé et le fixai.

- Qu'est-il arrivé? - Il a dit inquiet.

- L'ami d'Adam est venu me demander de dîner avec moi car je ne voulais pas aller parler à Adam.

Il secoua la tête avec un rire gêné et dit:

- Quel est le problème? - Il a demandé.

- Vous êtes fou? Je ne peux même pas regarder le visage d'Adam.

- Comme si non ? - Il a dit.

– Vous connaissez déjà la réponse, pourquoi demandez-vous ?

– Vous avez peur de céder, n'est-ce pas ?

– Non, parce que je sais que si je ne veux pas je ne le ferai pas, je sais ce que je fais et ce que je souffrirai si je retourne vers lui, mais je ne veux même pas parler à cet ami de Adam est parce qu'il doit déjà avoir pris sa décision sur ce type et il pensera que je suis le mauvais dans l'histoire.

- Mais vous ne saurez pas si vous ne le faites pas. - Il a dit.

– Wow Wallace, je te déteste !

- Pourquoi? - Il a dit en riant.

- Juste parce que.

Quand j'ai dit que Mariana est entrée dans la pièce avec une serviette à la main et a ensuite dit :

– Tu veux le poulet frit ou autre chose ?

– Je ne sais pas, laisse Wallace décider. - J'ai parlé.

- Hey pourquoi? - Elle a demandé.

– Parce que je ne mange pas à la maison aujourd'hui. – dis-je en regardant Wallace les yeux mi-clos, ce fils de p**e.