XIComment le cœur leur vient, je ne sais pas. Un autre jour, Mariole me demanda : « Château branlant, es-tu si pauvre qu’on le dit ? » Je repartis : « Plus pauvre. » Elle était toute rouge et me dit encore : « Est-ce pour moi vraiment que tu avais fait ce vœu ? – Vraiment oui, et c’est par moi que tu t’appelles la Moïse. » Nous allions le long de l’eau. Le vent mit ses cheveux sur ma bouche et je les mordis de mon b****r. – Oh ! eh ! Le Mœle ! que veux-tu de ma fille ? C’était le vieux Vincent qui accourait en colère. Mariole s’enfuit, disant tout bas : « Tiens ton vœu, madame sainte Anne sait déjà que je t’aime. »