Chapitre 27

4507 Words
Philipe Je me suis dirigé vers la porte d'Adam juste après être sorti de la voiture et j'ai frappé trois fois dessus, j'ai été surpris de voir que c'était lui qui répondait à la porte, il est si bon avec ses femmes de chambre et j'adore ça. J'ai souri puis il a ouvert la porte, avant qu'il ne puisse dire quoi que ce soit je l'ai poussé dans la maison en m'appuyant de la même manière contre le mur tout en l'embrassant chaleureusement. Il n'a pas refusé le feu et a continué, passant cette main sur tout mon corps et serrant mes fesses avec facilité, me soulevant avec le mouvement, il a souri sur mes lèvres et je pouvais voir qu'il était content de ma visite, alors il s'est arrêté le b****r avec un bisou puis m'a regardé avant de commencer à parler.  – Wow, quelle merveilleuse surprise. - Il a dit joyeusement. – Je suis venu voir comment sont les choses, on se parle à peine aujourd'hui. – Eh bien, c'est vrai, j'ai passé toute la journée sur ce forum à faire de la paperasse. - Dit-il en relâchant mes fesses et en fermant la porte. – Viens ici, je vais te raconter ce qui s'est passé là-bas, mais je veux te raconter dans ma chambre. "D'accord." dis-je alors qu'il me traînait dans les escaliers vers sa chambre. Je m'assis sur le lit et il s'assit à côté de moi, me prit la main et dit : – J'y suis allé aujourd'hui, et j'ai réparé les papiers, je suis très nerveux. - Pourquoi? – J'ai demandé en le regardant. – Je suis allé chez Rachel aujourd'hui, moi et un autre policier, et elle sera obligée de me combattre au tribunal pour avoir gardé la fille. - C'est génial. – dis-je en lui faisant un câlin, qui gloussa de soulagement puis me tira loin de son corps, tenant chaque côté de mon épaule avec une certaine force. – Mais je suis nerveux. « Je ne comprends pas, si vous vouliez tellement prendre la garde de Deborah, pourquoi seriez-vous nerveux maintenant ? – Parce qu'on va se battre pour sa garde demain. – Wow, mais à quelle vitesse ? – Eh bien, je suis allé au poste de police et la police trouvera un moyen d'arrêter Rachel et Paul, et je ne veux pas que Deborah voit ça, et encore moins reste quelque part jusqu'à ce que le juge décide où elle va, donc nous avons déjà a réussi à fixer la date pour décider avec qui elle reste, et c'est tombé à demain. - Mon Dieu, maintenant je comprends pourquoi tu es tendu. Adam adressa un sourire en coin, ce sourire coquin que lui seul sait donner puis il serra le bâton avec une certaine force, montrant qu'il marquait son pantalon et dit : – Je pense qu'il y a un moyen d'améliorer cette tension. - Oh oui? Je me mordis le coin de ma lèvre inférieure en essayant de retenir un sourire. – Juste pour que tu ne manques pas le voyage, tu sais. – Adam, tu es nul. – dis-je en lui giflant la poitrine en riant. – Et je sais que tu aimes ça. Et le pire c'est que j'ai beaucoup aimé. Sans rien dire, je me suis levé du lit puis il a continué à s'asseoir, me regardant d'en bas, j'ai souri et l'ai repoussé en le faisant s'allonger. Adam a mis ses mains derrière sa tête et s'est redressé pendant que j'ouvrais la fermeture éclair de son pantalon. Je l'ai regardé fixement, qui avait les yeux fermés pendant que je massais sa bite puis j'ai baissé un peu son pantalon, me donnant un accès complet aux parties que je voulais à ce moment-là, et sans cérémonie j'ai mis sa bite dans ma bouche, ça une chose était à moitié pompe, mais ce n'était pas un problème pour moi. Même si ce n'était pas complètement dur, sa bite a complètement rempli ma bouche, et je l'ai utilisé pour le laisser s'exciter le plus rapidement possible, j'ai commencé à faire des mouvements de va-et-vient avec ma tête, très lentement, pendant que je sentais sa bite grandir de plus en plus dans ma gorge. Et quand je ne pouvais plus supporter de fermer ma main à sa largeur, et encore moins de la garder complètement dans ma bouche, j'ai déplacé ma langue de la base à la tête de celle-ci, la laissant gémir doucement, et quand j'ai fait cela un plusieurs fois