When you visit our website, if you give your consent, we will use cookies to allow us to collect data for aggregated statistics to improve our service and remember your choice for future visits. Cookie Policy & Privacy Policy
Dear Reader, we use the permissions associated with cookies to keep our website running smoothly and to provide you with personalized content that better meets your needs and ensure the best reading experience. At any time, you can change your permissions for the cookie settings below.
If you would like to learn more about our Cookie, you can click on Privacy Policy.
3. LES DÉCOUVERTES Il n’y avait plus dans la serre que deux personnes, Arnold Brinkworth et sir Patrick Lundie. – Mr Brinkworth, dit le vieux gentleman, je n’ai pas eu l’occasion de vous parler jusqu’à présent, et comme j’ai appris que vous nous quittiez aujourd’hui, j’ai pris le parti de me présenter moi-même à vous. Votre père était l’un de mes plus chers amis ; je veux me faire un ami du fils de votre père. Il étendit la main et se nomma. – Oh ! Sir Patrick ! dit Arnold avec chaleur, si mon pauvre père avait suivi vos conseils !… – Il aurait réfléchi à deux fois avant de dissiper sa fortune sur le turf, et il serait peut-être vivant au milieu de nous, au lieu de mourir exilé sur une terre étrangère, reprit sir Patrick, finissant la phrase que le jeune homme avait commencée. Plus un