de suite et j'ai vu qu'il en profitait, je me suis redressé en mettant mes mains sur sa cuisse et j'ai poussé ma tête vers le bas, avalant sa bite, presque complètement. J'ai gardé ma tête là pendant que son corps se contractait, puis je l'ai repoussée quand j'avais besoin de remplir mes poumons d'air, puis je suis repartie de là où j'étais, enfonçant complètement la bite d'Adam dans ma bouche, ressentant la même chose dans ma bouche. les mains d'Adam et les a placées toutes les deux derrière ma tête, lui donnant la permission de prendre le contrôle de ce qui se passait. Il a entrelacé ses doigts dans mes cheveux puis a tenu fermement ma tête pour commencer un va-et-vient avec sa hanche, poussant et sortant la bite de ma gorge, je me suis tenu pour ne pas m'étouffer et il semblait aimer le réaction que ces mouvements m'avaient provoquée, mais quand je n'en pouvais plus, il repoussa ma tête loin de ma gorge et se pencha pour envahir ma bouche d'un b****r dur et humide. J'avalais la salive qu'il y avait déposée, et c'était l'une des choses les plus excitantes que je lui ai jamais faites, je me sentais sale, mais j'aimais moi-même le sentiment de savoir qu'il était mon "propriétaire" et qu'il aimait ça aussi. Adam s'est levé d'un mouvement rapide, puis a tenu ma tête et a à nouveau mis la bite dans ma bouche, mais cette fois, il a commencé à la gratter le long des parois internes de ma joue jusqu'à ce qu'elle sorte à nouveau de ma bouche, et il le faisait. encore et encore. . Et sans me laisser me préparer à le recevoir tout entier dans ma bouche, il a poussé sa bite jusqu'à la tige, me faisant m'étouffer avec, et sans aucune sorte de pitié, il a commencé à faire des mouvements rapides, baisant ma bouche avec enthousiasme. Je pouvais sentir les spasmes de son corps, et quand il n'en pouvait plus, Adam poussa un gémissement fort et épais, poussant ma tête contre sa hanche, faisant racler mon nez contre son aine alors qu'il versait du sperme dans ma gorge, forçant à vous d'en avaler chaque goutte. [...] Adam se tenait à la porte de sa maison, nous étions en fait dans les escaliers, il était une marche au-dessus de moi, me serrant dans ses bras par derrière, pendant quelques minutes. Nous parlions de sujets différents au début, mais ensuite nous nous sommes tus, et même ainsi l'atmosphère a continué, je me sentais mal à l'aise d'être avec Adam, surtout avec lui étant cet Adam. - Je dois partir. – dis-je en penchant la tête en arrière pour lui faire face. – Mais déjà ? - Il a dit découragé. – Oui, parce qu'il est tard, et je dois travailler demain, et toi aussi tu as une journée très chargée, je pense que c'est bien de ne pas se coucher tard. - Je rigolais. – Je ne le ferai pas. - Dit-il en se penchant un peu pour me faire un bisou. – Tu veux que je te ramène à la maison ? – Non, mon amour, je suis dans la voiture. - J'ai dit en riant. – aujourd'hui je pars seul. – Philipe, fais attention, il est tard, et tu sais bien que New York a des mignonnes qui méritent d'être battues à mort. J'ai ri. – Calme-toi, ça va aller. Je sais prendre soin de moi. - Je ne veux pas que tu partes. - Il a dit sarcastiquement, et je voulais embrasser, b****r, et lui donner à lui, tout en même temps. – Je ne voulais pas y aller non plus, mais je le dois. - Alors ok. - Dit-il en m'embrassant à l'envers, un b****r rapide, puis aide-moi à me relever et marche avec moi jusqu'à la voiture. – Textez-moi quand vous rentrez chez vous d'accord? – Il m'a agrippé fermement par la taille, mettant mon corps sur le sien et m'a donné un vrai b****r, ces baisers qu'il m'a montré qui est le patron, le genre de b****r que j'aime le plus de sa part. – D'accord, je vais l'envoyer. - J'ai parlé quand nos bouches se sont séparées. – D'accord, maintenant vas-y avant que je t'attache et ne te laisse pas partir. - Il a ri quand il a dit ça et m'a laissé partir, alors que j'étais sur le point de marcher jusqu'à ma porte, j'ai fini par me faire une tape dans le cul. Ce que j'ai aussi beaucoup aimé. Et donc je suis entré, attaché après qu'il m'ait énervé à ce sujet, et je me suis dirigé vers ma maison. En chemin, j'ai continué à penser à ce qui s'est passé aujourd'hui, à la façon dont nous avions évolué depuis le début. Comment il a changé, non seulement sa façon de penser, mais aussi sa façon d'agir, montrant plus de sentiments et étant de plus en plus un meilleur Adam. Mec, j'aime cet homme. Philipe Je me suis réveillé plusieurs fois dans la nuit car je n'arrivais pas à me calmer, je n'étais pas censé être avec tout ce désespoir, puisque celui qui traversera une journée tendue sera Adam et pas moi, mais moi' J'ai fait un horrible cauchemar, j'ai rêvé qu'il appelait, triste, me demandant de venir chez lui, et quand je suis arrivé, il était assis sur le canapé avec la tête baissée, je lui ai demandé ce que c'était et la seule chose il a dit était '' j'ai perdu la garde de ma fille ''. [...] Je me suis réveillé après une sieste de quinze minutes, si vous prenez toutes les fois où je me suis endormi cette nuit-là et additionnez leur temps, si vous donnez au total une heure je vous serais très reconnaissant, aujourd'hui ce ne sera pas facile, j'ai J'embauche une nouvelle secrétaire et tout le monde dépend d'Emily, sans parler de mon homme, qui va se battre avec une g***e pour la garde de sa fille. Je suis sorti du lit et je suis allé à la salle de bain, où je pris une longue douche pendant que je regardais lent au mur dans une vaine tentative de se réveiller, je l'ai fait tout mon hygiène personnelle, puis est allé à mes gardes. - Les vêtements pour me habiller, ce qui est très nouveau, car je ne peux porter des combinaisons, ou blouses robe. J'ai fini de se préparer à la hâte quand j'ai vu que je suis arrivé en retard, et quand je suis allé en bas, Mariana avait pas encore pris conscience. Sans petit-déjeuner, j'ai quitté la maison pour récupérer mes clés de voiture et aller à la voiture, la déverrouiller et m'installer sur le siège, j'ai allumé la radio pour écouter la musique qui passait à ce moment-là et j'ai couru vers l'entreprise. Comme à chaque fois que je me réveille tard et que je quitte la maison sans petit déjeuner, je m'arrête dans un café pour m'en acheter un, et je suis arrivé à l'entreprise avec ça presque fini, tout le monde me regardait le visage fatigué, ou fini, ou mort et Je viens de regarder ma tasse de café. – J'en aurai besoin de beaucoup aujourd'hui. – Je me suis parlé. J'ai pris l'ascenseur et je suis allé dans ma chambre, quand les portes se sont ouvertes j'ai vu Villany là assis à la table de mon futur ou futur secrétaire, il m'a souri et quand il m'a vraiment vu il n'a pas pu contenir son rire. – Wow Philipe, est-ce qu'un tracteur t'a écrasé cette nuit-là ? Je lui ai fait un sourire fatigué puis je me suis approché de lui, le saluant comme nous le faisons toujours. – Je n'ai pas pu dormir à cause de l'audition de mon copain aujourd'hui, je veux vraiment qu'il obtienne la garde de sa fille. - J'ai parlé. – Bon, d'après ce que tu m'as dit qu'il avait contre elle, il reviendra certainement à la maison avec la fille, ou il viendra la chercher dans une semaine au plus, donc je ne vois pas pourquoi il ne peut pas dormir. - Il a dit en riant. – Je suis désolé pour mon visage endormi, mais je suis très inquiet. - Prendre conscience de. - Si. - Dit-il en donnant le troisième rire de ma matinée, car je voulais être avec cette volonté que cet homme a de se lever tôt. – Vous n'êtes pas en service. - Il a dit. – Comment ça Villany, mon jour de repos n'est que le vendredi. – Ouais, et hier, c'était jeudi. - Équitable. - Il a dit en riant cette fois. – Reviens à la maison mon garçon, avant que je te fasse travailler ici toute la journée ! Même si il m'a dit était aujourd'hui vendredi. - Juste je ressentais le besoin de regarder le calendrier pour savoir si cela était vraiment vrai et oui, j'étais à droite de travail mon jour de congé, le jour où je peux me détendre et ne rien faire. Je levais les yeux avec un rire fatigué avec mon patron et ai l'enfer de cette compagnie aussi vite que possible. [...] Je suis arrivé à la maison et j'ai trouvé Mariana et Wallace en train de se battre au milieu de la cuisine, l'un se disputait une chose d'un côté et l'autre rétorquait de l'autre, je me suis arrêté à la porte pour qu'ils puissent se rendre compte que j'étais là, mais le combat n'a pas eu lieu arrêtez, en fait ils m'ont mis au milieu de ça, ce qui m'a le plus ennuyé, c'était de savoir que tout ce combat était parce que Wallace a fait pipi avec le couvercle des toilettes baissé. – Mon dieu bon sang ! – Je leur ai crié dessus tous les deux. – Vous n'êtes pas assez vieux pour vous battre pour des choses comme ça. – J'ai regardé Mariana. – C'est mal de laisser le couvercle des toilettes baissé quand tu vas faire pipi, mais tu n'as pas besoin de faire une tempête dans un verre d'eau pour ça. – J'ai continué à regarder Wallace. – Et apprenez à respecter qu'il y a une femme dans la maison, ou commencez à pisser assis. Mariana a rigolé quand j'ai fait ce commentaire et puis le combat a continué, je savais que ça n'irait nulle part, que dans deux heures au plus ils s'embrasseraient et s'embrasseraient même en faisant l'amour dans le salon, donc la seule chose que j'ai fait à ce moment-là, je montais dans ma chambre, enlevais mes vêtements et essayais de dormir. [...] Je me suis réveillé à une heure de l'après-midi plus que inquiet de ce qui se passait avec Adam, je me suis immédiatement assis dans mon lit et j'ai attrapé mon téléphone portable, il n'y a pas eu d'appel manqué ni de message non plus, il n'a probablement toujours pas décroché jusqu'à son téléphone portable. . Je pris une profonde inspiration et me souvins que cela faisait une heure que la bagarre pour la garde de Deborah avait commencé. J'ai essayé de me calmer et je lui ai donc envoyé un texto, même s'il ne le verrait pas maintenant, je devais lui démontrer que j'étais de son côté. '' Bonjour mon amour, je me suis réveillé aujourd'hui, je veux dire, je pensais que je me suis réveillé, mais je n'ai pas vraiment dormi, de toute façon, j'étais et je suis toujours inquiet pour toi, bonne chance dans ce combat, je t'aime tellement beaucoup et je suis un peu plus calme car je me suis souvenu que mon patron a dit qu'avec toutes les preuves que vous avez contre elle, il sera presque impossible de rater cette audience. bisous et je t'aime tellement!'' L'odeur du déjeuner que Mariana préparait était délicieuse et j'ai été tentée d'aller dans la cuisine et de prendre les casseroles. J'ai couru en bas, maintenant j'étais éveillé. – J'ai oublié de mentionner qu'il était déjà changé, j'ai enlevé mes vêtements avant de descendre, mais je n'ai pas eu le temps de les enlever avant d'aller dormir. – Et j'ai failli trébucher sur la dernière marche, je me suis arrêté dans la cuisine et comme je l'avais dit, les deux avaient une bonne conversation. – Tu n'es pas un bon vieux. - J'ai dit en riant. – Je ne sais pas si je dois rire ou te frapper. – C'est deux contre un, c'est sûr que tu vas perdre alors reste calme. - Dit Wallace. – Qu'est-ce que tu fais pour déjeuner, s****e ? – Vous saurez quand il sera prêt. - Elle a dit en riant. – Riz, haricots, frites et tourte au poulet, avec salade. – dit Wallace, gâchant la surprise de Mariana. – Wallace, j'ai déjà dit que si ça continue, je ferai une grève du sexe et tu demanderas à mourir dans une semaine. - Non désolé! - Dit-il en riant, mais au fond de lui inquiet de la possibilité de ne pas avoir de relations sexuelles. J'ai regardé Mariana et j'ai ri en désignant Wallace, dis-je. – Est-ce que ça marche vraiment ? Elle a frappé une faute et a laissé échapper le '' oh '' avec un rire. – Ma chérie, c'est infaillible, quand ton garçon t'énerve, dis-lui ça pour voir s'il ne se remet pas sur les rails au plus vite. Nous avons continué à parler et à rire des pitreries que nous faisions tous les trois, jusqu'à ce que le sujet vienne à nos mères et que le mien me manque que je ne pouvais pas expliquer, pendant que nous mangions la délicieuse nourriture de Mariana, j'ai pensé à quand je pourrais rendre visite à mes parents pour tuer le désir d'eux. Après tout, ça fait huit mois. [...] L'après-midi n'a pas passé et mon agonie était déjà dans mon nouveau poitrine, je voulais savoir comment les choses allaient, et je ne pensais jamais qu'une audience pourrait prendre aussi longtemps que celui-ci prenait, quand un voisin de ma mère est allé combattre au tribunal pour la garde de la sa fille, il n'a même pas pris deux heures, et avec Adam, il a pris toute la journée. Je ne peux pas le prendre plus, je l'ai appelé son téléphone mille fois. Ui J'ai fini par regarder deux films avec Mariana essayant de me calmer, et que s'est-il passé ? Je ne pouvais pas me concentrer sur le film encore moins me calmer, je suis dans un état nerveux, je donnerais n'importe quoi pour être un moustique et aller voir ce qui se passait dans cet endroit, Adam ne m'a toujours pas donné de nouvelles non plus . La nuit est tombée et je n'avais pas eu de nouvelles de toute la journée sur Adam et à ce moment j'étais sur le point d'appeler la police pour le réparer, j'exagère très bien je sais, mais mets toi à ma place, la personne ça a été toute la journée sans vous donner satisfaction si vous voulez sur ce qui s'est passé, cette audience n'a pas duré si longtemps. Quand j'allais chercher mon portable pour appeler la police j'ai vu que j'avais un message de lui, un message qu'il avait envoyé il y a vingt minutes et je voulais mourir pour l'avoir fait attendre tout ce temps, quand j'ai ouvert le message c'est n'a dit que cinq mots : « » Venez ici à la maison, de toute urgence. « » Je ne peux pas croire qu'il n'a pas donné une réponse non plus, car chaque fois que j'ai appelé et il m'a envoyé un texto répond juste que, me rendant encore plus curieux de savoir ce qui est arrivé. J'ai laissé tomber mon téléphone portable sur le canapé et me suis levé avec colère, Mariana me regarda sans comprendre et a demandé: – Qu'est-ce que c'est que ce con, qu'est-ce qui s'est passé ? – Je dois aller voir Adam, et c'est sûr qu'il y aura une grève du sexe ! – Quand j'ai dit qu'elle a ri et je ne suis pas resté pour entendre le commentaire qu'elle allait en faire alors que je courais dans ma chambre, pour me changer dans une tenue plus présentable avant de quitter la maison. [...] Le trafic n'était pas en ma faveur, en aucun cas rien n'était en ma faveur aujourd'hui, j'ai réussi à prendre cinquante minutes pour me rendre chez Adam après avoir envoyé le message ''J'arrive'', maintenant il ne sera plus le un seul mourra ce soir. J'ai arrêté la voiture devant ta maison et ta sécurité m'a déjà permis d'entrer, je suis l'une des rares personnes à pouvoir entrer ici avant de parler à Adam, c'est bien pour moi de virer toute cette p****n de truc s'il est mignon avec le mon côté. J'ai garé la voiture à côté d'Adam et j'ai joué avec les chiens avant de monter, et oui ils m'aiment maintenant, après tout ce temps, c'est presque impossible pour eux de ne pas le faire. Et ce n'est qu'après avoir fait tout cela que j'ai marché vers la maison d'Adam, lorsque j'ai ouvert la porte, j'ai remarqué un certain silence presque absolu et un sentiment de tristesse est monté dans ma poitrine, me faisant frissonner le long de ma colonne vertébrale. J'ai commencé à marcher vers le salon de la maison d'Adam tout en appelant le même. - Adam? - Elle avait l'air en regardant autour de lui. - Ici. - Dit-il, dans la salle à manger, assis la tête baissée entre ses bras, qui étaient croisés sur le dessus de la table en verre. Je n'ai pas réfléchi à deux fois et j'ai couru vers lui, j'ai levé son visage et je l'ai serré dans mes bras, à ce moment-là je ne voulais plus le combattre, en fait je l'ai fait, mais je pouvais attendre un peu avant de le faire. - Qu'est-il arrivé? - J'ai demandé face au même. - J'ai perdu. – dit-il, sans hésiter ni essayer de faire une quelconque cérémonie auparavant, et à ce moment-là le sentiment que j'avais en franchissant la porte n'atteignait pas tout à fait ce que je ressentais maintenant, je ne pouvais pas croire que c'était vrai. – Que veux-tu dire Adam ? Comment ça, tu as perdu ? Vous aviez toutes ces preuves contre Rachel, cette femme sortirait du tribunal prête à aller en prison ! – Je dois garder mes distances avec elle, j'ai perdu la garde de ma fille. – Il ne pleurait pas, mais il avait l'impression qu'il retenait chaque larme en lui, je voulais le serrer dans mes bras, l'embrasser, l'accueillir de toutes les manières, mais j'étais aussi immobile à ce moment-là. – Adam, que veux-tu dire ? Mon dieu, dis-moi que c'est une blague ennuyeuse. Il a secoué la tête puis m'a demandé de me tourner pour lui faire face et je l'ai fait, m'asseyant face à lui. – Je ne peux pas croire que j'ai perdu. - Il a dit, sa voix plus que basse. – Tu ne peux rien faire d'autre ? Que puis-je faire pour vous aider avec cet Adam ? Et puis mes yeux se sont sombres, et quelque chose avait couvert mes yeux derrière, j'ai entendu un petit rire, qui a attiré un petit rire d'Adam avec elle, puis la voix de Deborah ont retenti derrière moi en disant: - Devinez qui est ?!? Je pouvais tuer Adam tout de suite, mais je ne pouvais pas, j'ai commencé à rire avec eux et puis j'ai tiré Deborah par le bras en riant et en la mettant sur mes genoux, il se passait tellement de choses dans ma tête que je ne pouvais pas faire tout sauf pleurer, non pas de tristesse, mais de bonheur, on dirait même que cette fille est à moi ! Adam me regardait avec un sourire jusqu'aux oreilles comme s'il profitait de l'un des meilleurs moments de sa vie, puis Deborah a commencé à essayer de me chatouiller pour tenter de me faire rire et c'est exactement ce que j'ai fait. Mes yeux n'arrêtaient pas de regarder ceux d'Adam qui étaient remplis d'eau. - Vous avez votre princesse? - J'ai demandé en souriant. – Non, j'ai notre princesse. - Il a dit. Et puis Deborah a sauté de mes genoux et a attiré Adam près de moi, les serrant tous dans ses bras, et je suis resté là, profitant de ce délicieux moment. Il n'y avait plus de colère, du moins pas là dans cette étreinte, je n'ai jamais été aussi heureuse qu'à ce moment-là. Adam Hier je me sentais complète pour la première fois de ma vie, je ne sais pas si c'est trop tôt pour y penser, mais je m'imaginais, avec Philipe et Deborah, ensemble en famille et c'était quelque chose qui m'a fait sourire visage, je suis tellement content d'avoir eu la garde de ma fille que je ne sais pas quoi faire, Philipe, il a dû partir hier soir, mais il a exigé que je lui dise tout à son retour ici, au cas où il serait aujourd'hui. Passons la nuit ensemble. Eh bien, comme je n'avais rien à faire, je profitais de ma belle fille, je jouais avec elle et profitais de chaque instant que je passais, j'habillais ses poupées et je me rendais également dans l'autre maison, qui est maintenant avec son propriétaire emprisonné, pour récupérer ses vêtements. Je voulais en acheter de nouveaux, mais Deborah a insisté pour que je reçoive le sien. Nous avons aussi regardé des dessins animés toute la matinée, je ne l'ai jamais vu autant de dessins animés femmes dans ma vie, elle aime un dessin animé appelé Monster High beaucoup, je pensais qu'il était intéressant, bien que les filles sont des monstres, mais qui est à côté du point. C'était un peu bizarre de devoir la préparer pour l'école, la seule chose que je ne pouvais pas faire était sa coiffure, j'ai demandé à mes bonnes de le faire, mais quand nous sommes arrivés dans sa chambre, Deborah s'était déjà coiffée, cette fille est trop nouveau pour être indépendant comme ça. Après l'avoir envoyée à l'école, je me suis reposé, la matinée a été longue et j'ai à peine dormi toute la nuit, pas que j'étais inquiet ou quoi que ce soit, j'étais tellement mais pas content que le sommeil ne soit pas venu, et maintenant, ça s'accroche mon dos, pesant une tonne. J'ai besoin de mon lit.

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